Ben Roberts : passages TV et dernières sorties Prime Video

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Antérieurement en 2022
 

Pete the Cat - Season 1, Part 1

Prime Video : 30 mai 2022

Based on the New York Times #1 best-selling children’s books, Pete the Cat is a fun, musically driven series about exploring your world and trying new things; while being smart, accepting, and optimistic. Whether you’re making new friends, or facing all of life’s ups and downs, Pete highlights the groovy lessons life can teach you.

De : Jeff 'Swampy' Marsh, Van Partible, Bernie Petterson, Jeff Swampy Marsh, Jennifer Davisson, Laura Lancaster, Andrew Kosove, Broderick Johnson, Gerry Shirren, Ben Roberts, Nathaniel Posey, James Dean, Lance LeCompte, Paul Young

Avec : Elvis Costello, Django Marsh, Don Was, Jessica Biel, Alyson Stoner, Atticus Shaffer, Juliet Donenfeld, Jacob Tremblay, Diana Krall, Indie Nameth, KT Tunstall

Antérieurement en 2021
 

The Expanse - Season 1

Prime Video : 2 novembre 2021

The disappearance of rich-girl-turned-political-activist Julie Mao links the lives of Ceres detective Joe Miller (Thomas Jane), accidental ship captain James Holden (Steven Strait) and U.N. politician Chrisjen Avasarala (Shohreh Aghdashloo). Amidst political tension between Earth, Mars and the Belt, they unravel the single greatest conspiracy of all time.

De : Mark Fergus, Hawk Ostby, Robin Veith, Naren Shankar, Ben Cook, Ben Roberts, Andrew Kosove, Sharon Hall, Sean Daniel, Ty Franck, Broderick Johnson, Daniel Abraham, Lynn Raynor, Dan Nowak, Jason Ning, Jason F Brown

Avec : Steven Strait, Cas Anvar, Dominique Tipper, Wes Chatham, Shohreh Aghdashloo, Frankie Adams, Cara Gee, Thomas Jane, Florence Faivre, Shawn Doyle

Antérieurement en 2018
 

Charlie et ses drôles de dames

Télévision : 4 juin 2018 à 20:55-22:30 sur France 4

film

Natalie Cook, Dylan Sanders et Alex Munday, trois jolies jeunes femmes rompues aux techniques de combat à mains nues et maîtrisant toutes sortes de disciplines tant sportives qu'intellectuelles, travaillent exclusivement pour un mystérieux milliardaire dont elles ne connaissent que le prénom, Charlie. Celui-ci les charge un jour de retrouver Eric Knox, le créateur d'un logiciel révolutionnaire. D'après l'associée d'Eric, le responsable de sa disparition serait un certain Roger Corwin, un riche industriel sans scrupules, désireux de s'approprier le précieux logiciel. Les trois belles se lancent immédiatement sur les traces de l'inventeur... Critique : | Genre : glamour en action. Soit trois détectives canon, aidées d'un lieutenant (Bill Murray), qui se lancent à la recherche d'un créateur de logiciel révolutionnaire victime d'un kidnapping. Les dames, reines du mardi gras, enfilent tous les déguisements de la séduction. Le sport est leur rayon : parachutisme, escrime, plongée sous-marine, karaté. Le scénario a été mille fois remanié, pour servir moins des péripéties que des clins d'oeil en pagaille. Cela donne une sorte d'Austin Powers coquin, le graveleux et le délire en moins, les cascades et le rythme en plus. James Bond prend dix ans dans la vue. Les séquen­ces de kung-fu sont ébouriffantes, Ca­meron Diaz est parfaite. Sémillante, irrésistible quand elle fait l'idiote moche ; excellente danseuse aussi, même dans le ridicule.

Année : 2000

Avec : McG, Cameron Diaz, Drew Barrymore, Lucy Liu, Bill Murray, Sam Rockwell, Kelly Lynch, Tim Curry, Crispin Glover, Ed Shearmur, Ryan Rowe, Ed Solomon, John August, Ivan Goff, Ben Roberts, J Michael Riva, Russell Carpenter

Antérieurement en 2018
 

Charlie et ses drôles de dames

Télévision : 4 juin 2018 à 20:55-22:20 sur France 4

film

Natalie Cook, Dylan Sanders et Alex Munday, trois jolies jeunes femmes rompues aux techniques de combat à mains nues et maîtrisant toutes sortes de disciplines tant sportives qu'intellectuelles, travaillent exclusivement pour un mystérieux milliardaire dont elles ne connaissent que le prénom, Charlie. Celui-ci les charge un jour de retrouver Eric Knox, le créateur d'un logiciel révolutionnaire. D'après l'associée d'Eric, le responsable de sa disparition serait un certain Roger Corwin, un riche industriel sans scrupules, désireux de s'approprier le précieux logiciel. Les trois belles se lancent immédiatement sur les traces de l'inventeur... Critique : | Genre : glamour en action. Soit trois détectives canon, aidées d'un lieutenant (Bill Murray), qui se lancent à la recherche d'un créateur de logiciel révolutionnaire victime d'un kidnapping. Les dames, reines du mardi gras, enfilent tous les déguisements de la séduction. Le sport est leur rayon : parachutisme, escrime, plongée sous-marine, karaté. Le scénario a été mille fois remanié, pour servir moins des péripéties que des clins d'oeil en pagaille. Cela donne une sorte d'Austin Powers coquin, le graveleux et le délire en moins, les cascades et le rythme en plus. James Bond prend dix ans dans la vue. Les séquen­ces de kung-fu sont ébouriffantes, Ca­meron Diaz est parfaite. Sémillante, irrésistible quand elle fait l'idiote moche ; excellente danseuse aussi, même dans le ridicule.

Année : 2000

Avec : McG, Cameron Diaz, Drew Barrymore, Lucy Liu, Bill Murray, Sam Rockwell, Kelly Lynch, Tim Curry, Crispin Glover, Ed Shearmur, Ryan Rowe, Ed Solomon, John August, Ivan Goff, Ben Roberts, J Michael Riva, Russell Carpenter

Antérieurement en 2018
 

L'esclave libre

Télévision : 20 avril 2018 à 13:35-15:45 sur Arte

film d'aventures

Une jeune héritière découvre qu'elle est mulâtre... Dans un décor sudiste flamboyant, Gable, plus Gable tu meurs, étreint Yvonne De Carlo, vibrante et fière. Tant de beauté... Critique : Film de Raoul Walsh (Band of angels, USA, 1957). Scénario : John Twist, Ivan Goff et Ben Roberts, d'après Robert Penn Warren. Image : Lucien Ballard. Musique : Max Steiner. 125 mn. VF. Avec Clark Gable : Hamish. Yvonne De Carlo : Amantha. Sidney Poitier : Rau-Ru. Efrem Zimbalist Jr : Ethan Sears. Le genre : aventures. Dans le Sud esclavagiste, Amantha Starr découvre, à la mort de son père, qu'elle a du sang noir dans les veines. Elle est vendue à un odieux affairiste nommé Calloway, puis « cédée » à un riche planteur, Hamish Bond, qui la traite avec respect. La guerre de Sécession éclate... Comme D. W. Griffith ou John Ford, Raoul Walsh n'a jamais caché sa préférence pour les sudistes. Il oppose ici la noblesse et la prestance des gentlemen du Sud à la veulerie et à la brutalité des soldats nordistes. L'Esclave libre n'est pourtant pas une oeuvre politique : la guerre de Sécession n'est que la toile de fond d'une aventure aux mille péripéties, où se mêlent l'Histoire et l'amour, l'honneur et le danger. Une chaleureuse complicité unit visiblement Clark Gable à Raoul Walsh, qui le dirige pour la troisième fois (après Les Implacables et Le Roi et quatre reines). L'Esclave libre est également pour le cinéaste l'occasion de composer un fascinant portrait de femme, victime des circonstances, mais décidée à tout tenter pour faire triompher ses convictions. André Moreau

Année : 1957

Antérieurement en 2018
 

L'esclave libre

Télévision : 10 avril 2018 à 13:35-15:40 sur Arte

film d'aventures

Une jeune héritière découvre qu'elle est mulâtre... Dans un décor sudiste flamboyant, Gable, plus Gable tu meurs, étreint Yvonne De Carlo, vibrante et fière. Tant de beauté... Critique : Film de Raoul Walsh (Band of angels, USA, 1957). Scénario : John Twist, Ivan Goff et Ben Roberts, d'après Robert Penn Warren. Image : Lucien Ballard. Musique : Max Steiner. 125 mn. VF. Avec Clark Gable : Hamish. Yvonne De Carlo : Amantha. Sidney Poitier : Rau-Ru. Efrem Zimbalist Jr : Ethan Sears. Le genre : aventures. Dans le Sud esclavagiste, Amantha Starr découvre, à la mort de son père, qu'elle a du sang noir dans les veines. Elle est vendue à un odieux affairiste nommé Calloway, puis « cédée » à un riche planteur, Hamish Bond, qui la traite avec respect. La guerre de Sécession éclate... Comme D. W. Griffith ou John Ford, Raoul Walsh n'a jamais caché sa préférence pour les sudistes. Il oppose ici la noblesse et la prestance des gentlemen du Sud à la veulerie et à la brutalité des soldats nordistes. L'Esclave libre n'est pourtant pas une oeuvre politique : la guerre de Sécession n'est que la toile de fond d'une aventure aux mille péripéties, où se mêlent l'Histoire et l'amour, l'honneur et le danger. Une chaleureuse complicité unit visiblement Clark Gable à Raoul Walsh, qui le dirige pour la troisième fois (après Les Implacables et Le Roi et quatre reines). L'Esclave libre est également pour le cinéaste l'occasion de composer un fascinant portrait de femme, victime des circonstances, mais décidée à tout tenter pour faire triompher ses convictions. André Moreau

Année : 1957

Antérieurement en 2018
 

L'esclave libre

Télévision : 2 avril 2018 à 13:30-15:35 sur Arte

film d'aventures

Une jeune héritière découvre qu'elle est mulâtre... Dans un décor sudiste flamboyant, Gable, plus Gable tu meurs, étreint Yvonne De Carlo, vibrante et fière. Tant de beauté... Critique : Film de Raoul Walsh (Band of angels, USA, 1957). Scénario : John Twist, Ivan Goff et Ben Roberts, d'après Robert Penn Warren. Image : Lucien Ballard. Musique : Max Steiner. 125 mn. VF. Avec Clark Gable : Hamish. Yvonne De Carlo : Amantha. Sidney Poitier : Rau-Ru. Efrem Zimbalist Jr : Ethan Sears. Le genre : aventures. Dans le Sud esclavagiste, Amantha Starr découvre, à la mort de son père, qu'elle a du sang noir dans les veines. Elle est vendue à un odieux affairiste nommé Calloway, puis « cédée » à un riche planteur, Hamish Bond, qui la traite avec respect. La guerre de Sécession éclate... Comme D. W. Griffith ou John Ford, Raoul Walsh n'a jamais caché sa préférence pour les sudistes. Il oppose ici la noblesse et la prestance des gentlemen du Sud à la veulerie et à la brutalité des soldats nordistes. L'Esclave libre n'est pourtant pas une oeuvre politique : la guerre de Sécession n'est que la toile de fond d'une aventure aux mille péripéties, où se mêlent l'Histoire et l'amour, l'honneur et le danger. Une chaleureuse complicité unit visiblement Clark Gable à Raoul Walsh, qui le dirige pour la troisième fois (après Les Implacables et Le Roi et quatre reines). L'Esclave libre est également pour le cinéaste l'occasion de composer un fascinant portrait de femme, victime des circonstances, mais décidée à tout tenter pour faire triompher ses convictions. André Moreau

Année : 1957