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Récemment en novembre
 

Napoléon

Télévision : 14 novembre à 15:15-17:48 sur Canal +

film historique

Fin du XVIIIe siècle, dans un royaume de France en proie à de graves troubles. Issu d'une famille de la petite noblesse corse, le jeune Napoléon Bonaparte, lieutenant dans le régiment d'artillerie de la Fère, accomplit avec grand brio les différentes missions de répression qui lui sont confiées. Nommé capitaine en 1793, il se montre une nouvelle fois intraitable au cours du conflit qui oppose le pays au Saint-Empire romain germanique. L'ambitieux Napoléon poursuit ainsi son irrésistible ascension et obtient le grade de général deux ans plus tard, peu avant sa rencontre avec une séduisante et charismatique veuve, Joséphine de Beauharnais... - Critique : Après Moïse et Christophe Colomb, pourquoi pas Napoléon ? Ce n’est pas la modestie qui étouffe Ridley Scott. Toute proportion gardée, on jurerait qu’il s’est un peu reconnu dans la folie des grandeurs de l’Empereur, dans son manque certain d’humour et son art de mettre en scène la guerre. Les batailles, c’est à peu près la seule chose digne d’être sauvée. Celle, victorieuse, d’Austerlitz, avec ses soldats russes encerclés puis piégés au-dessus des étangs gelés. Mais aussi la grande débâcle de Waterloo, révélant des Britanniques parfaitement organisés, grâce à la formation en carrés de leur infanterie. Les amateurs du Prussien Carl von Clausewitz ou des parties de Risk apprécieront. Un génie de la stratégie militaire et un envahisseur sanguinaire, voilà à quoi s’arrête ce portrait du général au bicorne. C’est insuffisant. Et désinvolte quant à la vérité factuelle – les tirs au canon sur les pyramides d’Égypte font partie des premières inexactitudes relevées par les historiens. Rien sur la politique de Napoléon en France, sa gouvernance, ses tactiques, son despotisme complexe ? Un portrait qui frise la farce Le film dure pourtant deux heures et quarante minutes, mais ne fait qu’aligner des dates, en survolant de manière très superficielle ce qu’elles recouvrent, comme dans une bande-annonce. Le siège de Toulon, en 1793 (première victoire décisive), le coup d’État de 1799, le rôle de Premier consul, le sacre d’Empereur… Un seul autre personnage se détache, celui de l’épouse, Joséphine de Beauharnais (Vanessa Kirby), montrée comme une forte tête, capable de lui résister. Mais même cette impératrice, forcée à divorcer, n’existe pas vraiment, sinon comme un fantasme projeté par Napoléon, qui lui écrit des lettres enflammées – et dénuées de la moindre poésie. Ce qu’elle ressent, ce qu’elle pense ne sont jamais fouillés. On se demande d’ailleurs si la dame l’aime vraiment, ce nabot mal poli. Et comment le pourrait-elle, tant Ridley Scott fait de l’Aigle un laideron, un tyran quasiment autiste et un piètre amant. Le portrait, chargé, frise la farce involontaire. L’utilisation de la langue de Shakespeare dans la bouche du Corse pleurard très attaché à sa maman n’arrange rien. Pas plus que l’interprétation de Joaquin Phoenix – impossible de voir en lui Napoléon, on ne voit que l’acteur (ou le chanteur Serge Lama ?), figé dans son rôle. Bref, si l’on était cocardier, on pourrait soupçonner une opération téléguidée par les services secrets britanniques…

Année : 2023

Avec : Ben Miles, Dale Mercer, Francesca Jaynes, Joaquin Phoenix, John Hollingworth, Julian Rhind-Tutt, Mark Bonnar, Matthew Needham, Paul Rhys, Rupert Everett, Sinéad Cusack, Tahar Rahim, Vanessa Kirby, Youssef Kerkour

Récemment en novembre
 

Napoléon

Télévision : 14 novembre à 15:14-17:47 sur Canal +

film historique

Fin du XVIIIe siècle, dans un royaume de France en proie à de graves troubles. Issu d'une famille de la petite noblesse corse, le jeune Napoléon Bonaparte, lieutenant dans le régiment d'artillerie de la Fère, accomplit avec grand brio les différentes missions de répression qui lui sont confiées. Nommé capitaine en 1793, il se montre une nouvelle fois intraitable au cours du conflit qui oppose le pays au Saint-Empire romain germanique. L'ambitieux Napoléon poursuit ainsi son irrésistible ascension et obtient le grade de général deux ans plus tard, peu avant sa rencontre avec une séduisante et charismatique veuve, Joséphine de Beauharnais... - Critique : Après Moïse et Christophe Colomb, pourquoi pas Napoléon ? Ce n’est pas la modestie qui étouffe Ridley Scott. Toute proportion gardée, on jurerait qu’il s’est un peu reconnu dans la folie des grandeurs de l’Empereur, dans son manque certain d’humour et son art de mettre en scène la guerre. Les batailles, c’est à peu près la seule chose digne d’être sauvée. Celle, victorieuse, d’Austerlitz, avec ses soldats russes encerclés puis piégés au-dessus des étangs gelés. Mais aussi la grande débâcle de Waterloo, révélant des Britanniques parfaitement organisés, grâce à la formation en carrés de leur infanterie. Les amateurs du Prussien Carl von Clausewitz ou des parties de Risk apprécieront. Un génie de la stratégie militaire et un envahisseur sanguinaire, voilà à quoi s’arrête ce portrait du général au bicorne. C’est insuffisant. Et désinvolte quant à la vérité factuelle – les tirs au canon sur les pyramides d’Égypte font partie des premières inexactitudes relevées par les historiens. Rien sur la politique de Napoléon en France, sa gouvernance, ses tactiques, son despotisme complexe ? Un portrait qui frise la farce Le film dure pourtant deux heures et quarante minutes, mais ne fait qu’aligner des dates, en survolant de manière très superficielle ce qu’elles recouvrent, comme dans une bande-annonce. Le siège de Toulon, en 1793 (première victoire décisive), le coup d’État de 1799, le rôle de Premier consul, le sacre d’Empereur… Un seul autre personnage se détache, celui de l’épouse, Joséphine de Beauharnais (Vanessa Kirby), montrée comme une forte tête, capable de lui résister. Mais même cette impératrice, forcée à divorcer, n’existe pas vraiment, sinon comme un fantasme projeté par Napoléon, qui lui écrit des lettres enflammées – et dénuées de la moindre poésie. Ce qu’elle ressent, ce qu’elle pense ne sont jamais fouillés. On se demande d’ailleurs si la dame l’aime vraiment, ce nabot mal poli. Et comment le pourrait-elle, tant Ridley Scott fait de l’Aigle un laideron, un tyran quasiment autiste et un piètre amant. Le portrait, chargé, frise la farce involontaire. L’utilisation de la langue de Shakespeare dans la bouche du Corse pleurard très attaché à sa maman n’arrange rien. Pas plus que l’interprétation de Joaquin Phoenix – impossible de voir en lui Napoléon, on ne voit que l’acteur (ou le chanteur Serge Lama ?), figé dans son rôle. Bref, si l’on était cocardier, on pourrait soupçonner une opération téléguidée par les services secrets britanniques…

Année : 2023

Avec : Ben Miles, Dale Mercer, Francesca Jaynes, Joaquin Phoenix, John Hollingworth, Julian Rhind-Tutt, Mark Bonnar, Matthew Needham, Paul Rhys, Rupert Everett, Sinéad Cusack, Tahar Rahim, Vanessa Kirby, Youssef Kerkour

Récemment en novembre
 

Miss Peregrine et les enfants particuliers

Télévision : 11 novembre à 18:30-21:10 sur 6ter

film fantastique

Jacob, 16 ans, a été bercé par les histoires que lui racontait son grand-père, Abraham Portman. Quand son aïeul meurt devant ses yeux dans des circonstances mystérieuses, l'adolescent se rend sur l'île au large du pays de Galles sur laquelle Abraham a passé son enfance. Dans un orphelinat, dirigé par Peregrine Faucon, Jacob fait la connaissance d'Emma, qui est capable de voler. Comme elle, les enfants de la maison dispose de pouvoirs qui font peur aux humains. Miss Peregrine utilise une montre spatio-temporelle pour protéger l'école des bombes nazies. Mais des monstres, avides de récupérer les dons des enfants, viennent les menacer... - Critique : Particuliers, en effet, les enfants : une petite fille qui dissimule une mâchoire féroce derrière ses boucles blondes, une jeune beauté aérienne que seules d’énormes chaussures orthopédiques retiennent au sol, des jumeaux emmaillotés des pieds à la tête… À se demander si, en 2011, Ransom Riggs n’a pas écrit son best-seller de fan­tasy exprès pour qu’il soit adapté par Tim Burton. Toutes les obsessions du cinéaste figurent dans ce pensionnat défraîchi, coincé dans une boucle temporelle : le regard des enfants, la différence, les mondes parallèles qui protègent… Ces enfants sont menacés par des morts vivants. Heureusement, la sage et autoritaire Miss Peregrine veille sur eux, et elle a la beauté gothique décidément ­sidérante d’Eva Green. Le réalisateur en fait la gardienne du temps, du temple, et lui offre la métamorphose la plus gracieuse vue depuis la scène finale des Noces funèbres, où la mariée se changeait en papillon… À travers le combat sans merci entre des monstres gentils et des créatures maléfiques, sur une île sauvage, dans un jardin en friche ou autour d’un manège, Tim Burton rend, de plus, un bel hommage à Ray Harryhausen, grand maître des effets spéciaux à l’ancienne.

Année : 2016

De : Tim Burton

Avec : Allison Janney, Asa Butterfield, Chris O'Dowd, Eva Green, Judi Dench, Keeler-Stone Hayden, MacMillan Finlay, McCrostie Lauren, Purnell Ella, Rupert Everett, Samuel L, Terence Stamp

Récemment en novembre
 

Napoléon

Télévision : 10 novembre à 00:53-03:26 sur Canal +

film historique

Fin du XVIIIe siècle, dans un royaume de France en proie à de graves troubles. Issu d'une famille de la petite noblesse corse, le jeune Napoléon Bonaparte, lieutenant dans le régiment d'artillerie de la Fère, accomplit avec grand brio les différentes missions de répression qui lui sont confiées. Nommé capitaine en 1793, il se montre une nouvelle fois intraitable au cours du conflit qui oppose le pays au Saint-Empire romain germanique. L'ambitieux Napoléon poursuit ainsi son irrésistible ascension et obtient le grade de général deux ans plus tard, peu avant sa rencontre avec une séduisante et charismatique veuve, Joséphine de Beauharnais... - Critique : Après Moïse et Christophe Colomb, pourquoi pas Napoléon ? Ce n’est pas la modestie qui étouffe Ridley Scott. Toute proportion gardée, on jurerait qu’il s’est un peu reconnu dans la folie des grandeurs de l’Empereur, dans son manque certain d’humour et son art de mettre en scène la guerre. Les batailles, c’est à peu près la seule chose digne d’être sauvée. Celle, victorieuse, d’Austerlitz, avec ses soldats russes encerclés puis piégés au-dessus des étangs gelés. Mais aussi la grande débâcle de Waterloo, révélant des Britanniques parfaitement organisés, grâce à la formation en carrés de leur infanterie. Les amateurs du Prussien Carl von Clausewitz ou des parties de Risk apprécieront. Un génie de la stratégie militaire et un envahisseur sanguinaire, voilà à quoi s’arrête ce portrait du général au bicorne. C’est insuffisant. Et désinvolte quant à la vérité factuelle – les tirs au canon sur les pyramides d’Égypte font partie des premières inexactitudes relevées par les historiens. Rien sur la politique de Napoléon en France, sa gouvernance, ses tactiques, son despotisme complexe ? Un portrait qui frise la farce Le film dure pourtant deux heures et quarante minutes, mais ne fait qu’aligner des dates, en survolant de manière très superficielle ce qu’elles recouvrent, comme dans une bande-annonce. Le siège de Toulon, en 1793 (première victoire décisive), le coup d’État de 1799, le rôle de Premier consul, le sacre d’Empereur… Un seul autre personnage se détache, celui de l’épouse, Joséphine de Beauharnais (Vanessa Kirby), montrée comme une forte tête, capable de lui résister. Mais même cette impératrice, forcée à divorcer, n’existe pas vraiment, sinon comme un fantasme projeté par Napoléon, qui lui écrit des lettres enflammées – et dénuées de la moindre poésie. Ce qu’elle ressent, ce qu’elle pense ne sont jamais fouillés. On se demande d’ailleurs si la dame l’aime vraiment, ce nabot mal poli. Et comment le pourrait-elle, tant Ridley Scott fait de l’Aigle un laideron, un tyran quasiment autiste et un piètre amant. Le portrait, chargé, frise la farce involontaire. L’utilisation de la langue de Shakespeare dans la bouche du Corse pleurard très attaché à sa maman n’arrange rien. Pas plus que l’interprétation de Joaquin Phoenix – impossible de voir en lui Napoléon, on ne voit que l’acteur (ou le chanteur Serge Lama ?), figé dans son rôle. Bref, si l’on était cocardier, on pourrait soupçonner une opération téléguidée par les services secrets britanniques…

Année : 2023

Avec : Ben Miles, Dale Mercer, Francesca Jaynes, Joaquin Phoenix, John Hollingworth, Julian Rhind-Tutt, Mark Bonnar, Matthew Needham, Paul Rhys, Rupert Everett, Sinéad Cusack, Tahar Rahim, Vanessa Kirby, Youssef Kerkour

Récemment en octobre
 

She Will

Prime Video : 11 octobre

Après avoir subi une double mastectomie, Veronica est invitée, pour sa convalescence, à se rendre dans une bourgade écossaise avec son infirmière, Desi. Sur place, elle découvre une atmosphère particulière dans cet endroit isolé, et ne tarde pas à voir ses nuits perturbées par d'effrayants cauchemars. Les deux femmes développent un lien particulier, alors que des forces mystérieuses amènent Veronica à s'interroger sur ses traumatismes passés et comment les venger.

De : Charlotte Colbert

Avec : Alice Krige, Kota Eberhardt, Malcolm McDowell, Rupert Everett, Amy Manson, John McCrea, Olwen Fouéré

Récemment en octobre
 

Shrek le troisième

Prime Video : 9 octobre

L’ogre Shrek n’avait pas quitté son marécage pestilentiel et épousé sa chère Fiona pour devenir roi. C’est pourtant ce qui risque de lui arriver après que son beau‐père Harold clabote soudain sans crier gare. S’il n’arrive pas à dénicher illico un roi avec l’aide de ses fidèles compagnons, l’Âne et le Chat Potté, Shrek deviendra le prochain souverain du Royaume Fort Fort Lointain. Bonjour les ennuis ! À moins qu’Artie, le cousin loser de Fiona, ne se laisse convaincre de monter sur le trône à sa place. Mais ce paumé a‐t‐il vraiment l’étoffe d’un roi ?

De : Chris Miller

Avec : Mike Myers, Eddie Murphy, Cameron Diaz, Antonio Banderas, Julie Andrews, John Cleese, Rupert Everett

Récemment en octobre
 

Miss Peregrine et les enfants particuliers

Netflix : 1er octobre

À la mort de son grand-père, Jacob découvre l'existence d'un monde mystérieux. Plusieurs indices le mènent dans ce lieu magique : la Maison de Miss Peregrine pour Enfants Particuliers. Mais le mystère et le danger s'amplifient quand il apprend à connaître les résidents, leurs étranges pouvoirs... et leurs puissants ennemis. Finalement, Jacob découvre que seule sa propre « particularité » peut sauver ses nouveaux amis.

De : Tim Burton

Avec : Eva Green, Asa Butterfield, Samuel L Jackson, Judi Dench, Rupert Everett, Chris O'Dowd, Allison Janney

Récemment en septembre
 

Stardust, le mystère de l'étoile (4K Ultra HD + ...

DVD/Blu-ray : 25 septembre

Editeur : Paramount Pictures France

Année : 2007

De : Matthew Vaughn

Avec : Claire Danes, Michelle Pfeiffer, Robert De Niro, Charlie Cox, Sienna Miller, Peter O&039 Toole, Rupert Everett, George Innes, Ricky Gervais