Télévision : 25 avril à 08:12-09:47 sur Canal +
film : comédie
Quand son fils Henri, un adolescent en crise, menace de partir vivre chez son père, Justine décide de l'embarquer de force dans un road trip en caravane sur la côte Atlantique avec son nouveau compagnon, Ludo, et son beau-fils de 10 ans, Joseph. La mère de famille compte sur cette semaine de vacances pour ressouder les liens entre ses proches. Seul souci, Justine n'a pas les moyens de financer ce voyage, ce qu'elle préfère taire. L'aventure déraille rapidement et Justine déchante. Pourtant, de ce véritable chaos naît progressivement un groupe de musique, "Les Hennedricks", dans lequel chacun peut libérer sa folie. Cette nouvelle complicité pourrait bien permettre à la famille atypique de trouver enfin son harmonie... - Critique : Pour son premier long métrage, la comédienne Laurence Arné imagine le road trip d’une tribu recomposée sur la côte Atlantique – de Noirmoutier à Arcachon en passant par Royan. La néo-réalisatrice incarne la mère de famille, qui décide, sur un coup de tête, de quitter temporairement la campagne profonde avec son partenaire (Dany Boon, compagnon d’Arné à la ville, qui partage l’affiche avec elle pour la quatrième fois) et leurs deux garçons : son fils à elle et son fils à lui. Le film repose sur une idée, assez factice, consistant à mesurer la dynamique familiale grâce au groupe de rue formé par les héros : des reprises pop à la flûte de Pan, au cajon et à la guitare sèche. Passé la surprise de la première chanson (I Like to Move It), cette astuce est ensuite usée jusqu’à la corde au fil d’un répertoire éclectique (Song 2, Scatman, The Final Countdown). Manifestement, le scénario s’inspire de productions indépendantes américaines, en particulier Little Miss Sunshine (Jonathan Dayton et Valerie Faris, 2006), qui savait rendre ses personnages sympathiques malgré leurs névroses. Soit le contraire des « Hennedricks » – une contraction de leurs noms respectifs –, dont le caractère dysfonctionnel suscite à peine la compassion, hormis pour le plus jeune, préado enthousiaste joué par Jehan Renard. La réalisatrice se donne le rôle le moins aimable, en mère qui n’hésite pas à chasser les locataires de sa caravane en pleine nuit, à voler des punks à chien ou à passer ses nerfs (verbalement) sur son beau-fils. In fine, La Famille Hennedricks donne plutôt l’impression de se situer dans la tradition d’un cinéma français poussiéreux – celui, entre autres, de Jean Becker –, tout en disputes surécrites, en bons sentiments dégoulinants et en fantaisie pas drôle.
Année : 2024
Avec : Arthapignet Emilie, Dany Boon, Ferdinand Redouloux, Jeanne Arènes, Jehan Renard, Laurence Arné, Luna Ho Poumey, Marie Lanchas, Oscar Copp, Tristan Lopin, Yann Guillarme, Yannick Choirat
Télévision : 23 avril à 21:10-23:03 sur CStar
film : comédie
Violette, qui travaille dans la mode, passe des vacances à Biarritz avec Ariane, sa meilleure amie. Quadragénaire parisienne et branchée, elle a été plus d'une fois déçue par les hommes. Sur le port, elle rencontre le maladroit Jean-René, qui évolue dans un monde aux antipodes du sien. Jean-René est informaticien et n'a a priori aucun argument pour la séduire. Mais il est gentil et attentionné, ce qui n'est pas pour déplaire à Violette. Alors que leur relation semble partie sur de bons rails, Violette présente Jean-René à son fils Eloi. Egocentrique, le jeune homme est bien décidé à se débarrasser de "l'intrus"... - Critique : Un fils empêche sa mère de vivre sa vie amoureuse… Dans cette dramaturgie familiale un peu datée, la bonne surprise vient des deux acteurs choisis et dirigés par la réalisatrice Julie Delpy. Dany Boon joue l’amant provincial et plouc de cette mère parisienne, femme de pouvoir dans le milieu de la mode. Pas vraiment au centre de l’action, le comique gagne à ce profil bas, à cette relative discrétion, qui influe sur son jeu. Il parvient à rendre presque attachant son personnage d’ingénieur gentillet, mais pas stupide, auquel le fiston déclare la guerre. Vincent Lacoste, principal atout du film, est, lui, irrésistible de sournoiserie et d’arrogance, avec une dextérité burlesque sidérante, un timing parfait de l’expression et du geste. Le scénario conduit ce personnage aussi mignon que détestable au bout de son ignominie. De sorte que Lolo se termine d’une façon moins consensuelle, plus féroce que prévu. Dans une comédie qui vise un très large public, c’est indéniablement une audace de fuir ainsi toute réconciliation.
Année : 2015
Avec : Antoine Lounguine, Christophe Canard, Christophe Vandevelde, Dany Boon, Didier Duverger, Elise Larnicol, Julie Delpy, Karin Viard, Karl Lagerfeld, Rudy Milstein, Vincent Lacoste, Xavier Alcan
Télévision : 23 avril à 21:07-23:00 sur CStar
film : comédie
Violette, qui travaille dans la mode, passe des vacances à Biarritz avec Ariane, sa meilleure amie. Quadragénaire parisienne et branchée, elle a été plus d'une fois déçue par les hommes. Sur le port, elle rencontre le maladroit Jean-René, qui évolue dans un monde aux antipodes du sien. Jean-René est informaticien et n'a a priori aucun argument pour la séduire. Mais il est gentil et attentionné, ce qui n'est pas pour déplaire à Violette. Alors que leur relation semble partie sur de bons rails, Violette présente Jean-René à son fils Eloi. Egocentrique, le jeune homme est bien décidé à se débarrasser de "l'intrus"... - Critique : Un fils empêche sa mère de vivre sa vie amoureuse… Dans cette dramaturgie familiale un peu datée, la bonne surprise vient des deux acteurs choisis et dirigés par la réalisatrice Julie Delpy. Dany Boon joue l’amant provincial et plouc de cette mère parisienne, femme de pouvoir dans le milieu de la mode. Pas vraiment au centre de l’action, le comique gagne à ce profil bas, à cette relative discrétion, qui influe sur son jeu. Il parvient à rendre presque attachant son personnage d’ingénieur gentillet, mais pas stupide, auquel le fiston déclare la guerre. Vincent Lacoste, principal atout du film, est, lui, irrésistible de sournoiserie et d’arrogance, avec une dextérité burlesque sidérante, un timing parfait de l’expression et du geste. Le scénario conduit ce personnage aussi mignon que détestable au bout de son ignominie. De sorte que Lolo se termine d’une façon moins consensuelle, plus féroce que prévu. Dans une comédie qui vise un très large public, c’est indéniablement une audace de fuir ainsi toute réconciliation.
Année : 2015
Avec : Antoine Lounguine, Christophe Canard, Christophe Vandevelde, Dany Boon, Didier Duverger, Elise Larnicol, Julie Delpy, Karin Viard, Karl Lagerfeld, Rudy Milstein, Vincent Lacoste, Xavier Alcan
Télévision : 16 avril à 10:39-12:14 sur Canal +
film : comédie
Quand son fils Henri, un adolescent en crise, menace de partir vivre chez son père, Justine décide de l'embarquer de force dans un road trip en caravane sur la côte Atlantique avec son nouveau compagnon, Ludo, et son beau-fils de 10 ans, Joseph. La mère de famille compte sur cette semaine de vacances pour ressouder les liens entre ses proches. Seul souci, Justine n'a pas les moyens de financer ce voyage, ce qu'elle préfère taire. L'aventure déraille rapidement et Justine déchante. Pourtant, de ce véritable chaos naît progressivement un groupe de musique, "Les Hennedricks", dans lequel chacun peut libérer sa folie. Cette nouvelle complicité pourrait bien permettre à la famille atypique de trouver enfin son harmonie... - Critique : Pour son premier long métrage, la comédienne Laurence Arné imagine le road trip d’une tribu recomposée sur la côte Atlantique – de Noirmoutier à Arcachon en passant par Royan. La néo-réalisatrice incarne la mère de famille, qui décide, sur un coup de tête, de quitter temporairement la campagne profonde avec son partenaire (Dany Boon, compagnon d’Arné à la ville, qui partage l’affiche avec elle pour la quatrième fois) et leurs deux garçons : son fils à elle et son fils à lui. Le film repose sur une idée, assez factice, consistant à mesurer la dynamique familiale grâce au groupe de rue formé par les héros : des reprises pop à la flûte de Pan, au cajon et à la guitare sèche. Passé la surprise de la première chanson (I Like to Move It), cette astuce est ensuite usée jusqu’à la corde au fil d’un répertoire éclectique (Song 2, Scatman, The Final Countdown). Manifestement, le scénario s’inspire de productions indépendantes américaines, en particulier Little Miss Sunshine (Jonathan Dayton et Valerie Faris, 2006), qui savait rendre ses personnages sympathiques malgré leurs névroses. Soit le contraire des « Hennedricks » – une contraction de leurs noms respectifs –, dont le caractère dysfonctionnel suscite à peine la compassion, hormis pour le plus jeune, préado enthousiaste joué par Jehan Renard. La réalisatrice se donne le rôle le moins aimable, en mère qui n’hésite pas à chasser les locataires de sa caravane en pleine nuit, à voler des punks à chien ou à passer ses nerfs (verbalement) sur son beau-fils. In fine, La Famille Hennedricks donne plutôt l’impression de se situer dans la tradition d’un cinéma français poussiéreux – celui, entre autres, de Jean Becker –, tout en disputes surécrites, en bons sentiments dégoulinants et en fantaisie pas drôle.
Année : 2024
Avec : Arthapignet Emilie, Dany Boon, Ferdinand Redouloux, Jeanne Arènes, Jehan Renard, Laurence Arné, Luna Ho Poumey, Marie Lanchas, Oscar Copp, Tristan Lopin, Yann Guillarme, Yannick Choirat
Télévision : 11 avril à 01:11-02:47 sur Canal +
film : comédie
Quand son fils Henri, un adolescent en crise, menace de partir vivre chez son père, Justine décide de l'embarquer de force dans un road trip en caravane sur la côte Atlantique avec son nouveau compagnon, Ludo, et son beau-fils de 10 ans, Joseph. La mère de famille compte sur cette semaine de vacances pour ressouder les liens entre ses proches. Seul souci, Justine n'a pas les moyens de financer ce voyage, ce qu'elle préfère taire. L'aventure déraille rapidement et Justine déchante. Pourtant, de ce véritable chaos naît progressivement un groupe de musique, "Les Hennedricks", dans lequel chacun peut libérer sa folie. Cette nouvelle complicité pourrait bien permettre à la famille atypique de trouver enfin son harmonie... - Critique : Pour son premier long métrage, la comédienne Laurence Arné imagine le road trip d’une tribu recomposée sur la côte Atlantique – de Noirmoutier à Arcachon en passant par Royan. La néo-réalisatrice incarne la mère de famille, qui décide, sur un coup de tête, de quitter temporairement la campagne profonde avec son partenaire (Dany Boon, compagnon d’Arné à la ville, qui partage l’affiche avec elle pour la quatrième fois) et leurs deux garçons : son fils à elle et son fils à lui. Le film repose sur une idée, assez factice, consistant à mesurer la dynamique familiale grâce au groupe de rue formé par les héros : des reprises pop à la flûte de Pan, au cajon et à la guitare sèche. Passé la surprise de la première chanson (I Like to Move It), cette astuce est ensuite usée jusqu’à la corde au fil d’un répertoire éclectique (Song 2, Scatman, The Final Countdown). Manifestement, le scénario s’inspire de productions indépendantes américaines, en particulier Little Miss Sunshine (Jonathan Dayton et Valerie Faris, 2006), qui savait rendre ses personnages sympathiques malgré leurs névroses. Soit le contraire des « Hennedricks » – une contraction de leurs noms respectifs –, dont le caractère dysfonctionnel suscite à peine la compassion, hormis pour le plus jeune, préado enthousiaste joué par Jehan Renard. La réalisatrice se donne le rôle le moins aimable, en mère qui n’hésite pas à chasser les locataires de sa caravane en pleine nuit, à voler des punks à chien ou à passer ses nerfs (verbalement) sur son beau-fils. In fine, La Famille Hennedricks donne plutôt l’impression de se situer dans la tradition d’un cinéma français poussiéreux – celui, entre autres, de Jean Becker –, tout en disputes surécrites, en bons sentiments dégoulinants et en fantaisie pas drôle.
Année : 2024
Avec : Arthapignet Emilie, Dany Boon, Ferdinand Redouloux, Jeanne Arènes, Jehan Renard, Laurence Arné, Luna Ho Poumey, Marie Lanchas, Oscar Copp, Tristan Lopin, Yann Guillarme, Yannick Choirat
Télévision : 11 avril à 01:10-02:46 sur Canal +
film : comédie
Quand son fils Henri, un adolescent en crise, menace de partir vivre chez son père, Justine décide de l'embarquer de force dans un road trip en caravane sur la côte Atlantique avec son nouveau compagnon, Ludo, et son beau-fils de 10 ans, Joseph. La mère de famille compte sur cette semaine de vacances pour ressouder les liens entre ses proches. Seul souci, Justine n'a pas les moyens de financer ce voyage, ce qu'elle préfère taire. L'aventure déraille rapidement et Justine déchante. Pourtant, de ce véritable chaos naît progressivement un groupe de musique, "Les Hennedricks", dans lequel chacun peut libérer sa folie. Cette nouvelle complicité pourrait bien permettre à la famille atypique de trouver enfin son harmonie... - Critique : Pour son premier long métrage, la comédienne Laurence Arné imagine le road trip d’une tribu recomposée sur la côte Atlantique – de Noirmoutier à Arcachon en passant par Royan. La néo-réalisatrice incarne la mère de famille, qui décide, sur un coup de tête, de quitter temporairement la campagne profonde avec son partenaire (Dany Boon, compagnon d’Arné à la ville, qui partage l’affiche avec elle pour la quatrième fois) et leurs deux garçons : son fils à elle et son fils à lui. Le film repose sur une idée, assez factice, consistant à mesurer la dynamique familiale grâce au groupe de rue formé par les héros : des reprises pop à la flûte de Pan, au cajon et à la guitare sèche. Passé la surprise de la première chanson (I Like to Move It), cette astuce est ensuite usée jusqu’à la corde au fil d’un répertoire éclectique (Song 2, Scatman, The Final Countdown). Manifestement, le scénario s’inspire de productions indépendantes américaines, en particulier Little Miss Sunshine (Jonathan Dayton et Valerie Faris, 2006), qui savait rendre ses personnages sympathiques malgré leurs névroses. Soit le contraire des « Hennedricks » – une contraction de leurs noms respectifs –, dont le caractère dysfonctionnel suscite à peine la compassion, hormis pour le plus jeune, préado enthousiaste joué par Jehan Renard. La réalisatrice se donne le rôle le moins aimable, en mère qui n’hésite pas à chasser les locataires de sa caravane en pleine nuit, à voler des punks à chien ou à passer ses nerfs (verbalement) sur son beau-fils. In fine, La Famille Hennedricks donne plutôt l’impression de se situer dans la tradition d’un cinéma français poussiéreux – celui, entre autres, de Jean Becker –, tout en disputes surécrites, en bons sentiments dégoulinants et en fantaisie pas drôle.
Année : 2024
Avec : Arthapignet Emilie, Dany Boon, Ferdinand Redouloux, Jeanne Arènes, Jehan Renard, Laurence Arné, Luna Ho Poumey, Marie Lanchas, Oscar Copp, Tristan Lopin, Yann Guillarme, Yannick Choirat
Netflix : 11 janvier
Pour les voyageurs du monde entier, l’éruption du volcan islandais Eyjafjallajökull est un coup dur. Pour Alain et Valérie, c’est une catastrophe. Car pour arriver à temps dans le petit village de Grèce où se marie leur fille, ce couple de divorcés, qui se voue l’un l’autre une détestation sans borne, va être amené par la force des choses à prendre la route ensemble.
De : Alexandre Coffre
Avec : Valérie Bonneton, Dany Boon, Denis Ménochet, Bérangère Mc Neese, Albert Delpy, Constance Dollé, Malik Bentalha
DVD/Blu-ray : 30 octobre 2024
Editeur : Gaumont
Année : 2024
De : Laurence Arné
Avec : Laurence Arné, Dany Boon, Ferdinand Redouloux, Jehan Renard, Yannick Choirat, Onann Han, Luna Ho Poumey, Marie Lanchas