Télévision : 20 décembre à 08:17-09:45 sur Canal +
film : comédie
Grand espoir de la boxe, Souleyman s'entraîne intensivement avec l'équipe de France en vue des prochains Jeux olympiques. Mais ses rêves de gloire sont soudain réduits à néant en raison de son implication dans une bagarre au cours d'une sortie dans un bar. En sus d'une vilaine blessure à une main, le jeune homme est condamné à effectuer 400 heures de travaux d'intérêt général au château de Chambord. Sur place, Souleyman découvre un univers totalement inconnu auquel il a du mal à s'adapter. Chargé de tâches ingrates, il se morfond jusqu'à sa rencontre avec Mélissa, une adolescente qui semble posséder un talent inné pour la boxe... - Critique : Il était une fois… un film maladroit, ou plutôt mal à gauche, et pas que du crochet. Pour Souleyman (Ahmed Sylla, transparent), c’est la bérézina : promis à un grand avenir, le boxeur se blesse lors d’une rixe en boîte de nuit. Fini les jeux Olympiques, et la carrière en équipe de France. Pire, le jeune homme doit s’acquitter de travaux d’intérêt général… à Chambord. La vie de château, mais côté coulisses : jardinier, palefrenier, Souleyman n’est plus très loin de se noyer dans les douves de l’existence quand il fait la rencontre de Melissa, une jeune fille de l’Assistance, remarquablement habile de ses poings… Alléluia, notre héros va reprendre sa vie en main – dans le costume d’entraîneur cette fois. Et déjà, une histoire d’amour avec la maîtresse du domaine (Julia Piaton, lumineuse) pointe le bout de son nez. Comme un prince : le titre ne ment pas, il s’agit bien d’un conte de fées, mais qu’il est triste ! D’abord ni le réalisateur Ali Marhyar ni Souleyman ne semblent jamais révoltés par l’injustice où est plongé ce pauvre poids plume. Passons aussi sur le fantasme très naïf du cinéaste selon lequel la justice condamnerait un boxeur lorsqu’il se défend contre un ivrogne armé d’un tesson de bouteille, au motif que ses poings sont des « armes blanches » (sic). On bascule d’un plan ou d’un lieu à un autre comme on enchaîne les rounds d’un match de préparation – ainsi des deux Jonathan (Cohen et Lambert), qui passent une tête, sans doute pour rendre service : ils redonnent le sourire mais pas tellement plus. Surtout, on s’inquiète du message (qu’on espère inconscient) envoyé aux vieux immigrés, et à leurs descendants. D’abord quand Eddy explique à Souleyman que pour s’intégrer il lui faut connaître l’histoire de France – rappelant à notre bon souvenir les lois de l’ancien gouvernement Fillon. Ensuite quand on comprend qu’une intégration réussie, c’est branler une épée et nettoyer les écuries d’une sorte de Puy du Fou… Sûr que sous les ors du palais de l’Élysée, on préfère ça aux émeutiers.
Année : 2023
Avec : Ahmed Sylla, Antoine Gouy, Habib Dembele, Igor Gotesman, Jonathan Cohen, Julia Piaton, Jérémie Laheurte, Malika Azgag, Mallory Wanecques, Olivier Rosemberg, Stefan Godin, Tewfik Jallab
Télévision : 20 décembre à 08:17-09:44 sur Canal +
film : comédie
Grand espoir de la boxe, Souleyman s'entraîne intensivement avec l'équipe de France en vue des prochains Jeux olympiques. Mais ses rêves de gloire sont soudain réduits à néant en raison de son implication dans une bagarre au cours d'une sortie dans un bar. En sus d'une vilaine blessure à une main, le jeune homme est condamné à effectuer 400 heures de travaux d'intérêt général au château de Chambord. Sur place, Souleyman découvre un univers totalement inconnu auquel il a du mal à s'adapter. Chargé de tâches ingrates, il se morfond jusqu'à sa rencontre avec Mélissa, une adolescente qui semble posséder un talent inné pour la boxe... - Critique : Il était une fois… un film maladroit, ou plutôt mal à gauche, et pas que du crochet. Pour Souleyman (Ahmed Sylla, transparent), c’est la bérézina : promis à un grand avenir, le boxeur se blesse lors d’une rixe en boîte de nuit. Fini les jeux Olympiques, et la carrière en équipe de France. Pire, le jeune homme doit s’acquitter de travaux d’intérêt général… à Chambord. La vie de château, mais côté coulisses : jardinier, palefrenier, Souleyman n’est plus très loin de se noyer dans les douves de l’existence quand il fait la rencontre de Melissa, une jeune fille de l’Assistance, remarquablement habile de ses poings… Alléluia, notre héros va reprendre sa vie en main – dans le costume d’entraîneur cette fois. Et déjà, une histoire d’amour avec la maîtresse du domaine (Julia Piaton, lumineuse) pointe le bout de son nez. Comme un prince : le titre ne ment pas, il s’agit bien d’un conte de fées, mais qu’il est triste ! D’abord ni le réalisateur Ali Marhyar ni Souleyman ne semblent jamais révoltés par l’injustice où est plongé ce pauvre poids plume. Passons aussi sur le fantasme très naïf du cinéaste selon lequel la justice condamnerait un boxeur lorsqu’il se défend contre un ivrogne armé d’un tesson de bouteille, au motif que ses poings sont des « armes blanches » (sic). On bascule d’un plan ou d’un lieu à un autre comme on enchaîne les rounds d’un match de préparation – ainsi des deux Jonathan (Cohen et Lambert), qui passent une tête, sans doute pour rendre service : ils redonnent le sourire mais pas tellement plus. Surtout, on s’inquiète du message (qu’on espère inconscient) envoyé aux vieux immigrés, et à leurs descendants. D’abord quand Eddy explique à Souleyman que pour s’intégrer il lui faut connaître l’histoire de France – rappelant à notre bon souvenir les lois de l’ancien gouvernement Fillon. Ensuite quand on comprend qu’une intégration réussie, c’est branler une épée et nettoyer les écuries d’une sorte de Puy du Fou… Sûr que sous les ors du palais de l’Élysée, on préfère ça aux émeutiers.
Année : 2023
Avec : Ahmed Sylla, Antoine Gouy, Habib Dembele, Igor Gotesman, Jonathan Cohen, Julia Piaton, Jérémie Laheurte, Malika Azgag, Mallory Wanecques, Olivier Rosemberg, Stefan Godin, Tewfik Jallab
Télévision : 18 décembre à 21:10-22:58 sur CStar
film : comédie
Catherine se sent délaissée par son mari qui se passionne pour les bonsaïs. Comme si cela ne suffisait, voilà qu'Anna, leur fille unique, débarque chez eux avec son compagnon Thomas à cause d'un problème dans leur appartement. Catherine redoute la cohabitation. Et pour cause : c'est bientôt le capharnaüm chez elle, sa fille et son gendre n'étant pas des plus ordonnés. Catherine n'en peu plus et est bien décidée à chasser le jeune couple. Son mari, qui traînait des pieds jusque là, la soutient désormais. Entre la mère et la fille commence une guerre des nerfs sans merci. Catherine rend la vie impossible à sa fille qui a bien compris son manège... - Critique : La manière dont la comédie populaire va, en France, représenter l’après-Covid reste une interrogation en suspens. Avec son titre entre injonction gouvernementale et slogan d’extrême droite, Chacun chez soi, deuxième long métrage de Michèle Laroque (après le désastreux Brillantissime, en 2018), n’éclairera pas sur la question. Difficile de le lui reprocher : ce film de commande était présenté dès janvier 2020 au festival de l’Alpe-d’Huez, alors que le virus circulait à bas bruit sur le territoire national. Il fait donc, logiquement, comme si de rien n’était. Et n’en apparaît, aujourd’hui, que plus déconnecté. Une thésarde (Alice de Lencquesaing), accompagnée de son petit ami (Olivier Rosemberg), est contrainte de séjourner temporairement chez ses parents (Michèle Laroque et Stéphane De Groodt). Avec sa guéguerre entre jeunes et vieux, le film rejoint ainsi la litanie de productions françaises autour de la famille – l’une des rares formes de collectif qui tiennent encore debout. Ce désir de huis clos irrigue, depuis quelques années, le cinéma hexagonal « grand public », comme en témoignent, par exemple, Retour chez ma mère (Éric Lavaine, 2016) ou Marie-Francine (Valérie Lemercier, 2017). La médiocrité en étendard L’ironie, c’est que Chacun chez soi est devenu, malgré lui, le reflet d’une réalité sociologique : durant les restrictions sanitaires de 2020 et 2021, de nombreux jeunes adultes mal logés ont dû cohabiter, pour le meilleur et pour le pire, avec leurs parents. Dans cette comédie du « monde d’avant », l’écologie en prend pour son grade : un amateur de bonsaïs est forcément un illuminé, et un promoteur de coton bio, un arrogant. L’émotion est doucereuse et la médiocrité, portée en étendard. Les quiproquos sont boulevardiers et les décors, bourgeois – une maison confortable de La Celle-Saint-Cloud, près de Versailles. On entend des répliques du genre « Les enfants, c’est comme les cafards ! ». On se passerait bien d’une énième apologie de l’individualisme, quand trois confinements ont, mécaniquement, entraîné le repli sur soi.
Année : 2020
Avec : Alice de, Diva Sicard, Galice Gracci, Hichem Yacoubi, Laurence Bibot, Lionel Abelanski, Manuel Severi, Michèle Laroque, Mouak Olga, Olivier Rosemberg, Oriane Deschamps, Stéphane de
Télévision : 15 décembre à 02:57-04:26 sur Canal +
film : comédie
Grand espoir de la boxe, Souleyman s'entraîne intensivement avec l'équipe de France en vue des prochains Jeux olympiques. Mais ses rêves de gloire sont soudain réduits à néant en raison de son implication dans une bagarre au cours d'une sortie dans un bar. En sus d'une vilaine blessure à une main, le jeune homme est condamné à effectuer 400 heures de travaux d'intérêt général au château de Chambord. Sur place, Souleyman découvre un univers totalement inconnu auquel il a du mal à s'adapter. Chargé de tâches ingrates, il se morfond jusqu'à sa rencontre avec Mélissa, une adolescente qui semble posséder un talent inné pour la boxe... - Critique : Il était une fois… un film maladroit, ou plutôt mal à gauche, et pas que du crochet. Pour Souleyman (Ahmed Sylla, transparent), c’est la bérézina : promis à un grand avenir, le boxeur se blesse lors d’une rixe en boîte de nuit. Fini les jeux Olympiques, et la carrière en équipe de France. Pire, le jeune homme doit s’acquitter de travaux d’intérêt général… à Chambord. La vie de château, mais côté coulisses : jardinier, palefrenier, Souleyman n’est plus très loin de se noyer dans les douves de l’existence quand il fait la rencontre de Melissa, une jeune fille de l’Assistance, remarquablement habile de ses poings… Alléluia, notre héros va reprendre sa vie en main – dans le costume d’entraîneur cette fois. Et déjà, une histoire d’amour avec la maîtresse du domaine (Julia Piaton, lumineuse) pointe le bout de son nez. Comme un prince : le titre ne ment pas, il s’agit bien d’un conte de fées, mais qu’il est triste ! D’abord ni le réalisateur Ali Marhyar ni Souleyman ne semblent jamais révoltés par l’injustice où est plongé ce pauvre poids plume. Passons aussi sur le fantasme très naïf du cinéaste selon lequel la justice condamnerait un boxeur lorsqu’il se défend contre un ivrogne armé d’un tesson de bouteille, au motif que ses poings sont des « armes blanches » (sic). On bascule d’un plan ou d’un lieu à un autre comme on enchaîne les rounds d’un match de préparation – ainsi des deux Jonathan (Cohen et Lambert), qui passent une tête, sans doute pour rendre service : ils redonnent le sourire mais pas tellement plus. Surtout, on s’inquiète du message (qu’on espère inconscient) envoyé aux vieux immigrés, et à leurs descendants. D’abord quand Eddy explique à Souleyman que pour s’intégrer il lui faut connaître l’histoire de France – rappelant à notre bon souvenir les lois de l’ancien gouvernement Fillon. Ensuite quand on comprend qu’une intégration réussie, c’est branler une épée et nettoyer les écuries d’une sorte de Puy du Fou… Sûr que sous les ors du palais de l’Élysée, on préfère ça aux émeutiers.
Année : 2023
Avec : Ahmed Sylla, Antoine Gouy, Habib Dembele, Igor Gotesman, Jonathan Cohen, Julia Piaton, Jérémie Laheurte, Malika Azgag, Mallory Wanecques, Olivier Rosemberg, Stefan Godin, Tewfik Jallab
Télévision : 9 décembre à 15:07-16:35 sur Canal +
film : comédie
Grand espoir de la boxe, Souleyman s'entraîne intensivement avec l'équipe de France en vue des prochains Jeux olympiques. Mais ses rêves de gloire sont soudain réduits à néant en raison de son implication dans une bagarre au cours d'une sortie dans un bar. En sus d'une vilaine blessure à une main, le jeune homme est condamné à effectuer 400 heures de travaux d'intérêt général au château de Chambord. Sur place, Souleyman découvre un univers totalement inconnu auquel il a du mal à s'adapter. Chargé de tâches ingrates, il se morfond jusqu'à sa rencontre avec Mélissa, une adolescente qui semble posséder un talent inné pour la boxe... - Critique : Il était une fois… un film maladroit, ou plutôt mal à gauche, et pas que du crochet. Pour Souleyman (Ahmed Sylla, transparent), c’est la bérézina : promis à un grand avenir, le boxeur se blesse lors d’une rixe en boîte de nuit. Fini les jeux Olympiques, et la carrière en équipe de France. Pire, le jeune homme doit s’acquitter de travaux d’intérêt général… à Chambord. La vie de château, mais côté coulisses : jardinier, palefrenier, Souleyman n’est plus très loin de se noyer dans les douves de l’existence quand il fait la rencontre de Melissa, une jeune fille de l’Assistance, remarquablement habile de ses poings… Alléluia, notre héros va reprendre sa vie en main – dans le costume d’entraîneur cette fois. Et déjà, une histoire d’amour avec la maîtresse du domaine (Julia Piaton, lumineuse) pointe le bout de son nez. Comme un prince : le titre ne ment pas, il s’agit bien d’un conte de fées, mais qu’il est triste ! D’abord ni le réalisateur Ali Marhyar ni Souleyman ne semblent jamais révoltés par l’injustice où est plongé ce pauvre poids plume. Passons aussi sur le fantasme très naïf du cinéaste selon lequel la justice condamnerait un boxeur lorsqu’il se défend contre un ivrogne armé d’un tesson de bouteille, au motif que ses poings sont des « armes blanches » (sic). On bascule d’un plan ou d’un lieu à un autre comme on enchaîne les rounds d’un match de préparation – ainsi des deux Jonathan (Cohen et Lambert), qui passent une tête, sans doute pour rendre service : ils redonnent le sourire mais pas tellement plus. Surtout, on s’inquiète du message (qu’on espère inconscient) envoyé aux vieux immigrés, et à leurs descendants. D’abord quand Eddy explique à Souleyman que pour s’intégrer il lui faut connaître l’histoire de France – rappelant à notre bon souvenir les lois de l’ancien gouvernement Fillon. Ensuite quand on comprend qu’une intégration réussie, c’est branler une épée et nettoyer les écuries d’une sorte de Puy du Fou… Sûr que sous les ors du palais de l’Élysée, on préfère ça aux émeutiers.
Année : 2023
Avec : Ahmed Sylla, Antoine Gouy, Habib Dembele, Igor Gotesman, Jonathan Cohen, Julia Piaton, Jérémie Laheurte, Malika Azgag, Mallory Wanecques, Olivier Rosemberg, Stefan Godin, Tewfik Jallab
Télévision : 9 décembre à 15:06-16:35 sur Canal +
film : comédie
Grand espoir de la boxe, Souleyman s'entraîne intensivement avec l'équipe de France en vue des prochains Jeux olympiques. Mais ses rêves de gloire sont soudain réduits à néant en raison de son implication dans une bagarre au cours d'une sortie dans un bar. En sus d'une vilaine blessure à une main, le jeune homme est condamné à effectuer 400 heures de travaux d'intérêt général au château de Chambord. Sur place, Souleyman découvre un univers totalement inconnu auquel il a du mal à s'adapter. Chargé de tâches ingrates, il se morfond jusqu'à sa rencontre avec Mélissa, une adolescente qui semble posséder un talent inné pour la boxe... - Critique : Il était une fois… un film maladroit, ou plutôt mal à gauche, et pas que du crochet. Pour Souleyman (Ahmed Sylla, transparent), c’est la bérézina : promis à un grand avenir, le boxeur se blesse lors d’une rixe en boîte de nuit. Fini les jeux Olympiques, et la carrière en équipe de France. Pire, le jeune homme doit s’acquitter de travaux d’intérêt général… à Chambord. La vie de château, mais côté coulisses : jardinier, palefrenier, Souleyman n’est plus très loin de se noyer dans les douves de l’existence quand il fait la rencontre de Melissa, une jeune fille de l’Assistance, remarquablement habile de ses poings… Alléluia, notre héros va reprendre sa vie en main – dans le costume d’entraîneur cette fois. Et déjà, une histoire d’amour avec la maîtresse du domaine (Julia Piaton, lumineuse) pointe le bout de son nez. Comme un prince : le titre ne ment pas, il s’agit bien d’un conte de fées, mais qu’il est triste ! D’abord ni le réalisateur Ali Marhyar ni Souleyman ne semblent jamais révoltés par l’injustice où est plongé ce pauvre poids plume. Passons aussi sur le fantasme très naïf du cinéaste selon lequel la justice condamnerait un boxeur lorsqu’il se défend contre un ivrogne armé d’un tesson de bouteille, au motif que ses poings sont des « armes blanches » (sic). On bascule d’un plan ou d’un lieu à un autre comme on enchaîne les rounds d’un match de préparation – ainsi des deux Jonathan (Cohen et Lambert), qui passent une tête, sans doute pour rendre service : ils redonnent le sourire mais pas tellement plus. Surtout, on s’inquiète du message (qu’on espère inconscient) envoyé aux vieux immigrés, et à leurs descendants. D’abord quand Eddy explique à Souleyman que pour s’intégrer il lui faut connaître l’histoire de France – rappelant à notre bon souvenir les lois de l’ancien gouvernement Fillon. Ensuite quand on comprend qu’une intégration réussie, c’est branler une épée et nettoyer les écuries d’une sorte de Puy du Fou… Sûr que sous les ors du palais de l’Élysée, on préfère ça aux émeutiers.
Année : 2023
Avec : Ahmed Sylla, Antoine Gouy, Habib Dembele, Igor Gotesman, Jonathan Cohen, Julia Piaton, Jérémie Laheurte, Malika Azgag, Mallory Wanecques, Olivier Rosemberg, Stefan Godin, Tewfik Jallab