Claudio Brook : passages TV

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Hier
 

Viva Maria

Télévision : 13 novembre à 13:35-15:50 sur Arte

film : comédie

Fille d'un terroriste irlandais, Maria Fitzgerald O'Malley manipule depuis sa plus tendre enfance des bombes, des grenades et autres explosifs. Après la mort tragique de son père, elle se retrouve livrée à elle-même dans une colonie anglaise d'Amérique latine. Elle fait la connaissance de plusieurs membres d'une troupe de music-hall ambulant, qui lui proposent une place de duettiste "parisienne". Sa partenaire porte le même prénom qu'elle. Sous son égide, Maria découvre les charmes de l'amour et invente le strip-tease en mettant à profit un accident vestimentaire. Les pérégrinations de la troupe la conduisent dans un Etat sujet aux révolutions... - Critique : 1907, Amérique latine : Maria la brune (Jeanne Moreau) est chanteuse dans un cirque, Maria la blonde (Brigitte Bardot) est fille d’un activiste irlandais en fuite. La rencontre des deux stars du cinéma français des années 1960 dans une parodie de western à la sauce burlesque devait faire des étincelles, les journaux à scandale épiant le moindre crêpage de chignon. Mais sur le tournage comme sur l’écran, la confrontation a fait pshitt. Les deux actrices se sont bien entendues, et l’inanité du scénario (coécrit par Jean-Claude Carrière pourtant…) les a empêchées de briller. On a dit que Louis Malle avait réalisé un film féministe culotté ? Juste parce qu’il a « osé » un film sans rôle masculin important, chose, il est vrai, rare à l’époque… Sauf que ses deux héroïnes sont des gourdes qui se pâment dès qu’elles croisent un miroir, s’effeuillent à plusieurs reprises devant un parterre d’hommes excités et se lancent dans la guerre civile mexicaine seulement par amour pour un beau révolutionnaire exécuté (Maria la brune a eu le temps de lui lécher le torse avant sa mise à mort). « C’est merveilleux, l’amour ! » s’exclame, ravie, Maria la blonde après être partie avec trois inconnus en calèche. Osons, pour finir, un « Caramba ! » de dépit…

Année : 1965

Avec : Brigitte Bardot, Carlos López, Claudio Brook, Francisco Reiguera, George Hamilton, Gregor von Rezzori, Jeanne Moreau, Jonathan Eden, José Ángel Espinosa 'Ferrusquilla, Paulette Dubost, Poldo Bendandi, Roberto Pedret

Hier
 

Viva Maria

Télévision : 13 novembre à 13:35-15:45 sur Arte

film : comédie

Fille d'un terroriste irlandais, Maria Fitzgerald O'Malley manipule depuis sa plus tendre enfance des bombes, des grenades et autres explosifs. Après la mort tragique de son père, elle se retrouve livrée à elle-même dans une colonie anglaise d'Amérique latine. Elle fait la connaissance de plusieurs membres d'une troupe de music-hall ambulant, qui lui proposent une place de duettiste "parisienne". Sa partenaire porte le même prénom qu'elle. Sous son égide, Maria découvre les charmes de l'amour et invente le strip-tease en mettant à profit un accident vestimentaire. Les pérégrinations de la troupe la conduisent dans un Etat sujet aux révolutions... - Critique : 1907, Amérique latine : Maria la brune (Jeanne Moreau) est chanteuse dans un cirque, Maria la blonde (Brigitte Bardot) est fille d’un activiste irlandais en fuite. La rencontre des deux stars du cinéma français des années 1960 dans une parodie de western à la sauce burlesque devait faire des étincelles, les journaux à scandale épiant le moindre crêpage de chignon. Mais sur le tournage comme sur l’écran, la confrontation a fait pshitt. Les deux actrices se sont bien entendues, et l’inanité du scénario (coécrit par Jean-Claude Carrière pourtant…) les a empêchées de briller. On a dit que Louis Malle avait réalisé un film féministe culotté ? Juste parce qu’il a « osé » un film sans rôle masculin important, chose, il est vrai, rare à l’époque… Sauf que ses deux héroïnes sont des gourdes qui se pâment dès qu’elles croisent un miroir, s’effeuillent à plusieurs reprises devant un parterre d’hommes excités et se lancent dans la guerre civile mexicaine seulement par amour pour un beau révolutionnaire exécuté (Maria la brune a eu le temps de lui lécher le torse avant sa mise à mort). « C’est merveilleux, l’amour ! » s’exclame, ravie, Maria la blonde après être partie avec trois inconnus en calèche. Osons, pour finir, un « Caramba ! » de dépit…

Année : 1965

Avec : Brigitte Bardot, Carlos López, Claudio Brook, Francisco Reiguera, George Hamilton, Gregor von Rezzori, Jeanne Moreau, Jonathan Eden, José Ángel Espinosa 'Ferrusquilla, Paulette Dubost, Poldo Bendandi, Roberto Pedret

Dimanche dernier
 

La grande vadrouille

Télévision : 10 novembre à 21:10-23:10 sur France 2

film : comédie

A Paris, en 1942. Trois aviateurs anglais, abattus par la DCA, sont contraints de sauter en parachute. Le premier se pose parmi les phoques du zoo de Vincennes, le second perturbe les coups de rouleaux d'un peintre en bâtiment, Augustin Bouvet, occupé à ravaler la façade de la Kommandantur, et le troisième atterrit sur le toit de l'opéra, alors que le chef d'orchestre Stanislas Lefort y dirige une répétition. Bien obligés de s'occuper de leurs inopportuns visiteurs, Bouvet et Lefort, que tout oppose par ailleurs, font cause commune et décident d'aider les aviateurs à rejoindre la zone libre. Un noble projet, qui s'avère toutefois difficile à réaliser... - Critique : GENRE : Fufu fait de la résistance. Un bain turc, en 1942. Deux têtes émergent d’un nuage de vapeur. De drôles de périscopes, qui naviguent en marmottant « Tea for two », un code censé attirer un aviateur anglais à big moustache. Bref dialogue in ze langue of Shakespeare entre Stanislas, chef d’orchestre, et Augustin, peintre en bâtiment, qui découvrent vite le quiproquo : « But alors, you are French ! »… L’ennemi teuton n’a qu’à bien se tenir : cette paire d’aventuriers improvisés résiste encore et toujours à l’envahisseur. Ils n’ont pas de potion magique, mais sont malins, coléreux, bref, gaulois. À leurs trousses, les écrasants vainqueurs se muent en tas de guignols poussifs. Cette célébrissime comédie, l’une des meilleures de Gérard Oury, s’arrange avec l’Histoire, cueille la revanche du rire. Un an après Le Corniaud, de Funès, plus teigneux que jamais, tyrannise à nouveau Bourvil le tendre. On ne se lasse pas de ce road movie de l’Occupation mené tambour battant, avec, ici et là, une goutte d’humour poétique : « Il n’y a pas d’hélice, hélas ! — C’est là qu’est l’os ! »

Année : 1966

Avec : Andréa Parisy, Benno Sterzenbach, Bertin Pierre, Bourvil, Claudio Brook, Colette Brosset, Louis de, Marie Dubois, Mary Marquet, Mike Marshall, Sieghardt Rupp, Terry-Thomas

Récemment en novembre
 

Viva Maria

Télévision : 4 novembre à 20:55-22:50 sur Arte

film : comédie

Fille d'un terroriste irlandais, Maria Fitzgerald O'Malley manipule depuis sa plus tendre enfance des bombes, des grenades et autres explosifs. Après la mort tragique de son père, elle se retrouve livrée à elle-même dans une colonie anglaise d'Amérique latine. Elle fait la connaissance de plusieurs membres d'une troupe de music-hall ambulant, qui lui proposent une place de duettiste "parisienne". Sa partenaire porte le même prénom qu'elle. Sous son égide, Maria découvre les charmes de l'amour et invente le strip-tease en mettant à profit un accident vestimentaire. Les pérégrinations de la troupe la conduisent dans un Etat sujet aux révolutions... - Critique : 1907, Amérique latine : Maria la brune (Jeanne Moreau) est chanteuse dans un cirque, Maria la blonde (Brigitte Bardot) est fille d’un activiste irlandais en fuite. La rencontre des deux stars du cinéma français des années 1960 dans une parodie de western à la sauce burlesque devait faire des étincelles, les journaux à scandale épiant le moindre crêpage de chignon. Mais sur le tournage comme sur l’écran, la confrontation a fait pshitt. Les deux actrices se sont bien entendues, et l’inanité du scénario (coécrit par Jean-Claude Carrière pourtant…) les a empêchées de briller. On a dit que Louis Malle avait réalisé un film féministe culotté ? Juste parce qu’il a « osé » un film sans rôle masculin important, chose, il est vrai, rare à l’époque… Sauf que ses deux héroïnes sont des gourdes qui se pâment dès qu’elles croisent un miroir, s’effeuillent à plusieurs reprises devant un parterre d’hommes excités et se lancent dans la guerre civile mexicaine seulement par amour pour un beau révolutionnaire exécuté (Maria la brune a eu le temps de lui lécher le torse avant sa mise à mort). « C’est merveilleux, l’amour ! » s’exclame, ravie, Maria la blonde après être partie avec trois inconnus en calèche. Osons, pour finir, un « Caramba ! » de dépit…

Année : 1965

Avec : Brigitte Bardot, Carlos López, Claudio Brook, Francisco Reiguera, George Hamilton, Gregor von Rezzori, Jeanne Moreau, Jonathan Eden, José Ángel Espinosa 'Ferrusquilla, Paulette Dubost, Poldo Bendandi, Roberto Pedret