Télévision : 26 décembre à 23:20-01:38 sur TMC
film : comédie
A l'approche des fêtes de Noël, les habitations se parent de leurs plus belles décorations. Chris, un père de famille au chômage, n'a qu'une seule idée en tête : remporter le prix tant convoité de la maison la mieux décorée du quartier. Il fait les boutiques, à la recherche des plus belles décorations. Dans l'une d'elles, il signe, sans s'en rendre compte, un pacte avec la vendeuse, ignorant qu'il s'agit d'une elfe espiègle qui lui a jeté un sort. Elle va l'aider à remporter le concours, mais le prix à payer sera élevé... - Critique : Après Un prince à New York 2 (2021), Noël à Candy Cane Lane est le deuxième long métrage d’un contrat de trois signé par Eddie Murphy avec Amazon Prime Video. Le comédien retrouve, pour l’occasion, le réalisateur Reginald Hudlin, qui l’avait dirigé dans la comédie romantique Boomerang, il y a plus de trente ans. Pour gagner un concours de décorations qui récompense la plus belle maison du quartier, un commercial de Los Angeles, marié, père de trois enfants, conclut un pacte avec une elfe maléfique. Le sortilège donne vie aux personnages, ici malintentionnés, du chant The Twelve Days of Christmas (« Les Douze Jours de Noël »), dont une vilaine basse-cour en images de synthèse et une troupe bondissante d’acrobates, jusqu’au point d’orgue en forme de bataille de fanfares. Ce n’est pas la première fois que l’acteur est victime d’un sort un peu ridicule : dans Mille Mots (Brian Robbins, 2012), il entrait en symbiose avec un arbre perdant une feuille à chacune de ses paroles, potentiellement jusqu’à la mort. Des protagonistes attachants Que le héros soit licencié juste avant le réveillon laissait espérer une fable morale à la Frank Capra, façon Un fauteuil pour deux (John Landis, 1983, avec Eddie Murphy et Dan Aykroyd). Ou un rôle « méta » qui offrirait, entre les lignes, un commentaire sur la carrière de Murphy, star devenue ringarde à Hollywood. Négligeant ces deux pistes, le cinéaste se limite à un conte de Noël inoffensif, qui rappelle la suprématie de la famille sur l’argent. La petite surprise tient aux figurines vivantes, ex-humains eux aussi victimes du maléfice, condamnées à vivre dans les maisons de poupées d’un magasin magique. Mention spéciale à celle dont la tâche prométhéenne consiste à allumer puis éteindre un réverbère quotidiennement, pour l’éternité. Ces protagonistes en 3D se révèlent immédiatement attachants, grâce à l’agréable tintement de leur porcelaine et à leur gestuelle saccadée qui évoque l’animation en stop-motion. La séquence au volant d’une voiture miniature place in extremis le film sur les traces du Joe Dante de Gremlins (1984) ou de Small Soldiers (1998), le vitriol en moins.
Année : 2023
De : Hudlin Reginald
Avec : Anjelah Johnson-Reyes, Chris Redd, David Alan, Eddie Murphy, Jillian Bell, Ken Marino, Madison Thomas, Nick Offerman, Richmond Talauega, Robin Thede, Thaddeus J, Tone Talauega, Tracee Ellis, Walton Genneya
Télévision : 21 décembre à 21:15-23:35 sur TMC
film : comédie
A l'approche des fêtes de Noël, les habitations se parent de leurs plus belles décorations. Chris se dispute, avec ses voisins, le titre tant convoité de la maison la mieux décorée du quartier. Il fait les boutiques, à la recherche des plus belles décorations. Dans l'une d'elles, il signe, sans s'en rendre compte, un pacte avec la vendeuse, ignorant qu'il s'agit d'une elfe espiègle qui lui a jeté un sort. Elle va l'aider à remporter le concours, mais le prix à payer sera élevé... - Critique : Après Un prince à New York 2 (2021), Noël à Candy Cane Lane est le deuxième long métrage d’un contrat de trois signé par Eddie Murphy avec Amazon Prime Video. Le comédien retrouve, pour l’occasion, le réalisateur Reginald Hudlin, qui l’avait dirigé dans la comédie romantique Boomerang, il y a plus de trente ans. Pour gagner un concours de décorations qui récompense la plus belle maison du quartier, un commercial de Los Angeles, marié, père de trois enfants, conclut un pacte avec une elfe maléfique. Le sortilège donne vie aux personnages, ici malintentionnés, du chant The Twelve Days of Christmas (« Les Douze Jours de Noël »), dont une vilaine basse-cour en images de synthèse et une troupe bondissante d’acrobates, jusqu’au point d’orgue en forme de bataille de fanfares. Ce n’est pas la première fois que l’acteur est victime d’un sort un peu ridicule : dans Mille Mots (Brian Robbins, 2012), il entrait en symbiose avec un arbre perdant une feuille à chacune de ses paroles, potentiellement jusqu’à la mort. Des protagonistes attachants Que le héros soit licencié juste avant le réveillon laissait espérer une fable morale à la Frank Capra, façon Un fauteuil pour deux (John Landis, 1983, avec Eddie Murphy et Dan Aykroyd). Ou un rôle « méta » qui offrirait, entre les lignes, un commentaire sur la carrière de Murphy, star devenue ringarde à Hollywood. Négligeant ces deux pistes, le cinéaste se limite à un conte de Noël inoffensif, qui rappelle la suprématie de la famille sur l’argent. La petite surprise tient aux figurines vivantes, ex-humains eux aussi victimes du maléfice, condamnées à vivre dans les maisons de poupées d’un magasin magique. Mention spéciale à celle dont la tâche prométhéenne consiste à allumer puis éteindre un réverbère quotidiennement, pour l’éternité. Ces protagonistes en 3D se révèlent immédiatement attachants, grâce à l’agréable tintement de leur porcelaine et à leur gestuelle saccadée qui évoque l’animation en stop-motion. La séquence au volant d’une voiture miniature place in extremis le film sur les traces du Joe Dante de Gremlins (1984) ou de Small Soldiers (1998), le vitriol en moins.
Année : 2023
De : Hudlin Reginald
Avec : Catherine Dent, Chris Redd, Eddie Murphy, Jillian Bell, Ken Marino, Madison Thomas, Nick Offerman, Pinnock Danielle, Richmond Talauega, Robin Thede, Thaddeus J, Tone Talauega, Tracee Ellis, Walton Genneya
Prime Video : 10 octobre
Shrek, un ogre verdâtre, cynique et malicieux, a élu domicile dans un marécage qu’il croit être un havre de paix. Un matin, alors qu’il sort faire sa toilette, il découvre de petites créatures agaçantes qui errent dans son marais. Shrek se rend alors au château du seigneur Lord Farquaad, qui aurait soi‐disant expulsé ces êtres de son royaume. Ce dernier souhaite épouser la princesse Fiona, mais celle‐ci est retenue prisonnière par un abominable dragon. Il lui faut un chevalier assez brave pour secourir la belle. Shrek accepte d’accomplir cette mission. En échange, le seigneur devra débarrasser son marécage de ces créatures envahissantes. Or, la princesse Fiona cache un secret terrifiant qui va entraîner Shrek et son compagnon l’âne dans une palpitante et périlleuse aventure.
De : Andrew Adamson, Vicky Jenson
Avec : Mike Myers, Eddie Murphy, Cameron Diaz, John Lithgow, Vincent Cassel, Peter Dennis, Clive Pearse
Prime Video : 9 octobre
L’ogre Shrek n’avait pas quitté son marécage pestilentiel et épousé sa chère Fiona pour devenir roi. C’est pourtant ce qui risque de lui arriver après que son beau‐père Harold clabote soudain sans crier gare. S’il n’arrive pas à dénicher illico un roi avec l’aide de ses fidèles compagnons, l’Âne et le Chat Potté, Shrek deviendra le prochain souverain du Royaume Fort Fort Lointain. Bonjour les ennuis ! À moins qu’Artie, le cousin loser de Fiona, ne se laisse convaincre de monter sur le trône à sa place. Mais ce paumé a‐t‐il vraiment l’étoffe d’un roi ?
De : Chris Miller
Avec : Mike Myers, Eddie Murphy, Cameron Diaz, Antonio Banderas, Julie Andrews, John Cleese, Rupert Everett
Netflix : 25 juillet
Dans cette nouvelle aventure Axel Foley va mener l'enquête dans le célèbre parc d'attractions de Wonderworld à Beverly Hills. Il recherche le dangereux commanditaire d'une bande de voleurs de voitures responsable de la mort de son ami Todd.
De : John Landis
Avec : Eddie Murphy, Judge Reinhold, Hector Elizondo, Timothy Carhart, John Saxon, Theresa Randle, Stephen McHattie
Netflix : 23 juillet
Axel Foley est de retour à Beverly Hills. Cette fois, il vient prêter main forte à ses collègues et amis pour résoudre une affaire de vol de bijoux.
De : Tony Scott
Avec : Eddie Murphy, Judge Reinhold, Jürgen Prochnow, Ronny Cox, John Ashton, Brigitte Nielsen, Allen Garfield
Netflix : 22 juillet
Quarante ans après sa première enquête mémorable à Beverly Hills, le flic de Détroit Axel Foley revient faire ce qu'il fait le mieux : résoudre les crimes et semer le chaos.
De : Mark Molloy
Avec : Eddie Murphy, Judge Reinhold, John Ashton, Joseph Gordon-Levitt, Kevin Bacon, Taylour Paige, Paul Reiser