Télévision : 8 avril à 03:20-04:15 sur France 2
série policière
Saison:1 - Episode:6 - Romain et Karine pensent avoir enfin identifié le violeur, mais ce dernier leur échappe une nouvelle fois. La peur s'abat alors sur la ville, car personne ne sait vraiment ce qu'il est capable de faire, maintenant qu'il est démasqué... - Critique : Oui, les victimes de viol culpabilisent d’avoir été violées. Oui, elles peuvent être abusées sans crier. En psychanalyse, cela s’appelle « l’état de sidération ». Pour survivre, elles peuvent même tout oublier en développant une « amnésie post-traumatique ». D’ailleurs, certaines ne pleurent jamais. Parfois pourtant on finit par les croire… À l’inverse de la série Unbelievable, qui abordait la question du viol et de sa judiciarisation avec une délicatesse inouïe, cette série se gargarise de poncifs et ne cesse de surligner l’indicible. Sur la Côte d’Azur, un prédateur assaille des femmes en plein sommeil. Elles s’appellent Camille, Stéphanie, Latissa, Isabelle… ont entre 20 et 45 ans. De gros plans sur leurs visages décomposés illustrent la violence des coups de reins subis. Était-ce bien nécessaire de nous montrer dix fois la scène ? Et que dire de ce flic qui criminalise les victimes, de son confrère alcoolique capable de citer Dostoïevski, et surtout de femmes traumatisées bien décidées à se faire justice elles-mêmes ? Les clichés n’ont jamais fait avancer la société. Sous ses airs de saga d’été – qu’illustrent des plans de la Méditerranée sur fond de pop solaire –, ce thriller grossier passe à côté de la dévastation psychique et physique causée par les violences sexuelles. Pour « nous donner accès aux pensées des victimes », ces dernières sont filmées face caméra entre deux scènes d’action, façon documentaire choral. Mais le mélange des genres se révèle catastrophique tant il parasite et alourdit le propos. On n’avait pas besoin d’un tel dispositif. Juste d’un peu d’élégance et de sobriété.
Année : 2025
De : Indra Siera
Avec : Alice Daubelcour, Antoine Hamel, Charlie Bruneau, Christine Citti, Grégoire Bonnet, Jérémie Poppe, Ludmilla Dabo, Marie Mallia, Myriam Bourguignon, Nicholas St-Jacques, Raphaël Lenglet, Suzy Deschamps
Télévision : 8 avril à 02:35-03:20 sur France 2
série policière
Saison:1 - Episode:5 - La mort de Camille bouleverse profondément l'ensemble de habitants de la ville, au moment où Nafissa échappe de justesse à une nouvelle agression. Au cours de l'échauffourée, elle riposte et parvient en effet à se défendre, tout en blessant grièvement son agresseur. Mais, d ans la confusion, celui-ci parvient à s'enfuir. Cet événement signe-t-il la fin de la traque ?... - Critique : Oui, les victimes de viol culpabilisent d’avoir été violées. Oui, elles peuvent être abusées sans crier. En psychanalyse, cela s’appelle « l’état de sidération ». Pour survivre, elles peuvent même tout oublier en développant une « amnésie post-traumatique ». D’ailleurs, certaines ne pleurent jamais. Parfois pourtant on finit par les croire… À l’inverse de la série Unbelievable, qui abordait la question du viol et de sa judiciarisation avec une délicatesse inouïe, cette série se gargarise de poncifs et ne cesse de surligner l’indicible. Sur la Côte d’Azur, un prédateur assaille des femmes en plein sommeil. Elles s’appellent Camille, Stéphanie, Latissa, Isabelle… ont entre 20 et 45 ans. De gros plans sur leurs visages décomposés illustrent la violence des coups de reins subis. Était-ce bien nécessaire de nous montrer dix fois la scène ? Et que dire de ce flic qui criminalise les victimes, de son confrère alcoolique capable de citer Dostoïevski, et surtout de femmes traumatisées bien décidées à se faire justice elles-mêmes ? Les clichés n’ont jamais fait avancer la société. Sous ses airs de saga d’été – qu’illustrent des plans de la Méditerranée sur fond de pop solaire –, ce thriller grossier passe à côté de la dévastation psychique et physique causée par les violences sexuelles. Pour « nous donner accès aux pensées des victimes », ces dernières sont filmées face caméra entre deux scènes d’action, façon documentaire choral. Mais le mélange des genres se révèle catastrophique tant il parasite et alourdit le propos. On n’avait pas besoin d’un tel dispositif. Juste d’un peu d’élégance et de sobriété.
Année : 2025
De : Indra Siera
Avec : Alice Daubelcour, Antoine Hamel, Charlie Bruneau, Christine Citti, Grégoire Bonnet, Jérémie Poppe, Ludmilla Dabo, Marie Mallia, Myriam Bourguignon, Nicholas St-Jacques, Raphaël Lenglet, Suzy Deschamps
Télévision : 8 avril à 01:45-02:35 sur France 2
série policière
Saison:1 - Episode:4 - Le violeur a frappé à nouveau, échappant de justesse à Romain et Karine. L'étau commence à se resserrer et les gendarmes explorent de nouvelles pistes. Mais rien ne va assez vite pour les victimes et notamment pour Camille qui, rongée par la colère et l'obsession de justice, devient de plus en plus extrémiste dans sa quête de la vérité... - Critique : Oui, les victimes de viol culpabilisent d’avoir été violées. Oui, elles peuvent être abusées sans crier. En psychanalyse, cela s’appelle « l’état de sidération ». Pour survivre, elles peuvent même tout oublier en développant une « amnésie post-traumatique ». D’ailleurs, certaines ne pleurent jamais. Parfois pourtant on finit par les croire… À l’inverse de la série Unbelievable, qui abordait la question du viol et de sa judiciarisation avec une délicatesse inouïe, cette série se gargarise de poncifs et ne cesse de surligner l’indicible. Sur la Côte d’Azur, un prédateur assaille des femmes en plein sommeil. Elles s’appellent Camille, Stéphanie, Latissa, Isabelle… ont entre 20 et 45 ans. De gros plans sur leurs visages décomposés illustrent la violence des coups de reins subis. Était-ce bien nécessaire de nous montrer dix fois la scène ? Et que dire de ce flic qui criminalise les victimes, de son confrère alcoolique capable de citer Dostoïevski, et surtout de femmes traumatisées bien décidées à se faire justice elles-mêmes ? Les clichés n’ont jamais fait avancer la société. Sous ses airs de saga d’été – qu’illustrent des plans de la Méditerranée sur fond de pop solaire –, ce thriller grossier passe à côté de la dévastation psychique et physique causée par les violences sexuelles. Pour « nous donner accès aux pensées des victimes », ces dernières sont filmées face caméra entre deux scènes d’action, façon documentaire choral. Mais le mélange des genres se révèle catastrophique tant il parasite et alourdit le propos. On n’avait pas besoin d’un tel dispositif. Juste d’un peu d’élégance et de sobriété.
Année : 2025
De : Frank Steen
Avec : Alice Daubelcour, Antoine Hamel, Charlie Bruneau, Jérémie Poppe, Ludmilla Dabo, Marie Mallia, Myriam Bourguignon, Raphaël Lenglet
Télévision : 3 avril à 21:05-22:40 sur France 3
série policière
Meurtres à Granville. Saison:8 - Episode:4 - Ancienne médecin légiste et romancière à succès, Camille Fauvel rédige son nouveau roman lorsqu'une scène de crime se produit en contrebas de sa terrasse. Ce meurtre est très similaire à celui qu'elle était en train de rédiger. Arrivés sur place, les policiers découvrent sur la plage le cadavre d'un homme, supplicié selon les anciens rites vikings. En charge de l'enquête, Damien Bonaventure va trouver un allié de poids en la personne de Camille. Ensemble, ils vont déterrer une étrange histoire de vengeance liée au passé de la ville. - Critique : Lors de l’inauguration d’une exposition sur l’Inquisition dans un château cathare, des visiteurs et leur guide vont faire une macabre découverte dans le donjon. Le corps sans vie d’une jeune femme est retrouvé au pied d’une cage de torture. L’arme du crime, une sorte de fourchette cathare, laisse penser à un rituel de purification ou à un sacrifice. Tout semble accuser Victor, le frère du lieutenant Pauline Lebrun, retrouvé sur les lieux couvert de sang. Mais au cours de l’enquête, la police va découvrir que le passé tumultueux de la victime lui a attiré bien des ennemis… Les jolis plans des châteaux et des massifs montagneux ne sont qu’un prétexte mal exploité par l’intrigue, qui fait très peu référence à l’histoire des cathares. L’aspect carte postale du téléfilm est assombri par des acteurs qui surjouent et incarnent mal les racines et la culture occitanes. Seul Victor, atteint de trisomie 21 (Samuel Allain Abitbol, très impliqué dans son rôle), nous épate par la spontanéité de son jeu. Avec ses dialogues prévisibles et son scénario d’une platitude agaçante, ce mauvais polar déploie une intrigue mélodramatique digne des Feux de l’amour. Si vous voulez connaître le meurtrier, accrochez-vous, ça dure une heure et demie…
Année : 2020
De : Christophe Douchand
Avec : Apolline Bercholz, Arièle Semenoff, Florence Pernel, François Pouron, François-David Cardonnel, Jeanne Fremy, Myriam Bourguignon, Pouly Jérôme, Raphaël Lenglet, Stéphane Metzger
Télévision : 1er avril à 03:00-03:50 sur France 2
série policière
Saison:1 - Episode:3 - La révélation publique par Stéphanie de son viol ébranle la communauté et son propre couple. Diego ne supporte pas de découvrir la terrible vérité en même temps que tout le monde et prend ses distances avec son épouse. Romain, écarté de l'enquête, est persuadé que l'agresseur habite dans la petite ville et que ses victimes le connaissent. Alors que Stéphanie, enceinte, se rend à l'hôpital pour y subir une IVG, Romain apprend grâce aux analyses ADN que le violeur est stérile et qu'il ne peut être le père du bébé. Il rejoint aussitôt sa soeur pour lui faire part de sa découverte. Les gendarmes recherchent le propriétaire d'une camionnette... - Critique : Oui, les victimes de viol culpabilisent d’avoir été violées. Oui, elles peuvent être abusées sans crier. En psychanalyse, cela s’appelle « l’état de sidération ». Pour survivre, elles peuvent même tout oublier en développant une « amnésie post-traumatique ». D’ailleurs, certaines ne pleurent jamais. Parfois pourtant on finit par les croire… À l’inverse de la série Unbelievable, qui abordait la question du viol et de sa judiciarisation avec une délicatesse inouïe, cette série se gargarise de poncifs et ne cesse de surligner l’indicible. Sur la Côte d’Azur, un prédateur assaille des femmes en plein sommeil. Elles s’appellent Camille, Stéphanie, Latissa, Isabelle… ont entre 20 et 45 ans. De gros plans sur leurs visages décomposés illustrent la violence des coups de reins subis. Était-ce bien nécessaire de nous montrer dix fois la scène ? Et que dire de ce flic qui criminalise les victimes, de son confrère alcoolique capable de citer Dostoïevski, et surtout de femmes traumatisées bien décidées à se faire justice elles-mêmes ? Les clichés n’ont jamais fait avancer la société. Sous ses airs de saga d’été – qu’illustrent des plans de la Méditerranée sur fond de pop solaire –, ce thriller grossier passe à côté de la dévastation psychique et physique causée par les violences sexuelles. Pour « nous donner accès aux pensées des victimes », ces dernières sont filmées face caméra entre deux scènes d’action, façon documentaire choral. Mais le mélange des genres se révèle catastrophique tant il parasite et alourdit le propos. On n’avait pas besoin d’un tel dispositif. Juste d’un peu d’élégance et de sobriété.
Année : 2025
De : Frank Steen
Avec : Alice Daubelcour, Antoine Hamel, Charlie Bruneau, Jérémie Poppe, Ludmilla Dabo, Marie Mallia, Myriam Bourguignon, Raphaël Lenglet
Télévision : 1er avril à 02:00-03:00 sur France 2
série policière
Saison:1 - Episode:2 - Après un quatrième viol, Nafissa se sent coupable de n'avoir pas su se défendre. Résolue à faire avancer l'enquête, Karine fait équipe avec Romain Novak, un ancien capitaine de police de retour à Saintes. La tension monte, et chaque minute perdue rapproche le prédateur de sa prochaine victime... - Critique : Oui, les victimes de viol culpabilisent d’avoir été violées. Oui, elles peuvent être abusées sans crier. En psychanalyse, cela s’appelle « l’état de sidération ». Pour survivre, elles peuvent même tout oublier en développant une « amnésie post-traumatique ». D’ailleurs, certaines ne pleurent jamais. Parfois pourtant on finit par les croire… À l’inverse de la série Unbelievable, qui abordait la question du viol et de sa judiciarisation avec une délicatesse inouïe, cette série se gargarise de poncifs et ne cesse de surligner l’indicible. Sur la Côte d’Azur, un prédateur assaille des femmes en plein sommeil. Elles s’appellent Camille, Stéphanie, Latissa, Isabelle… ont entre 20 et 45 ans. De gros plans sur leurs visages décomposés illustrent la violence des coups de reins subis. Était-ce bien nécessaire de nous montrer dix fois la scène ? Et que dire de ce flic qui criminalise les victimes, de son confrère alcoolique capable de citer Dostoïevski, et surtout de femmes traumatisées bien décidées à se faire justice elles-mêmes ? Les clichés n’ont jamais fait avancer la société. Sous ses airs de saga d’été – qu’illustrent des plans de la Méditerranée sur fond de pop solaire –, ce thriller grossier passe à côté de la dévastation psychique et physique causée par les violences sexuelles. Pour « nous donner accès aux pensées des victimes », ces dernières sont filmées face caméra entre deux scènes d’action, façon documentaire choral. Mais le mélange des genres se révèle catastrophique tant il parasite et alourdit le propos. On n’avait pas besoin d’un tel dispositif. Juste d’un peu d’élégance et de sobriété.
Année : 2025
De : Frank Steen
Avec : Alice Daubelcour, Antoine Hamel, Arièle Semenoff, Charlie Bruneau, Christine Citti, Grégoire Bonnet, Jérémie Poppe, Ludmilla Dabo, Marie Mallia, Myriam Bourguignon, Nicolas Jacques, Raphaël Lenglet
Télévision : 1er avril à 01:10-02:00 sur France 2
série policière
Saison:1 - Episode:1 - A Saintes, Stéphanie Duval se réveille difficilement. Elle réalise qu'elle a été violée lors de la nuit précédente. Traumatisée, elle fait le choix de taire son agression. Mais peu de temps après, deux nouvelles agressions secouent la ville. Si les gendarmes se montrent sceptiques, Karine Jablonski, une jeune recrue déterminée, refuse de laisser ces femmes seules face au crime... - Critique : Oui, les victimes de viol culpabilisent d’avoir été violées. Oui, elles peuvent être abusées sans crier. En psychanalyse, cela s’appelle « l’état de sidération ». Pour survivre, elles peuvent même tout oublier en développant une « amnésie post-traumatique ». D’ailleurs, certaines ne pleurent jamais. Parfois pourtant on finit par les croire… À l’inverse de la série Unbelievable, qui abordait la question du viol et de sa judiciarisation avec une délicatesse inouïe, cette série se gargarise de poncifs et ne cesse de surligner l’indicible. Sur la Côte d’Azur, un prédateur assaille des femmes en plein sommeil. Elles s’appellent Camille, Stéphanie, Latissa, Isabelle… ont entre 20 et 45 ans. De gros plans sur leurs visages décomposés illustrent la violence des coups de reins subis. Était-ce bien nécessaire de nous montrer dix fois la scène ? Et que dire de ce flic qui criminalise les victimes, de son confrère alcoolique capable de citer Dostoïevski, et surtout de femmes traumatisées bien décidées à se faire justice elles-mêmes ? Les clichés n’ont jamais fait avancer la société. Sous ses airs de saga d’été – qu’illustrent des plans de la Méditerranée sur fond de pop solaire –, ce thriller grossier passe à côté de la dévastation psychique et physique causée par les violences sexuelles. Pour « nous donner accès aux pensées des victimes », ces dernières sont filmées face caméra entre deux scènes d’action, façon documentaire choral. Mais le mélange des genres se révèle catastrophique tant il parasite et alourdit le propos. On n’avait pas besoin d’un tel dispositif. Juste d’un peu d’élégance et de sobriété.
Année : 2025
De : Frank Steen
Avec : Alice Daubelcour, Antoine Hamel, Arièle Semenoff, Charlie Bruneau, Christine Citti, Grégoire Bonnet, Jérémie Poppe, Ludmilla Dabo, Marie Mallia, Myriam Bourguignon, Nicolas Jacques, Raphaël Lenglet
Disney+ : 13 mars
André Savignac, maire de Saint-Guilhem-le-Désert est retrouvé pendu sur le Pont du Diable. C’est Franck Livarois, un berger, qui a découvert le corps. La scopolamine retrouvée dans son sang, drogue qui ôte toute volonté de résistance, est la preuve que le suicide n’est que la mise en scène d’un crime. Y a-t-il un lien avec les lettres de menace cachées dans le bureau du maire ? L’enquête amène Marina Fazergues, Capitaine au SRPJ de Montpellier, et Philippe Charras, chef de la gendarmerie locale, à collaborer malgré des méthodes très différentes...
De : Sylvie Ayme
Avec : David Kammenos, Patrick d'Assumçao, Anne Benoît, Myriam Bourguignon, Pierre-Olivier Mornas, Nouritza Emmanuelian, Nina Bouffier