Ivan Goff : passages TV

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Antérieurement en 2018
 

Charlie et ses drôles de dames

Télévision : 4 juin 2018 à 20:55-22:30 sur France 4

film

Natalie Cook, Dylan Sanders et Alex Munday, trois jolies jeunes femmes rompues aux techniques de combat à mains nues et maîtrisant toutes sortes de disciplines tant sportives qu'intellectuelles, travaillent exclusivement pour un mystérieux milliardaire dont elles ne connaissent que le prénom, Charlie. Celui-ci les charge un jour de retrouver Eric Knox, le créateur d'un logiciel révolutionnaire. D'après l'associée d'Eric, le responsable de sa disparition serait un certain Roger Corwin, un riche industriel sans scrupules, désireux de s'approprier le précieux logiciel. Les trois belles se lancent immédiatement sur les traces de l'inventeur... Critique : | Genre : glamour en action. Soit trois détectives canon, aidées d'un lieutenant (Bill Murray), qui se lancent à la recherche d'un créateur de logiciel révolutionnaire victime d'un kidnapping. Les dames, reines du mardi gras, enfilent tous les déguisements de la séduction. Le sport est leur rayon : parachutisme, escrime, plongée sous-marine, karaté. Le scénario a été mille fois remanié, pour servir moins des péripéties que des clins d'oeil en pagaille. Cela donne une sorte d'Austin Powers coquin, le graveleux et le délire en moins, les cascades et le rythme en plus. James Bond prend dix ans dans la vue. Les séquen­ces de kung-fu sont ébouriffantes, Ca­meron Diaz est parfaite. Sémillante, irrésistible quand elle fait l'idiote moche ; excellente danseuse aussi, même dans le ridicule.

Année : 2000

Avec : McG, Cameron Diaz, Drew Barrymore, Lucy Liu, Bill Murray, Sam Rockwell, Kelly Lynch, Tim Curry, Crispin Glover, Ed Shearmur, Ryan Rowe, Ed Solomon, John August, Ivan Goff, Ben Roberts, J Michael Riva, Russell Carpenter

Antérieurement en 2018
 

Charlie et ses drôles de dames

Télévision : 4 juin 2018 à 20:55-22:20 sur France 4

film

Natalie Cook, Dylan Sanders et Alex Munday, trois jolies jeunes femmes rompues aux techniques de combat à mains nues et maîtrisant toutes sortes de disciplines tant sportives qu'intellectuelles, travaillent exclusivement pour un mystérieux milliardaire dont elles ne connaissent que le prénom, Charlie. Celui-ci les charge un jour de retrouver Eric Knox, le créateur d'un logiciel révolutionnaire. D'après l'associée d'Eric, le responsable de sa disparition serait un certain Roger Corwin, un riche industriel sans scrupules, désireux de s'approprier le précieux logiciel. Les trois belles se lancent immédiatement sur les traces de l'inventeur... Critique : | Genre : glamour en action. Soit trois détectives canon, aidées d'un lieutenant (Bill Murray), qui se lancent à la recherche d'un créateur de logiciel révolutionnaire victime d'un kidnapping. Les dames, reines du mardi gras, enfilent tous les déguisements de la séduction. Le sport est leur rayon : parachutisme, escrime, plongée sous-marine, karaté. Le scénario a été mille fois remanié, pour servir moins des péripéties que des clins d'oeil en pagaille. Cela donne une sorte d'Austin Powers coquin, le graveleux et le délire en moins, les cascades et le rythme en plus. James Bond prend dix ans dans la vue. Les séquen­ces de kung-fu sont ébouriffantes, Ca­meron Diaz est parfaite. Sémillante, irrésistible quand elle fait l'idiote moche ; excellente danseuse aussi, même dans le ridicule.

Année : 2000

Avec : McG, Cameron Diaz, Drew Barrymore, Lucy Liu, Bill Murray, Sam Rockwell, Kelly Lynch, Tim Curry, Crispin Glover, Ed Shearmur, Ryan Rowe, Ed Solomon, John August, Ivan Goff, Ben Roberts, J Michael Riva, Russell Carpenter

Antérieurement en 2018
 

L'esclave libre

Télévision : 20 avril 2018 à 13:35-15:45 sur Arte

film d'aventures

Une jeune héritière découvre qu'elle est mulâtre... Dans un décor sudiste flamboyant, Gable, plus Gable tu meurs, étreint Yvonne De Carlo, vibrante et fière. Tant de beauté... Critique : Film de Raoul Walsh (Band of angels, USA, 1957). Scénario : John Twist, Ivan Goff et Ben Roberts, d'après Robert Penn Warren. Image : Lucien Ballard. Musique : Max Steiner. 125 mn. VF. Avec Clark Gable : Hamish. Yvonne De Carlo : Amantha. Sidney Poitier : Rau-Ru. Efrem Zimbalist Jr : Ethan Sears. Le genre : aventures. Dans le Sud esclavagiste, Amantha Starr découvre, à la mort de son père, qu'elle a du sang noir dans les veines. Elle est vendue à un odieux affairiste nommé Calloway, puis « cédée » à un riche planteur, Hamish Bond, qui la traite avec respect. La guerre de Sécession éclate... Comme D. W. Griffith ou John Ford, Raoul Walsh n'a jamais caché sa préférence pour les sudistes. Il oppose ici la noblesse et la prestance des gentlemen du Sud à la veulerie et à la brutalité des soldats nordistes. L'Esclave libre n'est pourtant pas une oeuvre politique : la guerre de Sécession n'est que la toile de fond d'une aventure aux mille péripéties, où se mêlent l'Histoire et l'amour, l'honneur et le danger. Une chaleureuse complicité unit visiblement Clark Gable à Raoul Walsh, qui le dirige pour la troisième fois (après Les Implacables et Le Roi et quatre reines). L'Esclave libre est également pour le cinéaste l'occasion de composer un fascinant portrait de femme, victime des circonstances, mais décidée à tout tenter pour faire triompher ses convictions. André Moreau

Année : 1957

Antérieurement en 2018
 

L'esclave libre

Télévision : 10 avril 2018 à 13:35-15:40 sur Arte

film d'aventures

Une jeune héritière découvre qu'elle est mulâtre... Dans un décor sudiste flamboyant, Gable, plus Gable tu meurs, étreint Yvonne De Carlo, vibrante et fière. Tant de beauté... Critique : Film de Raoul Walsh (Band of angels, USA, 1957). Scénario : John Twist, Ivan Goff et Ben Roberts, d'après Robert Penn Warren. Image : Lucien Ballard. Musique : Max Steiner. 125 mn. VF. Avec Clark Gable : Hamish. Yvonne De Carlo : Amantha. Sidney Poitier : Rau-Ru. Efrem Zimbalist Jr : Ethan Sears. Le genre : aventures. Dans le Sud esclavagiste, Amantha Starr découvre, à la mort de son père, qu'elle a du sang noir dans les veines. Elle est vendue à un odieux affairiste nommé Calloway, puis « cédée » à un riche planteur, Hamish Bond, qui la traite avec respect. La guerre de Sécession éclate... Comme D. W. Griffith ou John Ford, Raoul Walsh n'a jamais caché sa préférence pour les sudistes. Il oppose ici la noblesse et la prestance des gentlemen du Sud à la veulerie et à la brutalité des soldats nordistes. L'Esclave libre n'est pourtant pas une oeuvre politique : la guerre de Sécession n'est que la toile de fond d'une aventure aux mille péripéties, où se mêlent l'Histoire et l'amour, l'honneur et le danger. Une chaleureuse complicité unit visiblement Clark Gable à Raoul Walsh, qui le dirige pour la troisième fois (après Les Implacables et Le Roi et quatre reines). L'Esclave libre est également pour le cinéaste l'occasion de composer un fascinant portrait de femme, victime des circonstances, mais décidée à tout tenter pour faire triompher ses convictions. André Moreau

Année : 1957

Antérieurement en 2018
 

L'esclave libre

Télévision : 2 avril 2018 à 13:30-15:35 sur Arte

film d'aventures

Une jeune héritière découvre qu'elle est mulâtre... Dans un décor sudiste flamboyant, Gable, plus Gable tu meurs, étreint Yvonne De Carlo, vibrante et fière. Tant de beauté... Critique : Film de Raoul Walsh (Band of angels, USA, 1957). Scénario : John Twist, Ivan Goff et Ben Roberts, d'après Robert Penn Warren. Image : Lucien Ballard. Musique : Max Steiner. 125 mn. VF. Avec Clark Gable : Hamish. Yvonne De Carlo : Amantha. Sidney Poitier : Rau-Ru. Efrem Zimbalist Jr : Ethan Sears. Le genre : aventures. Dans le Sud esclavagiste, Amantha Starr découvre, à la mort de son père, qu'elle a du sang noir dans les veines. Elle est vendue à un odieux affairiste nommé Calloway, puis « cédée » à un riche planteur, Hamish Bond, qui la traite avec respect. La guerre de Sécession éclate... Comme D. W. Griffith ou John Ford, Raoul Walsh n'a jamais caché sa préférence pour les sudistes. Il oppose ici la noblesse et la prestance des gentlemen du Sud à la veulerie et à la brutalité des soldats nordistes. L'Esclave libre n'est pourtant pas une oeuvre politique : la guerre de Sécession n'est que la toile de fond d'une aventure aux mille péripéties, où se mêlent l'Histoire et l'amour, l'honneur et le danger. Une chaleureuse complicité unit visiblement Clark Gable à Raoul Walsh, qui le dirige pour la troisième fois (après Les Implacables et Le Roi et quatre reines). L'Esclave libre est également pour le cinéaste l'occasion de composer un fascinant portrait de femme, victime des circonstances, mais décidée à tout tenter pour faire triompher ses convictions. André Moreau

Année : 1957

Antérieurement en 2018
 

Charlie et ses drôles de dames

Télévision : 11 février 2018 à 21:10-22:40 sur France 4

film

Natalie Cook, Dylan Sanders et Alex Munday, trois jolies jeunes femmes rompues aux techniques de combat à mains nues et maîtrisant toutes sortes de disciplines tant sportives qu'intellectuelles, travaillent exclusivement pour un mystérieux milliardaire dont elles ne connaissent que le prénom, Charlie. Celui-ci les charge un jour de retrouver Eric Knox, le créateur d'un logiciel révolutionnaire. D'après l'associée d'Eric, le responsable de sa disparition serait un certain Roger Corwin, un riche industriel sans scrupules, désireux de s'approprier le précieux logiciel. Les trois belles se lancent immédiatement sur les traces de l'inventeur... Critique : Film de Joseph McGinty Nichol (Charlie's Angels, USA, 2000). Scénario : Ryan Rowe d'après Ivan Goff. Image : Russell Carpenter. 95 mn. VF. Avec Cameron Diaz : Natalie. Drew Barrymore : Dylan. Lucy Liu : Alex. Bill Murray : Bosley. Le genre : glamour en action. Bouffée soudaine de souvenirs d'après-midi frappés d'ennui devant la télé : c'était le milieu des années 70, Drôles de dames, postféministe avant l'heure, faisait fureur. Trois pin-up, dont la blondissime Farrah Fawcett, jouaient les détectives. Flirt du sex-appeal et de l'action. Les filles adoraient ; les mecs reluquaient. Le recyclage de cette série culte surfe allègrement sur la vague du revival 70's et du « beau-laid ». Lunettes larges fumées, robes soyeuses aux couleurs pétantes, tout cela est étudié comme dans une pub Versace. Ou comment saturer l'image de glamour spectaculaire. Soit donc trois détectives canon, aidées d'un lieutenant (Bill Murray, comme toujours irréprochable), qui se lancent à la recherche d'un créateur de logiciel révolutionnaire, victime d'un kidnapping. Les dames, reines du mardi gras, enfilent tous les déguisements de la séduction. Le sport aussi est leur rayon : parachutisme, escrime, plongée sous-marine, karaté. Le scénario a été mille fois remanié, moins pour servir des péripéties (secondaires ici) que des clins d'oeil en pagaille. Cela donne un collage pop, une sorte d'Austin Powers coquin, le graveleux et le délire en moins, les cascades et le rythme en plus. James Bond prend soudain dix ans dans la vue. Les séquences de kung-fu sont ébouriffantes et surtout Cameron Diaz est parfaite. Sémillante, irrésistible quand elle fait l'idiote moche, excellente danseuse aussi, même dans le ridicule. Qui d'autre peut se dévaluer avec autant de fraîcheur ? Jacques Morice

Année : 2000

Antérieurement en 2018
 

Charlie et ses drôles de dames

Télévision : 11 février 2018 à 21:05-22:35 sur France 4

film

Natalie Cook, Dylan Sanders et Alex Munday, trois jolies jeunes femmes rompues aux techniques de combat à mains nues et maîtrisant toutes sortes de disciplines tant sportives qu'intellectuelles, travaillent exclusivement pour un mystérieux milliardaire dont elles ne connaissent que le prénom, Charlie. Celui-ci les charge un jour de retrouver Eric Knox, le créateur d'un logiciel révolutionnaire. D'après l'associée d'Eric, le responsable de sa disparition serait un certain Roger Corwin, un riche industriel sans scrupules, désireux de s'approprier le précieux logiciel. Les trois belles se lancent immédiatement sur les traces de l'inventeur... Critique : Film de Joseph McGinty Nichol (Charlie's Angels, USA, 2000). Scénario : Ryan Rowe d'après Ivan Goff. Image : Russell Carpenter. 95 mn. VF. Avec Cameron Diaz : Natalie. Drew Barrymore : Dylan. Lucy Liu : Alex. Bill Murray : Bosley. Le genre : glamour en action. Bouffée soudaine de souvenirs d'après-midi frappés d'ennui devant la télé : c'était le milieu des années 70, Drôles de dames, postféministe avant l'heure, faisait fureur. Trois pin-up, dont la blondissime Farrah Fawcett, jouaient les détectives. Flirt du sex-appeal et de l'action. Les filles adoraient ; les mecs reluquaient. Le recyclage de cette série culte surfe allègrement sur la vague du revival 70's et du « beau-laid ». Lunettes larges fumées, robes soyeuses aux couleurs pétantes, tout cela est étudié comme dans une pub Versace. Ou comment saturer l'image de glamour spectaculaire. Soit donc trois détectives canon, aidées d'un lieutenant (Bill Murray, comme toujours irréprochable), qui se lancent à la recherche d'un créateur de logiciel révolutionnaire, victime d'un kidnapping. Les dames, reines du mardi gras, enfilent tous les déguisements de la séduction. Le sport aussi est leur rayon : parachutisme, escrime, plongée sous-marine, karaté. Le scénario a été mille fois remanié, moins pour servir des péripéties (secondaires ici) que des clins d'oeil en pagaille. Cela donne un collage pop, une sorte d'Austin Powers coquin, le graveleux et le délire en moins, les cascades et le rythme en plus. James Bond prend soudain dix ans dans la vue. Les séquences de kung-fu sont ébouriffantes et surtout Cameron Diaz est parfaite. Sémillante, irrésistible quand elle fait l'idiote moche, excellente danseuse aussi, même dans le ridicule. Qui d'autre peut se dévaluer avec autant de fraîcheur ? Jacques Morice

Année : 2000