Maria Zanoli : passages TV et derniers films au cinéma

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Antérieurement en 2024
 

Le souffle de la liberté

Télévision : 22 juin à 00:48-02:34 sur France 3

film : drame

Pendant une chasse à courre, André Chénier, secrétaire à l'ambassade de Londres, fait la connaissance de Madeleine de Coigny. Après quelques remarques cinglantes de la jeune noble au poète roturier, c'est le grand amour. Le palefrenier Gérard, dont la famille sert les Coigny de père en fils, est jaloux. Le père de la jeune fille, le comte de Coigny, très fier de sa noblesse, s'oppose à leur amour. Dès les premiers mouvements révolutionnaires, Chénier revient à Paris. Gérard, acquis aux idées nouvelles, arrive trop tard pour empêcher le départ de ses anciens maîtres. Il se lance à leur poursuite...

Année : 1955

Avec : Alfredo Bianchini, Antonella Lualdi, Antonio Pierfederici, Franca Mazzoni, Maria Zanoli, Mariani Mario, Michael Tor, Michel Auclair, Piero Carnabuci, Raf Vallone, Rina Morelli, Tofano Sergio

Antérieurement en 2022
 

Nuits blanches

Télévision : 2 avril 2022 à 01:42-03:19 sur France 3

film : drame

Lors d'une de ses errances nocturnes, près d'un canal, Mario rencontre Natalia, une jeune fille qui semble en proie à un désespoir terrible. Il engage la conversation et lui fixe un rendez-vous pour le lendemain. Le lendemain, Natalia est là, mais en réalité elle attend l'homme qu'elle aime, censé la rejoindre à cet endroit. Son attente est cependant vaine, et patiemment Mario, épris de la jeune fille, tente de nouer une relation avec elle. Il y parvient presque, mais un jour l'homme tant attendu fait son apparition et, sans hésitation, Natalia délaisse son compagnon des nuits blanches pour partir avec l'homme de son coeur... - Critique : Avec Senso (1954), mélodrame en costumes et couleurs flamboyantes, Luchino Visconti s’était pour la première fois démarqué du néoréalisme de ses débuts. Dans Nuits blanches, pourtant tourné en noir et blanc, l’Italien rompt définitivement avec le courant esthétique qui révolutionna le cinéma de l’après-Seconde Guerre mondiale. Comme un symbole, Clara Calamai, l’héroïne de son premier film, Ossessione, (dés)incarne ici une prostituée fatiguée dont le héros solitaire rejette les avances… Le contexte social est désormais inexistant, au profit de la seule romance impossible entre un employé timide (Marcello Mastroianni) et une jeune femme romantique (Maria Schell) qui attend le retour de son bien-aimé (Jean Marais, idéalisé comme dans les films de Cocteau). Visconti a reconstitué les canaux du vieux Livourne dans les studios de Cinecittà et a incité son directeur de la photo, Giuseppe Rotunno, à entretenir, par des variations subtiles d’ombres et de lumière, une incertitude permanente entre le réalisme et l’onirisme. Pour recréer le brouillard, les deux hommes ont ainsi utilisé des kilomètres de tulle, comme sur une scène de théâtre. De ces moments suspendus entre réalité et artifice, banalité du quotidien et magie des rêves, naît une émotion qui va crescendo jusqu’à la déchirante scène finale, sous une neige d’illusions perdues. Même la pénible Maria Schell se révèle, pour une fois, touchante…

Année : 1957

Avec : Angelo Galassi, Clara Calamai, Corrado Pani, Dirk Sanders, Elena Fancera, Jean Marais, Lanfranco Ceccarelli, Marcella Rovena, Marcello Mastroianni, Maria Schell, Maria Zanoli, Renato Terra

Antérieurement en 2022
 

Nuits blanches

Télévision : 2 avril 2022 à 01:41-03:15 sur France 3

film : drame

Lors d'une de ses errances nocturnes, près d'un canal, Mario rencontre Natalia, une jeune fille qui semble en proie à un désespoir terrible. Il engage la conversation et lui fixe un rendez-vous pour le lendemain. Le lendemain, Natalia est là, mais en réalité elle attend l'homme qu'elle aime, censé la rejoindre à cet endroit. Son attente est cependant vaine, et patiemment Mario, épris de la jeune fille, tente de nouer une relation avec elle. Il y parvient presque, mais un jour l'homme tant attendu fait son apparition et, sans hésitation, Natalia délaisse son compagnon des nuits blanches pour partir avec l'homme de son coeur... - Critique : Avec Senso (1954), mélodrame en costumes et couleurs flamboyantes, Luchino Visconti s’était pour la première fois démarqué du néoréalisme de ses débuts. Dans Nuits blanches, pourtant tourné en noir et blanc, l’Italien rompt définitivement avec le courant esthétique qui révolutionna le cinéma de l’après-Seconde Guerre mondiale. Comme un symbole, Clara Calamai, l’héroïne de son premier film, Ossessione, (dés)incarne ici une prostituée fatiguée dont le héros solitaire rejette les avances… Le contexte social est désormais inexistant, au profit de la seule romance impossible entre un employé timide (Marcello Mastroianni) et une jeune femme romantique (Maria Schell) qui attend le retour de son bien-aimé (Jean Marais, idéalisé comme dans les films de Cocteau). Visconti a reconstitué les canaux du vieux Livourne dans les studios de Cinecittà et a incité son directeur de la photo, Giuseppe Rotunno, à entretenir, par des variations subtiles d’ombres et de lumière, une incertitude permanente entre le réalisme et l’onirisme. Pour recréer le brouillard, les deux hommes ont ainsi utilisé des kilomètres de tulle, comme sur une scène de théâtre. De ces moments suspendus entre réalité et artifice, banalité du quotidien et magie des rêves, naît une émotion qui va crescendo jusqu’à la déchirante scène finale, sous une neige d’illusions perdues. Même la pénible Maria Schell se révèle, pour une fois, touchante…

Année : 1957

De : Luchino Visconti

Avec : Angelo Galassi, Clara Calamai, Corrado Pani, Dirk Sanders, Elena Fancera, Jean Marais, Lanfranco Ceccarelli, Marcella Rovena, Marcello Mastroianni, Maria Schell, Maria Zanoli, Renato Terra

Antérieurement en 2021
 

Le Printemps, l'automne et l'amour - DVD

DVD/Blu-ray : 3 novembre 2021

Editeur : Gaumont

Année : 1955

De : Gilles Grangier

Avec : Fernandel, Nicole Berger, Andrex, Georges Chamarat, Denise Grey, Gaston Rey, Maria Zanoli, Jacqueline Noëlle

Antérieurement en 2020