Nick Harris : passages TV

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Antérieurement en 2024
 

Brassic

Télévision : 16 avril à 07:27-08:09 sur Canal +

série humoristique

Albert. Saison:5 - Episode:7 - Cardi a la mauvaise idée de promettre à Manolito de lui trouver un lapin blanc pour l'anniversaire de sa petite Lola. La tâche s'avère plus difficile que prévu. En outre, il tombe sur Russell Hardwick, qui va une fois de plus lui mener la vie dure. Parallèlement, Carol en veut à Cardi d'avoir oublié leur anniversaire de mariage ; elle aimerait qu'il apprenne à se défendre par lui même... - Critique : Voilà cinq ans que la bande de Vinnie O’Neill enchaîne les arnaques foireuses dans son bled du nord de l’Angleterre. Pour chaque coup réussi, c’est autant de catastrophes, d’accidents, de menaces en tous genres qui s’abattent sur la tête de ces pieds nickelés fauchés — brassic, dans l’argot local. Au menu de cette nouvelle saison, un vol de voitures qui dérape, un cadavre découpé en six morceaux, un ventriloque vengeur… et un début d’analyse pour Vinnie, héros bipolaire qui n’a jamais pris le temps de parler des traumas de son enfance — il a fracturé son premier coffre fort à 7 ans. Ne pas se fier aux séances de thérapie, où la tornade Joe Gilgun s’apaise face à Camille Cottin, de passage dans cette série très populaire outre-Manche. Brassic est avant tout une comédie tonitruante, joyeusement chaotique, sur les mésaventures d’une famille de potes. Sa grande force, c’est d’imaginer des intrigues plus absurdes les unes des autres, d’empiler les gags et les dialogues truffés de jurons pour aussitôt révéler la fragilité de personnages sensibles sous leurs airs idiots. Au-delà de cette fine équipe de bras cassés, Brassic brille grâce à des seconds rôles plus loufoques encore, dont un médecin incompétent incarné avec délectation par Dominic West (The Wire, The Crown), que l’on a jamais vu aussi drôle.

Année : 2023

De : Ruth Carney

Avec : Bronagh Gallagher, Camille Cottin, Joseph Gilgun, Michelle Keegan, Nick Harris, Ryan Sampson, Sabitri Rachid, Steve Evets, Steven Hartley, Tom Hanson

Antérieurement en 2024
 

Brassic

Télévision : 16 avril à 07:26-08:09 sur Canal +

série humoristique

Albert. Saison:5 - Episode:7 - Cardi a la mauvaise idée de promettre à Manolito de lui trouver un lapin blanc pour l'anniversaire de sa petite Lola. La tâche s'avère plus difficile que prévu. En outre, il tombe sur Russell Hardwick, qui va une fois de plus lui mener la vie dure. Parallèlement, Carol en veut à Cardi d'avoir oublié leur anniversaire de mariage ; elle aimerait qu'il apprenne à se défendre par lui même... - Critique : Voilà cinq ans que la bande de Vinnie O’Neill enchaîne les arnaques foireuses dans son bled du nord de l’Angleterre. Pour chaque coup réussi, c’est autant de catastrophes, d’accidents, de menaces en tous genres qui s’abattent sur la tête de ces pieds nickelés fauchés — brassic, dans l’argot local. Au menu de cette nouvelle saison, un vol de voitures qui dérape, un cadavre découpé en six morceaux, un ventriloque vengeur… et un début d’analyse pour Vinnie, héros bipolaire qui n’a jamais pris le temps de parler des traumas de son enfance — il a fracturé son premier coffre fort à 7 ans. Ne pas se fier aux séances de thérapie, où la tornade Joe Gilgun s’apaise face à Camille Cottin, de passage dans cette série très populaire outre-Manche. Brassic est avant tout une comédie tonitruante, joyeusement chaotique, sur les mésaventures d’une famille de potes. Sa grande force, c’est d’imaginer des intrigues plus absurdes les unes des autres, d’empiler les gags et les dialogues truffés de jurons pour aussitôt révéler la fragilité de personnages sensibles sous leurs airs idiots. Au-delà de cette fine équipe de bras cassés, Brassic brille grâce à des seconds rôles plus loufoques encore, dont un médecin incompétent incarné avec délectation par Dominic West (The Wire, The Crown), que l’on a jamais vu aussi drôle.

Année : 2023

De : Ruth Carney

Avec : Bronagh Gallagher, Camille Cottin, Joseph Gilgun, Michelle Keegan, Nick Harris, Ryan Sampson, Sabitri Rachid, Steve Evets, Steven Hartley, Tom Hanson

Antérieurement en 2022
 

Breeders

Télévision : 23 août 2022 à 06:48-07:12 sur Canal +

série humoristique

No Faith. Saison:2 - Episode:4 - Affectée par un décès, toute la famille Worsley assiste à des funérailles. Alors que Paul a perdu la foi depuis des années, il réalise que sa fille Ava se montre intéressée par la religion. Sensible à la cause animale, Luke se déclare vegan. Ally fait tout son possible pour le soutenir mais peine néanmoins à ne pas manger de viande. Paul ne comprend pas les nouveaux centres d'intérêt de ses enfants. - Critique : Paul, la quarantaine (Martin Freeman), a du mal à contrôler ses nerfs. Il passe d’un psy à l’autre pour apprendre à lâcher prise, à ne plus crier, à moins jurer en présence de ses deux enfants, Ava, 10 ans, et Luke, 13 ans. Son couple avec Ally (Daisy Haggard) se porte bien, comme sa relation avec ses propres parents, qui vivent dans le même coin de banlieue londonienne. Mais rien n’y fait, il tremble pour ses gosses, leur place dans le monde, le lien qu’il pensait avoir créé avec eux et qui se distend avec les années… Bref, Paul est un père comme les autres. Breeders, dont la saison 2 débute ce mardi 23 mars sur Canal+ Séries, observe le quotidien de cette famille, de petits conflits en grandes crises, avec un remarquable sens du détail. Sur un ton parfois grave, souvent émouvant, mais sans jamais se départir de son accent comique. Impossible pour Freeman, cocréateur de la série avec Chris Addison et Simon Blackwell (The Thick of It), d’éviter certains lieux communs sur l’adolescence, comme la question du téléphone portable ou des réunions parents-profs. Mais Breeders ne donne jamais de leçons, ne propose pas de solutions. Elle provoque le rire dans les interstices d’un récit essentiellement dramatique, notamment avec les discussions entre Paul et Ally, truffées d’horreurs sur les enfants – un moyen de relâcher la pression. Elle se sert aussi des parents de Paul comme d’une soupape humoristique en s’amusant de leur décalage avec le monde moderne et de leur franc-parler. Pour eux, être parents, c’est faire ce qu’on peut, même quand on le fait mal. « On voit le résultat », souffle en réponse Paul, rongé par un sentiment d’échec permanent. Insister sur l’impossible perfection parentale : c’est là la grande force de Breeders. Dire qu’éduquer, c’est forcément rater son coup, et qu’il est parfois difficile de vraiment connaître ses propres enfants. Ava est précoce, Luke, anxieux à en perdre le sommeil. Est-ce la faute d’Ally et Paul ? « On accuse toujours les parents », résume un des personnages. Une mélancolie tour à tour nostalgique et ironique enveloppe les quatre premiers épisodes envoyés à la presse de cette saison, et confirme que Breeders est une formidable série sur le temps qui passe. On y pleure et on y rit de la mort qui rôde, des voisins qui déménagent, et de la disparition des instants partagés, comme ces soirées où toute la famille se serrait sur le canapé devant Dancing on Ice. Cette chronique douce-amère, comme dans sa première saison, fera à n’en pas douter un bien fou à tous les parents qui partagent les mêmes angoisses.

Année : 2021

De : Ben Palmer

Avec : Alex Eastwood, Alun Armstrong, Daisy Haggard, Eve Prenelle, Indra Ové, Jayda Eyles, Joanna Bacon, Martin Freeman, Nick Harris, Tim Steed

Antérieurement en 2022
 

Breeders

Télévision : 22 mars 2022 à 07:43-08:06 sur Canal +

série humoristique

No Faith. Saison:2 - Episode:4 - Affectée par un décès, toute la famille Worsley assiste à des funérailles. Alors que Paul a perdu la foi depuis des années, il réalise que sa fille Ava se montre intéressée par la religion. Sensible à la cause animale, Luke se déclare vegan. Ally fait tout son possible pour le soutenir mais peine néanmoins à ne pas manger de viande. Paul ne comprend pas les nouveaux centres d'intérêt de ses enfants. - Critique : Paul, la quarantaine (Martin Freeman), a du mal à contrôler ses nerfs. Il passe d’un psy à l’autre pour apprendre à lâcher prise, à ne plus crier, à moins jurer en présence de ses deux enfants, Ava, 10 ans, et Luke, 13 ans. Son couple avec Ally (Daisy Haggard) se porte bien, comme sa relation avec ses propres parents, qui vivent dans le même coin de banlieue londonienne. Mais rien n’y fait, il tremble pour ses gosses, leur place dans le monde, le lien qu’il pensait avoir créé avec eux et qui se distend avec les années… Bref, Paul est un père comme les autres. Breeders, dont la saison 2 débute ce mardi 23 mars sur Canal+ Séries, observe le quotidien de cette famille, de petits conflits en grandes crises, avec un remarquable sens du détail. Sur un ton parfois grave, souvent émouvant, mais sans jamais se départir de son accent comique. Impossible pour Freeman, cocréateur de la série avec Chris Addison et Simon Blackwell (The Thick of It), d’éviter certains lieux communs sur l’adolescence, comme la question du téléphone portable ou des réunions parents-profs. Mais Breeders ne donne jamais de leçons, ne propose pas de solutions. Elle provoque le rire dans les interstices d’un récit essentiellement dramatique, notamment avec les discussions entre Paul et Ally, truffées d’horreurs sur les enfants – un moyen de relâcher la pression. Elle se sert aussi des parents de Paul comme d’une soupape humoristique en s’amusant de leur décalage avec le monde moderne et de leur franc-parler. Pour eux, être parents, c’est faire ce qu’on peut, même quand on le fait mal. « On voit le résultat », souffle en réponse Paul, rongé par un sentiment d’échec permanent. Insister sur l’impossible perfection parentale : c’est là la grande force de Breeders. Dire qu’éduquer, c’est forcément rater son coup, et qu’il est parfois difficile de vraiment connaître ses propres enfants. Ava est précoce, Luke, anxieux à en perdre le sommeil. Est-ce la faute d’Ally et Paul ? « On accuse toujours les parents », résume un des personnages. Une mélancolie tour à tour nostalgique et ironique enveloppe les quatre premiers épisodes envoyés à la presse de cette saison, et confirme que Breeders est une formidable série sur le temps qui passe. On y pleure et on y rit de la mort qui rôde, des voisins qui déménagent, et de la disparition des instants partagés, comme ces soirées où toute la famille se serrait sur le canapé devant Dancing on Ice. Cette chronique douce-amère, comme dans sa première saison, fera à n’en pas douter un bien fou à tous les parents qui partagent les mêmes angoisses.

Année : 2021

De : Ben Palmer

Avec : Alex Eastwood, Alun Armstrong, Daisy Haggard, Eve Prenelle, Indra Ové, Jayda Eyles, Joanna Bacon, Martin Freeman, Nick Harris, Tim Steed

Antérieurement en 2022
 

Breeders

Télévision : 22 mars 2022 à 07:42-08:05 sur Canal +

série humoristique

No Faith. Saison:2 - Episode:4 - Affectée par un décès, toute la famille Worsley assiste à des funérailles. Alors que Paul a perdu la foi depuis des années, il réalise que sa fille Ava se montre intéressée par la religion. Sensible à la cause animale, Luke se déclare vegan. Ally fait tout son possible pour le soutenir mais peine néanmoins à ne pas manger de viande. Paul ne comprend pas les nouveaux centres d'intérêt de ses enfants. - Critique : Paul, la quarantaine (Martin Freeman), a du mal à contrôler ses nerfs. Il passe d’un psy à l’autre pour apprendre à lâcher prise, à ne plus crier, à moins jurer en présence de ses deux enfants, Ava, 10 ans, et Luke, 13 ans. Son couple avec Ally (Daisy Haggard) se porte bien, comme sa relation avec ses propres parents, qui vivent dans le même coin de banlieue londonienne. Mais rien n’y fait, il tremble pour ses gosses, leur place dans le monde, le lien qu’il pensait avoir créé avec eux et qui se distend avec les années… Bref, Paul est un père comme les autres. Breeders, dont la saison 2 débute ce mardi 23 mars sur Canal+ Séries, observe le quotidien de cette famille, de petits conflits en grandes crises, avec un remarquable sens du détail. Sur un ton parfois grave, souvent émouvant, mais sans jamais se départir de son accent comique. Impossible pour Freeman, cocréateur de la série avec Chris Addison et Simon Blackwell (The Thick of It), d’éviter certains lieux communs sur l’adolescence, comme la question du téléphone portable ou des réunions parents-profs. Mais Breeders ne donne jamais de leçons, ne propose pas de solutions. Elle provoque le rire dans les interstices d’un récit essentiellement dramatique, notamment avec les discussions entre Paul et Ally, truffées d’horreurs sur les enfants – un moyen de relâcher la pression. Elle se sert aussi des parents de Paul comme d’une soupape humoristique en s’amusant de leur décalage avec le monde moderne et de leur franc-parler. Pour eux, être parents, c’est faire ce qu’on peut, même quand on le fait mal. « On voit le résultat », souffle en réponse Paul, rongé par un sentiment d’échec permanent. Insister sur l’impossible perfection parentale : c’est là la grande force de Breeders. Dire qu’éduquer, c’est forcément rater son coup, et qu’il est parfois difficile de vraiment connaître ses propres enfants. Ava est précoce, Luke, anxieux à en perdre le sommeil. Est-ce la faute d’Ally et Paul ? « On accuse toujours les parents », résume un des personnages. Une mélancolie tour à tour nostalgique et ironique enveloppe les quatre premiers épisodes envoyés à la presse de cette saison, et confirme que Breeders est une formidable série sur le temps qui passe. On y pleure et on y rit de la mort qui rôde, des voisins qui déménagent, et de la disparition des instants partagés, comme ces soirées où toute la famille se serrait sur le canapé devant Dancing on Ice. Cette chronique douce-amère, comme dans sa première saison, fera à n’en pas douter un bien fou à tous les parents qui partagent les mêmes angoisses.

Année : 2021

De : Ben Palmer

Avec : Alex Eastwood, Alun Armstrong, Daisy Haggard, Eve Prenelle, Indra Ové, Jayda Eyles, Joanna Bacon, Martin Freeman, Nick Harris, Tim Steed

Antérieurement en 2021
 

Departure

Télévision : 21 octobre 2021 à 21:05-21:50 sur 6ter

Série policière

Kendra est perplexe : elle tâche de comprendre comment peuvent s'articuler les différentes preuves dont elle dispose et qui semblent contradictoires. Son trouble est accentué par la trahison d'un proche. Au même moment, AJ met sa vie en danger...

Année : 2019

De : T J Scott, Vince Shiao, Stephanie Tracey, Alexandra Mircheff

Avec : Archie Panjabi, Christopher Plummer, Kris Holden-Ried, Claire Forlani, Dougray Scott, Rebecca Liddiard, Tamara Duarte, Mark Rendall, Peter Mensah, Alexandre Bourgeois, Shazad Latif, Evan Buliung, Kristian Bruun, Emilio Doorgasingh, Sasha Roiz, Paris Jefferson, Chantelle Han, Ryan Pierce, Allan Hawco, Tyler Fayose, Emmanuel Kabongo, Chloe Farnworth, Raoul Bhaneja, A J Simmons, Rachel Bles, Roanna Cochrane, Nick Harris, Helen King, Mark Lutz, Jamila Martin-Wingett

Antérieurement en 2021
 

Breeders

Télévision : 14 octobre 2021 à 07:43-08:07 sur Canal +

Série humoristique

Affectée par un décès, la famille Worsley assiste à des funérailles. Alors que Paul a perdu la foi depuis des années, il réalise qu'Ava s'intéresse à la religion. Sensible à la cause animale, Luke se déclare vegan. Ally fait tout son possible pour le soutenir mais peine néanmoins à ne pas manger de viande.

Année : 2021

De : Ben Palmer

Avec : Nick Harris, Martin Freeman, Daisy Haggard, Alun Armstrong, Joanna Bacon, Alex Eastwood, Eve Prenelle, Jayda Eyles, Indra Ové, Tim Steed