Télévision : 2 novembre à 01:45-03:35 sur France 3
film historique
Quand il n'était que Bonaparte, le légendaire empereur se fiança un temps avec la tendre Désirée Clary, qu'il abandonna pour les bras accueillants d'une belle Créole, Joséphine de Beauharnais. Désirée en conçut une haine farouche, qu'elle fit partager à son mari, le général Bernadotte, et qu'elle emporta avec elle quand Bernadotte monta sur le trône de Suède... - Critique : | Genre : Fantaisie historique. Au beau milieu du film, Guitry interrompt l'action. Il s'agit de montrer que ses personnages ont changé, physiquement et psychologiquement. De sa voix inimitable, il s'adresse à ses interprètes : « Mademoiselle Gaby Morlay, accepteriez-vous de reprendre le rôle de Désirée, tenu jusqu'à présent par mademoiselle Geneviève Guitry ? — Avec joie », répond Gaby Morlay, souriante. « Et vous, mon cher Barrault, qui jouiez Bonaparte, accepteriez-vous de me laisser interpréter celui de Napoléon ? — Avec plaisir », répond Barrault. Et hop ! le tour est joué, l'action peut reprendre... Cette pirouette élégante ressemble au film : une biographie fantaisiste du premier amour de Napoléon, qui finira reine de Suède, en épousant le général Bernadotte. Pas le meilleur Guitry, donc, au moins un film plaisant... — Pierre Murat
Année : 1942
Avec : Gaby Morlay, Geneviève Guitry, Guitry Sacha, Jean Perrier, Jean-Louis Barrault, Roquevert Noël, Varennes Jacques, Yvette Lebon
Télévision : 30 mars à 01:03-02:47 sur France 3
film : comédie
Marcel est l'un des modestes employés de la bijouterie Mercandieu. Renée, la fille du patron, lui ferait bien les yeux doux. Mais un jour que Marcel traîne à l'hippodrome, il rencontre Loulou, une fille de joie au parler vert et au charme acidulé, qui le subjugue immédiatement. Loulou est accompagnée par Jo-les-bras-coupés. Marcel sympathise avec eux, adopte leurs expressions et leurs manières. Mine de rien, les deux coquins, qui projettent de cambrioler la bijouterie, soutirent des informations au naïf Marcel et préparent leur affaire dans le plus grand secret. Marcel, toujours abusé et tout à son bonheur de jouer les affranchis, ne se doute absolument de rien... - Critique : Marcel, un employé de bijouterie naïf, fournit sans le savoir de précieuses informations à un couple de malfaiteurs, Loulou et Jo, qui préparent un casse. Voilà un film typique de ces adaptations de pièces de théâtre qui furent légion dans les années 1930, et laissaient la part belle aux acteurs. Le scénario, bien mince, est sublimé par le trio magique des interprètes. Les comédiens prononcent des dialogues savoureux qui mêlent parler populaire (argot véritable ou rêve de scénariste ?) et langage plus châtié. Bien sûr, Arletty est formidable, tout comme Fernandel, qui reprenait un rôle créé par Victor Boucher. Mais Michel Simon, expert à la machine à sous truquée et au bonneteau (« Où qu'é-t-i' ? Où qu'é-t-i' ? ») est absolument exceptionnel. Audacieux, poétique, il paraît qu'il troublait ses partenaires au gré d'improvisations tonitruantes. C'est pour lui qu'on reverra, encore une fois, ce charmant Fric-frac. — Aurélien Ferenczi
Année : 1939
Avec : Andrex, Arletty, Fernandel, Henri Charrett, Hélène Robert, Marcel Vallée, Michel Simon, René Génin, Varennes Jacques, Vaury Génia
Télévision : 24 février à 00:46-02:29 sur France 3
film : comédie
Marcel est l'un des modestes employés de la bijouterie Mercandieu. Renée, la fille du patron, lui ferait bien les yeux doux. Mais un jour que Marcel traîne à l'hippodrome, il rencontre Loulou, une fille de joie au parler vert et au charme acidulé, qui le subjugue immédiatement. Loulou est accompagnée par Jo-les-bras-coupés. Marcel sympathise avec eux, adopte leurs expressions et leurs manières. Mine de rien, les deux coquins, qui projettent de cambrioler la bijouterie, soutirent des informations au naïf Marcel et préparent leur affaire dans le plus grand secret. Marcel, toujours abusé et tout à son bonheur de jouer les affranchis, ne se doute absolument de rien... - Critique : Marcel, un employé de bijouterie naïf, fournit sans le savoir de précieuses informations à un couple de malfaiteurs, Loulou et Jo, qui préparent un casse. Voilà un film typique de ces adaptations de pièces de théâtre qui furent légion dans les années 1930, et laissaient la part belle aux acteurs. Le scénario, bien mince, est sublimé par le trio magique des interprètes. Les comédiens prononcent des dialogues savoureux qui mêlent parler populaire (argot véritable ou rêve de scénariste ?) et langage plus châtié. Bien sûr, Arletty est formidable, tout comme Fernandel, qui reprenait un rôle créé par Victor Boucher. Mais Michel Simon, expert à la machine à sous truquée et au bonneteau (« Où qu'é-t-i' ? Où qu'é-t-i' ? ») est absolument exceptionnel. Audacieux, poétique, il paraît qu'il troublait ses partenaires au gré d'improvisations tonitruantes. C'est pour lui qu'on reverra, encore une fois, ce charmant Fric-frac. — Aurélien Ferenczi
Année : 1939
Avec : Andrex, Arletty, Fernandel, Henri Charrett, Hélène Robert, Marcel Vallée, Michel Simon, René Génin, Varennes Jacques, Vaury Génia