Télévision : 25 janvier à 10:14-12:02 sur Canal +
film : comédie dramatique
Au début des années 1920, sur la côte française. Au bord de la rupture, un couple se rend à un spectacle de rue où la jeune épouse, Marta, accepte de se prêter au jeu d'un tour de magie. Epuisée par Charles, son mari insupportable, Marta profite de l'occasion pour prendre la poudre d'escampette, laissant Albert, le magicien, se débrouiller avec l'époux inquiet et bientôt menaçant. Pris au piège, l'artiste parvient à convaincre Charles que sa femme se trouve à l'intérieur d'une petite boîte qu'il lui confie en l'avertissant de ne l'ouvrir que s'il voue une confiance aveugle à cette dernière, sous peine de la voir disparaître à jamais... - Critique : De la magie, des forains itinérants, la France des années 1920, un joli hôtel de villégiature au bord de la mer, une bien-aimée qui s’évanouit dans la nature… Diantre, en voilà de belles promesses ! Parmi les personnages, il y a Charles (Denis Podalydès), mari guindé, jaloux et fort désappointé. C’est lui dont l’épouse (Judith Chemla) a disparu, celle-ci ayant profité d’un tour de magie pour prendre la poudre d’escampette. En guise de réponse à l’exigence pressante de Charles de faire revenir immédiatement sa femme, le magicien bonimenteur (Sergi López) lui donne une petite boîte en disant qu’elle se trouve à l’intérieur. Mais il l’avertit : Charles ne doit l’ouvrir qu’à condition d’une absolue confiance en elle, sinon elle disparaîtra à jamais… Adaptée librement d’une pièce méconnue, publiée en 1948 par l’écrivain italien Eduardo De Filippo, La Grande Magie déborde d’atouts. Il y règne un état d’esprit bohème, un charme de guingois, une fantaisie généreuse, un plaisir des acteurs communicatif. La fable invite aussi à danser, puisqu’elle se compose aussi de petites chorégraphies et de chansons, finement mises en musique par Feu ! Chatterton. Reste que la réalisatrice des Sentiments a voulu exprimer trop de choses. Gaieté, drame, loufoquerie, folie, imaginaire, trivialité, variations autour de l’amour… Cela fait beaucoup et nuit à l’histoire, qui a tendance à se déliter et à s’éloigner de son fil principal, le plus intéressant : ce lien étrange et évolutif entre Charles et son épouse. Il manque, sans doute, à ce film qu’on aurait voulu aimer davantage, la densité et le rythme, conditions sine qua non pour l’étourdissement escompté.
Année : 2022
Avec : Caroline Marcadé, Damien Bonnard, Denis Podalydès, Dominique Valadié, François Morel, Judith Chemla, Laurent Stocker, Micha Lescot, Noémie Lvovsky, Paolo Mattei, Philippe Duclos, Rebecca Marder, Sergi López
Télévision : 25 janvier à 10:13-12:01 sur Canal +
film : comédie dramatique
Au début des années 1920, sur la côte française. Au bord de la rupture, un couple se rend à un spectacle de rue où la jeune épouse, Marta, accepte de se prêter au jeu d'un tour de magie. Epuisée par Charles, son mari insupportable, Marta profite de l'occasion pour prendre la poudre d'escampette, laissant Albert, le magicien, se débrouiller avec l'époux inquiet et bientôt menaçant. Pris au piège, l'artiste parvient à convaincre Charles que sa femme se trouve à l'intérieur d'une petite boîte qu'il lui confie en l'avertissant de ne l'ouvrir que s'il voue une confiance aveugle à cette dernière, sous peine de la voir disparaître à jamais... - Critique : De la magie, des forains itinérants, la France des années 1920, un joli hôtel de villégiature au bord de la mer, une bien-aimée qui s’évanouit dans la nature… Diantre, en voilà de belles promesses ! Parmi les personnages, il y a Charles (Denis Podalydès), mari guindé, jaloux et fort désappointé. C’est lui dont l’épouse (Judith Chemla) a disparu, celle-ci ayant profité d’un tour de magie pour prendre la poudre d’escampette. En guise de réponse à l’exigence pressante de Charles de faire revenir immédiatement sa femme, le magicien bonimenteur (Sergi López) lui donne une petite boîte en disant qu’elle se trouve à l’intérieur. Mais il l’avertit : Charles ne doit l’ouvrir qu’à condition d’une absolue confiance en elle, sinon elle disparaîtra à jamais… Adaptée librement d’une pièce méconnue, publiée en 1948 par l’écrivain italien Eduardo De Filippo, La Grande Magie déborde d’atouts. Il y règne un état d’esprit bohème, un charme de guingois, une fantaisie généreuse, un plaisir des acteurs communicatif. La fable invite aussi à danser, puisqu’elle se compose aussi de petites chorégraphies et de chansons, finement mises en musique par Feu ! Chatterton. Reste que la réalisatrice des Sentiments a voulu exprimer trop de choses. Gaieté, drame, loufoquerie, folie, imaginaire, trivialité, variations autour de l’amour… Cela fait beaucoup et nuit à l’histoire, qui a tendance à se déliter et à s’éloigner de son fil principal, le plus intéressant : ce lien étrange et évolutif entre Charles et son épouse. Il manque, sans doute, à ce film qu’on aurait voulu aimer davantage, la densité et le rythme, conditions sine qua non pour l’étourdissement escompté.
Année : 2022
Avec : Caroline Marcadé, Damien Bonnard, Denis Podalydès, Dominique Valadié, François Morel, Judith Chemla, Laurent Stocker, Micha Lescot, Noémie Lvovsky, Paolo Mattei, Philippe Duclos, Rebecca Marder, Sergi López
Télévision : 25 décembre 2023 à 02:06-03:53 sur Canal +
film : comédie dramatique
Au début des années 1920, sur la côte française. Au bord de la rupture, un couple se rend à un spectacle de rue où la jeune épouse, Marta, accepte de se prêter au jeu d'un tour de magie. Epuisée par Charles, son mari insupportable, Marta profite de l'occasion pour prendre la poudre d'escampette, laissant Albert, le magicien, se débrouiller avec l'époux inquiet et bientôt menaçant. Pris au piège, l'artiste parvient à convaincre Charles que sa femme se trouve à l'intérieur d'une petite boîte qu'il lui confie en l'avertissant de ne l'ouvrir que s'il voue une confiance aveugle à cette dernière, sous peine de la voir disparaître à jamais... - Critique : De la magie, des forains itinérants, la France des années 1920, un joli hôtel de villégiature au bord de la mer, une bien-aimée qui s’évanouit dans la nature… Diantre, en voilà de belles promesses ! Parmi les personnages, il y a Charles (Denis Podalydès), mari guindé, jaloux et fort désappointé. C’est lui dont l’épouse (Judith Chemla) a disparu, celle-ci ayant profité d’un tour de magie pour prendre la poudre d’escampette. En guise de réponse à l’exigence pressante de Charles de faire revenir immédiatement sa femme, le magicien bonimenteur (Sergi López) lui donne une petite boîte en disant qu’elle se trouve à l’intérieur. Mais il l’avertit : Charles ne doit l’ouvrir qu’à condition d’une absolue confiance en elle, sinon elle disparaîtra à jamais… Adaptée librement d’une pièce méconnue, publiée en 1948 par l’écrivain italien Eduardo De Filippo, La Grande Magie déborde d’atouts. Il y règne un état d’esprit bohème, un charme de guingois, une fantaisie généreuse, un plaisir des acteurs communicatif. La fable invite aussi à danser, puisqu’elle se compose aussi de petites chorégraphies et de chansons, finement mises en musique par Feu ! Chatterton. Reste que la réalisatrice des Sentiments a voulu exprimer trop de choses. Gaieté, drame, loufoquerie, folie, imaginaire, trivialité, variations autour de l’amour… Cela fait beaucoup et nuit à l’histoire, qui a tendance à se déliter et à s’éloigner de son fil principal, le plus intéressant : ce lien étrange et évolutif entre Charles et son épouse. Il manque, sans doute, à ce film qu’on aurait voulu aimer davantage, la densité et le rythme, conditions sine qua non pour l’étourdissement escompté.
Année : 2022
Avec : Caroline Marcadé, Damien Bonnard, Denis Podalydès, Dominique Valadié, François Morel, Judith Chemla, Laurent Stocker, Micha Lescot, Noémie Lvovsky, Paolo Mattei, Philippe Duclos, Rebecca Marder, Sergi López
Télévision : 25 décembre 2023 à 02:05-03:53 sur Canal +
film : comédie dramatique
Au début des années 1920, sur la côte française. Au bord de la rupture, un couple se rend à un spectacle de rue où la jeune épouse, Marta, accepte de se prêter au jeu d'un tour de magie. Epuisée par Charles, son mari insupportable, Marta profite de l'occasion pour prendre la poudre d'escampette, laissant Albert, le magicien, se débrouiller avec l'époux inquiet et bientôt menaçant. Pris au piège, l'artiste parvient à convaincre Charles que sa femme se trouve à l'intérieur d'une petite boîte qu'il lui confie en l'avertissant de ne l'ouvrir que s'il voue une confiance aveugle à cette dernière, sous peine de la voir disparaître à jamais... - Critique : De la magie, des forains itinérants, la France des années 1920, un joli hôtel de villégiature au bord de la mer, une bien-aimée qui s’évanouit dans la nature… Diantre, en voilà de belles promesses ! Parmi les personnages, il y a Charles (Denis Podalydès), mari guindé, jaloux et fort désappointé. C’est lui dont l’épouse (Judith Chemla) a disparu, celle-ci ayant profité d’un tour de magie pour prendre la poudre d’escampette. En guise de réponse à l’exigence pressante de Charles de faire revenir immédiatement sa femme, le magicien bonimenteur (Sergi López) lui donne une petite boîte en disant qu’elle se trouve à l’intérieur. Mais il l’avertit : Charles ne doit l’ouvrir qu’à condition d’une absolue confiance en elle, sinon elle disparaîtra à jamais… Adaptée librement d’une pièce méconnue, publiée en 1948 par l’écrivain italien Eduardo De Filippo, La Grande Magie déborde d’atouts. Il y règne un état d’esprit bohème, un charme de guingois, une fantaisie généreuse, un plaisir des acteurs communicatif. La fable invite aussi à danser, puisqu’elle se compose aussi de petites chorégraphies et de chansons, finement mises en musique par Feu ! Chatterton. Reste que la réalisatrice des Sentiments a voulu exprimer trop de choses. Gaieté, drame, loufoquerie, folie, imaginaire, trivialité, variations autour de l’amour… Cela fait beaucoup et nuit à l’histoire, qui a tendance à se déliter et à s’éloigner de son fil principal, le plus intéressant : ce lien étrange et évolutif entre Charles et son épouse. Il manque, sans doute, à ce film qu’on aurait voulu aimer davantage, la densité et le rythme, conditions sine qua non pour l’étourdissement escompté.
Année : 2022
Avec : Caroline Marcadé, Damien Bonnard, Denis Podalydès, Dominique Valadié, François Morel, Judith Chemla, Laurent Stocker, Micha Lescot, Noémie Lvovsky, Paolo Mattei, Philippe Duclos, Rebecca Marder, Sergi López
Télévision : 15 décembre 2023 à 01:32-03:20 sur Canal +
film : comédie dramatique
Au début des années 1920, sur la côte française. Au bord de la rupture, un couple se rend à un spectacle de rue où la jeune épouse, Marta, accepte de se prêter au jeu d'un tour de magie. Epuisée par Charles, son mari insupportable, Marta profite de l'occasion pour prendre la poudre d'escampette, laissant Albert, le magicien, se débrouiller avec l'époux inquiet et bientôt menaçant. Pris au piège, l'artiste parvient à convaincre Charles que sa femme se trouve à l'intérieur d'une petite boîte qu'il lui confie en l'avertissant de ne l'ouvrir que s'il voue une confiance aveugle à cette dernière, sous peine de la voir disparaître à jamais... - Critique : De la magie, des forains itinérants, la France des années 1920, un joli hôtel de villégiature au bord de la mer, une bien-aimée qui s’évanouit dans la nature… Diantre, en voilà de belles promesses ! Parmi les personnages, il y a Charles (Denis Podalydès), mari guindé, jaloux et fort désappointé. C’est lui dont l’épouse (Judith Chemla) a disparu, celle-ci ayant profité d’un tour de magie pour prendre la poudre d’escampette. En guise de réponse à l’exigence pressante de Charles de faire revenir immédiatement sa femme, le magicien bonimenteur (Sergi López) lui donne une petite boîte en disant qu’elle se trouve à l’intérieur. Mais il l’avertit : Charles ne doit l’ouvrir qu’à condition d’une absolue confiance en elle, sinon elle disparaîtra à jamais… Adaptée librement d’une pièce méconnue, publiée en 1948 par l’écrivain italien Eduardo De Filippo, La Grande Magie déborde d’atouts. Il y règne un état d’esprit bohème, un charme de guingois, une fantaisie généreuse, un plaisir des acteurs communicatif. La fable invite aussi à danser, puisqu’elle se compose aussi de petites chorégraphies et de chansons, finement mises en musique par Feu ! Chatterton. Reste que la réalisatrice des Sentiments a voulu exprimer trop de choses. Gaieté, drame, loufoquerie, folie, imaginaire, trivialité, variations autour de l’amour… Cela fait beaucoup et nuit à l’histoire, qui a tendance à se déliter et à s’éloigner de son fil principal, le plus intéressant : ce lien étrange et évolutif entre Charles et son épouse. Il manque, sans doute, à ce film qu’on aurait voulu aimer davantage, la densité et le rythme, conditions sine qua non pour l’étourdissement escompté.
Année : 2022
Avec : Caroline Marcadé, Damien Bonnard, Denis Podalydès, Dominique Valadié, François Morel, Judith Chemla, Laurent Stocker, Micha Lescot, Noémie Lvovsky, Paolo Mattei, Philippe Duclos, Rebecca Marder, Sergi López
Télévision : 20 février 2023 à 23:40-01:20 sur Arte
film : drame
Très proche de son père qu'il admire, Luc monte à Paris pour passer le concours d'entrée à l'école Boulle. Dans la rue, Il y rencontre Djemila avec qui il vit une aventure. Mais la jeune femme tombe amoureuse. De retour chez son père, Luc renoue avec Geneviève. Mais Djemila vient le retrouver. Le jeune homme se dérobe, et peu de temps après c'est la jeune provinciale qui tombe enceinte. La jeune fille va alors voir le père du jeune homme et lui avoue tout. Le père veut s'en mêler, mais à Paris, le jeune homme est tombé amoureux d'une troisième jeune fille avec qui il vit… - Critique : Les femmes de sa vie. Et son père, l’homme de sa vie. Voilà ce qui sera montré de Luc, jeune et frêle provincial qui, monté à Paris pour passer le concours de l’école Boulle, y rencontre la belle Djemila, farouche, très sentimentale. Elle est attirée par Luc, mais préfère attendre. Lui est plus impatient, un peu mufle, un peu lâche… Le regard de Philippe Garrel n’est pas tendre. Il l’est davantage avec les femmes. Après Djemila apparaît Geneviève, charnelle, conquérante, possessive. Puis enfin Betsy, volage, libre et dominante à la fois. Trois beaux portraits gravés en noir et blanc frémissant, trois paraboles qui disent la joie et la difficulté d’aimer, l’incompréhension entre homme et femme, la non-concordance du sentiment, les rendez-vous manqués. L’angélisme garrélien est ici tempéré par des notes inédites d’érotisme. Un goût d’intemporel imprègne l’épure, artisanale, servie par de jeunes comédiens fiévreux, tous formidables. On relève quelques maladresses (dont une scène de rixe avec des racistes) et une tonalité d’ensemble peut-être moins vibrante qu’à l’accoutumée. C’est plutôt dans la relation durable avec le père menuisier (André Wilms, intense) que le film se révèle le plus émouvant. Il est bien sûr difficile de ne pas songer à Maurice Garrel, le père de Philippe, disparu en 2011, souvent présent dans son cinéma. Au-delà, c’est toute la généalogie familiale qui se dessine dans cet éloge de la transmission.
Année : 2020
Avec : André Wilms, Antuofermo Logann, Belibi Aline, Caroline Marcadé, Graïa Hammou, Louise Chevillotte, Lucie Epicuero, Martin Mesnier, Oulaya Amamra, Rahimi Alice, Souheila Yacoub, Stefan Crepon, Teddy Chawa