Télévision : mardi 22 avril à 07:12-08:07 sur Canal +
série historique
Reine rebelle. Saison:1 - Episode:5 - Louis a beau être roi, Marie-Antoinette est déterminée à inaugurer son règne en tant que reine de France. Première étape : organiser un bal d'investiture somptueux et convaincre Louis de choisir le candidat pro-autrichien qu'elle défend comme Premier ministre. Lorsque Louis refuse de laisser sa femme autrichienne s'impliquer dans la politique française, un froid s'installe dans leur mariage.
Année : 2022
De : Geoffrey Enthoven
Avec : Caroline Piette, Crystal Shepherd-Cross, Emilia Schüle, Jack Archer, Jasmine Blackborow, Jonas Bloquet, Louis Cunningham, Martijn Lakemeier, Nathan Willcocks, O'Prey Liah, Oscar Lesage, Roxane Duran
Télévision : dimanche 20 avril à 21:11-22:55 sur France 2
film : comédie
L'Espagne du XVIIe siècle. Don Salluste, ministre du roi, méchant et particulièrement cupide, est chargé de la collecte des impôts. Il en profite pour exploiter sans scrupules le petit peuple, au vif déplaisir de Blaze, son valet. Accusé d'avoir eu un enfant illégitime avec une servante, don Salluste est révoqué de ses fonctions. Lorsqu'il apprend que c'est la reine qui est à l'origine de sa disgrâce, il manigance une vengeance des plus perfides. Il écarte de son chemin son cousin don César, un noceur éhonté, le vend à des pirates et lui substitue le pauvre Blaze, dûment chapitré, qu'il présente ensuite à la cour. Don Salluste a en effet deviné tout l'amour que Blaze porte à la reine... - Critique : L’Espagne au XVIIe siècle. Ministre des Finances cupide, l’odieux don Salluste pille, dépouille, exproprie… aux quatre coins du royaume. Les contribuables l’abhorrent, la reine aussi. Elle obtient son exil. Mais le vieux coquin prépare sa vengeance : son valet aura pour mission de compromettre l’importune souveraine… Certes, vous entendrez pour la énième fois Montand prononcer : « Il est l’or, Monseignor. » Vous anticiperez chaque envolée de pompons du génial et survolté de Funès. Vous vous lamenterez peut-être sur le sort du Ruy Blas d’Hugo, allègrement pillé par des scénaristes malicieux. Mais, si l’histoire et la littérature en prennent un coup, la comédie, elle, éclate de santé. Gérard Oury, comme toujours, utilise à plein les ressources du duo comique. Montand, remplaçant Bourvil, disparu à la veille du tournage, joue les valets loufoques avec une évidente jubilation. On ne s’en lasse pas.
Année : 1971
Avec : Alberto de, Antonio Pica, Eduardo Fajardo, Joaquín Solís, Louis de, Paul Préboist, Sapritch Alice, Schubert Karin, Tinti Gabriele, Venantino Venantini, Yves Montand, don Jaime De Mora
Télévision : 14 avril à 21:10-23:10 sur TF1
film : comédie
Pour échapper à la convoitise de Brutus, le fils machiavélique de César, une princesse grecque, la douce Irina, annonce que son coeur ira au champion des prochains Jeux olympiques. Pour Alafolix, c'est un drame. Car ce jeune Gaulois éperdument amoureux d'Irina n'a pas la condition physique pour affronter les plus grands athlètes de l'Empire romain. C'est alors qu'il se tourne vers Panoramix. Grâce à sa potion magique, il peut l'aider. Amusé à l'idée d'infliger une nouvelle défaite aux Romains, le vieux druide se laisse convaincre. A la seule condition qu'Astérix et Obélix accompagnent le jeune homme à Olympie... - Critique : Il faut rendre à Thomas Langmann ce qui appartient à Thomas Langmann : non pas d’avoir eu l’idée très ancienne d’adapter en live Astérix (Louis de Funès lui-même fut naguère envisagé pour le rôle du Gaulois futé !) mais d’aller au bout de ses envies. Langmann a d’abord tanné son père, Claude Berri, pour que celui-ci produise une première adaptation, Astérix et Obélix contre César (1998), de Claude Zidi. Le fils est maintenant directement passé aux commandes, comme producteur et coréalisateur avec Frédéric Forestier. Ce jeune homme fluet devenu l’un des plus grands entrepreneurs du cinéma français – c’est aussi lui qui produit la saga sur Mesrine, avec Vincent Cassel – n’a pas lésiné sur les moyens : 80 millions d’euros de budget et une sortie simultanée dans toute l’Europe (sur 5 000 écrans !) pour une superproduction au casting de choc, si long à énumérer qu’il est presque plus facile de pointer les absents (tiens, il n’y a pas Dujardin…). Tous ces superlatifs s’arrêtent hélas ici. Astérix aux jeux Olympiques se révèle un spectacle assez médiocre. En tout cas nettement moins désopilant et vif que le deuxième opus, Mission : Cléopâtre, signé Chabat, de très loin le meilleur de la série. Avec l’appui d’Uderzo, Langmann a voulu revenir à une adaptation plus fidèle. Fini donc, le délire et les digressions d’Edouard Baer ou de Jamel Debbouze. Place à une action circonscrite, concentrée dans le décor plutôt moche d’un stade olympique où se déroulent ces fameux Jeux. Pénurie de gags Il devrait y avoir du sport, mais le rythme est plan-plan. C’est fâcheux, surtout pour une histoire qui carbure à la potion magique. Parfaitement conforme à sa marionnette des Guignols, incapable donc de caricaturer ce qui l’est déjà, Delon alias César n’est jamais drôle. Clovis Cornillac (Astérix) et Gérard Depardieu (Obélix) ont à peine le temps de se distinguer, leurs personnages étant relégués au second plan. Reste l’incontrôlable Poelvoorde qui, en Brutus, parvient de temps à autre à faire rire, mais moins grâce à ses répliques qu’à ses mimiques dignes de Tex Avery – on aime beaucoup sa tête pétrifiée face aux hurlements d’un lutteur faisant deux fois sa taille. Les effets spéciaux ne compensent pas la pénurie de gags. La satire pèse encore plus lorsque les scénaristes font dans le clin d’œil, en allant puiser dans un patrimoine bien français (une chanson de Johnny, les titres des classiques de Delon…) ou en convoquant des sportifs encore plus bankable que les acteurs (Zidane, Schumacher, Tony Parker). On se croirait à Noël. Côté promotion, tout le monde insiste d’ailleurs sur le caractère bon enfant et familial de l’entreprise – comme si Mission : Cléopâtre, « d’obédience Canal+ », ne l’était pas. La différence se tient peut-être là : dans cette vision passéiste de la famille, produit d’un populisme écrasant, propre à TF1.
Année : 2008
De : Frédéric Forestier
Avec : Alain Delon, Alexandre Astier, Benoît Poelvoorde, Clovis Cornillac, Elie Semoun, Franck Dubosc, Gérard Depardieu, Jean-Pierre Cassel, José Garcia, Santiago Segura, Stéphane Rousseau, Vanessa Hessler
DVD/Blu-ray : 9 avril
Editeur : LCJ Éditions & Productions
Année : 1959
De : François Gir
Avec : Jean Richard, Louis de Funès, Brigitte Auber, Anne Doat, Michel Subor, Jacques Verrières, Gregori Chmara, Jacqueline Caurat
DVD/Blu-ray : 9 avril
Editeur : LCJ Éditions & Productions
Année : 1959
De : François Gir
Avec : Jean Richard, Louis de Funès, Brigitte Auber, Anne Doat, Michel Subor, Jacques Verrières, Gregori Chmara, Jacqueline Caurat