DVD/Blu-ray : 13 décembre 2023
Editeur : Les Films du Camélia
Année : 1949
De : Ida Lupino, Elmer Clifton
Avec : Joan Fontaine, Ida Lupino, Edmund Gwenn, Edmond O&039 Brien, Kenneth Tobey, Jane Darwell, Peggy Maley, Frank Lovejoy, William Talman, José Torvay, Sam Hayes, Wendell Niles, Jean Del Val, Clark Howat, Sally Forrest, Keefe Brasselle, Hugh O&039 Brian, Eve Miller, Lawrence Dobkin, Rita Lupino, Herb Butterfield, Kevin O&039 Morrison, Leo Penn, Dorothy Adams, Wheaton Chambers, Audrey Farr, Carole Donne
DVD/Blu-ray : 9 mars 2022
Editeur : Paramount Pictures
Année : 1951
De : George Stevens
Avec : Montgomery Clift, Elizabeth Taylor, Shelley Winters, Anne Revere, Raymond Burr, Keefe Brasselle, Fred Clark, Herbert Heyes
DVD/Blu-ray : 8 septembre 2021
Editeur : Paramount Pictures
Année : 1951
De : George Stevens
Avec : Montgomery Clift, Elizabeth Taylor, Shelley Winters, Anne Revere, Raymond Burr, Keefe Brasselle, Fred Clark, Herbert Heyes
Cinéma : 30 septembre 2020
Editeur : The Filmakers
Année : 1949
De : Ida Lupino
Avec : Sally Forrest, Keefe Brasselle, Hugh O'Brian, Eve Miller, Lawrence Dobkin, Rita Lupino, Herbert Butterfield, Kevin O'Morrison, Stanley Waxman, Jerry Hausner, John Franco
Télévision : 15 mai 2018 à 13:35-15:40 sur Arte
film : drame
Décors, musique et photo magnifiques pour un luxueux produit hollywoodien aux accents tragiques. Au cœur de cet écrin splendide règne Elizabeth Taylor. Déchirant ! Critique : | Genre : drame de l’amour impossible. George est tiré du ruisseau par son oncle richissime, qui lui offre un emploi dans son usine. Là, il emballe des chemises et une ouvrière nommée Alice, qui se retrouve enceinte et le supplie de l’épouser. En même temps, il tombe fou amoureux d’une femme de la haute société, Angela. Empêtré dans sa double vie, George perd la tête… George Stevens cache son dégoût du rêve américain derrière un cinéma ultra hollywoodien. Ce classicisme apparent est une attaque provocatrice contre Hollywood, qui s’échine à esthétiser la misère, jusqu’à l’enterrer. Là réside le talent du réalisateur, amoureux des paradoxes et spectaculairement engagé. Une place au soleil est un requiem grinçant, à la fois tapageur et déchiré. Au bout des cordes des violons se balancent de tristes pendus, sacrifiés par une société faussement égalitaire, condamnés pour leur présomption de révolte sociale. Le cinéaste réussit à dénoncer, discrètement mais efficacement, les ligues anti-avortement et la peine de mort. Ses acteurs font merveille, notamment Shelley Winters, femme martyrisée par de faux amis, qui semble répéter son futur rôle dans La Nuit du chasseur.
Année : 1951
Avec : George Stevens, Elizabeth Taylor, Montgomery Clift, Shelley Winters, Raymond Burr, Anne Revere, Keefe Brasselle, Fred Clark, Herbert Heyes, Franz Waxman, Harry Brown, Patrick Kearney, Michael Wilson, Theodore Dreiser, William Mellor
Télévision : 3 mai 2018 à 13:35-15:35 sur Arte
film : drame
Décors, musique et photo magnifiques pour un luxueux produit hollywoodien aux accents tragiques. Au cœur de cet écrin splendide règne Elizabeth Taylor. Déchirant ! Critique : | Genre : drame de l’amour impossible. George est tiré du ruisseau par son oncle richissime, qui lui offre un emploi dans son usine. Là, il emballe des chemises et une ouvrière nommée Alice, qui se retrouve enceinte et le supplie de l’épouser. En même temps, il tombe fou amoureux d’une femme de la haute société, Angela. Empêtré dans sa double vie, George perd la tête… George Stevens cache son dégoût du rêve américain derrière un cinéma ultra hollywoodien. Ce classicisme apparent est une attaque provocatrice contre Hollywood, qui s’échine à esthétiser la misère, jusqu’à l’enterrer. Là réside le talent du réalisateur, amoureux des paradoxes et spectaculairement engagé. Une place au soleil est un requiem grinçant, à la fois tapageur et déchiré. Au bout des cordes des violons se balancent de tristes pendus, sacrifiés par une société faussement égalitaire, condamnés pour leur présomption de révolte sociale. Le cinéaste réussit à dénoncer, discrètement mais efficacement, les ligues anti-avortement et la peine de mort. Ses acteurs font merveille, notamment Shelley Winters, femme martyrisée par de faux amis, qui semble répéter son futur rôle dans La Nuit du chasseur.
Année : 1951
Avec : George Stevens, Elizabeth Taylor, Montgomery Clift, Shelley Winters, Raymond Burr, Anne Revere, Keefe Brasselle, Fred Clark, Herbert Heyes, Franz Waxman, Harry Brown, Patrick Kearney, Michael Wilson, Theodore Dreiser, William Mellor
Télévision : 23 avril 2018 à 20:50-22:50 sur Arte
film : drame
Décors, musique et photo magnifiques pour un luxueux produit hollywoodien aux accents tragiques. Au cœur de cet écrin splendide règne Elizabeth Taylor. Déchirant ! Critique : Film de George Stevens (A place in the sun, USA, 1951). Scénario : Michael Wilson et Harry Brown, d'après Theodore Dreiser. Image : William C. Mellor. Musique : Franz Waxman. 120 mn. NB. Avec Montgomery Clift : George Eastman. Shelley Winters : Alice Tripp. Elizabeth Taylor : Angela Vickers. Ann Revere : Hannah Eastman. Keefe Brasselle : Earl Eastman. Herbert Heyes : Charles Eastman. Le genre : drame de l'amour impossible. Elevé dans une famille sans le sou, George est tiré du ruisseau par son oncle richissime, qui lui offre un emploi dans son usine. Là, George emballe des chemises et une jeune ouvrière nommée Alice, qui tombe enceinte et le supplie de l'épouser. En même temps, il a fait la connaissance d'une femme de la haute société, Angela, dont il est tombé fou amoureux. Empêtré dans sa double vie, George perd la tête... Le roman de Theodore Dreiser, à l'origine du film, s'appelle Une tragédie américaine. Les studios ont préféré un titre plus glamour, mais l'amertume sourd quand même. George Stevens cache son dégoût du rêve américain derrière un cinéma ultra-hollywoodien. Ce classicisme apparent est une attaque provocatrice contre Hollywood, qui s'échine à esthétiser la misère, jusqu'à l'enterrer. Là réside le talent de George Stevens, amoureux des paradoxes et spectaculairement engagé. Une place au soleil est un requiem grinçant, à la fois tapageur et déchiré. Au bout des cordes des violons se balancent de tristes pendus, sacrifiés par une société faussement égalitaire, condamnés pour leur présomption de révolte sociale. Le cinéaste réussit à dénoncer, discrètement mais efficacement, les ligues antiavortement et la peine de mort. Ses acteurs font merveille, notamment Shelley Winters, femme martyrisée par de faux amis et qui semble répéter son futur rôle dans La Nuit du chasseur... Marine Landrot
Année : 1951