Kavanagh John : passages TV et dernières sorties DVD/Blu-ray

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Récemment en décembre
 

Alexandre

Télévision : 5 décembre à 00:10-03:00 sur 6ter

film historique

Le IVe siècle avant Jésus-Christ, à Alexandrie. Ptolémée retrace devant ses auditeurs la vie d'Alexandre, fondateur du pays et conquérant sans égal dans le monde antique. Fils de Philippe II de Macédoine et d'Olympie, le jeune Alexandre est l'un des élèves d'Aristote. L'assassinat de son père, alors qu'il n'a que 20 ans, fait de lui le roi de Macédoine. A peine couronné, le jeune homme se lance dans une grande entreprise de conquête des pays connus. A la tête d'une impressionnante armée et fort de l'éducation reçue d'Aristote, Alexandre affronte les Perses, prend Babylone et s'aventure jusqu'en Inde, régnant de manière incontestée sur une grande partie du globe... - Critique : Production européenne, langue anglaise, style hollywoodien : une salade russe pour redonner le goût de la Macédoine, le pays d'Alexandre (356-323 avant J.-C.), on ne s'en offusque pas. Mais l'esprit d'Oliver Stone semble confus. Du portrait de son héros, il fait une fresque psychologique empâtée. Et quand il passe à l'action, c'est pour faire retentir un discours bushien sur la liberté, face à un ennemi qui ressemble à un Ben Laden de BD. Où veut-il en venir ? Au charisme d'un gamin qui ­devint roi à 20 ans, voulut régner sur le monde et se lança dans des conquêtes qui ruineront sa vie et bâtiront sa légende. Le film parvient à nous faire partager sa vision exaltée. Franchissant les montagnes pour se retrouver encerclé par d'autres sommets, s'aventurant en Inde, où la jungle se referme sur lui, Alexandre devient l'incarnation d'une jeunesse intrépide et hors du temps. Oliver Stone donne des airs de rock star à la figure d'Alexandre. Ses amours libres, avec filles et garçons, sont électriques, ses combats tiennent de la performance. On peut rêver que cela donne ­envie aux rebelles d'aujourd'hui de se plonger dans un livre d'histoire.

Année : 2004

Avec : Angelina Jolie, Anthony Hopkins, Beattie Ian, Christopher Plummer, Colin Farrell, Damien Delaney, Gary Stretch, Jared Leto, Jonathan Rhys, Kavanagh John, Mccann Rory, Piers Gielgud, Rosario Dawson, Val Kilmer

Récemment en novembre
 

Alexandre

Télévision : 13 novembre à 21:10-00:10 sur 6ter

film historique

Le IVe siècle avant Jésus-Christ, à Alexandrie. Ptolémée retrace devant ses auditeurs la vie d'Alexandre, fondateur du pays et conquérant sans égal dans le monde antique. Fils de Philippe II de Macédoine et d'Olympie, le jeune Alexandre est l'un des élèves d'Aristote. L'assassinat de son père, alors qu'il n'a que 20 ans, fait de lui le roi de Macédoine. A peine couronné, le jeune homme se lance dans une grande entreprise de conquête des pays connus. A la tête d'une impressionnante armée et fort de l'éducation reçue d'Aristote, Alexandre affronte les Perses, prend Babylone et s'aventure jusqu'en Inde, régnant de manière incontestée sur une grande partie du globe... - Critique : Production européenne, langue anglaise, style hollywoodien : une salade russe pour redonner le goût de la Macédoine, le pays d'Alexandre (356-323 avant J.-C.), on ne s'en offusque pas. Mais l'esprit d'Oliver Stone semble confus. Du portrait de son héros, il fait une fresque psychologique empâtée. Et quand il passe à l'action, c'est pour faire retentir un discours bushien sur la liberté, face à un ennemi qui ressemble à un Ben Laden de BD. Où veut-il en venir ? Au charisme d'un gamin qui ­devint roi à 20 ans, voulut régner sur le monde et se lança dans des conquêtes qui ruineront sa vie et bâtiront sa légende. Le film parvient à nous faire partager sa vision exaltée. Franchissant les montagnes pour se retrouver encerclé par d'autres sommets, s'aventurant en Inde, où la jungle se referme sur lui, Alexandre devient l'incarnation d'une jeunesse intrépide et hors du temps. Oliver Stone donne des airs de rock star à la figure d'Alexandre. Ses amours libres, avec filles et garçons, sont électriques, ses combats tiennent de la performance. On peut rêver que cela donne ­envie aux rebelles d'aujourd'hui de se plonger dans un livre d'histoire.

Année : 2004

Avec : Angelina Jolie, Anthony Hopkins, Beattie Ian, Christopher Plummer, Colin Farrell, Damien Delaney, Gary Stretch, Jared Leto, Jonathan Rhys, Kavanagh John, Mccann Rory, Piers Gielgud, Rosario Dawson, Val Kilmer

Antérieurement en 2023
 

Florence Foster Jenkins

Télévision : 27 octobre 2023 à 21:05-22:55 sur France 5

film : comédie dramatique

En 1944, à New York. La richissime Florence Foster Jenkins, grande amatrice d'art lyrique, se croit douée pour le chant. A tort car en réalité, elle a une voix de crécelle. La bonne société, et surtout son mari St Clair Bayfield, se gardent bien de lui dire la vérité. C'est alors que Florence décide de se perfectionner avec un maestro complaisant, Cosmé McMoon, un jeune pianiste. St Clair, qui mène une double vie avec la belle Kathleen, met tout en oeuvre pour protéger son épouse. Mais celle-ci se met en tête d'investir le Carnegie Hall et d'y donner un grand concert. St Clair tente d'éviter que la représentation ne tourne au fiasco... - Critique : | Genre : Castafiore (bis). Depuis que Florence Foster Jenkins a inspiré le personnage de Catherine Frot dans Marguerite, la millionnaire new-yorkaise qui se rêvait cantatrice malgré sa voix de crécelle n'est plus une inconnue en France. Le biopic que Stephen Frears lui consacre a un gros handicap : il est sorti après le film de Xavier Giannoli, perdant l'attrait de la nouveauté et s'exposant à une comparaison risquée. Car le plus original des deux, c'est le français. Frears s'intéresse à la soprano de pacotille au soir de sa vie, en 1944, quand elle se pique de donner un récital au Carnegie Hall. Il ne manque pas un bibelot précieux à cette reconstitution du décor kitsch dans lequel la « diva » américaine recevait sa cour. La description de cet univers snob ne manque pas d'humour, et le fameux concert atteint une vraie intensité dramatique. Mais domine l'impression de feuilleter un beau livre d'images superficiel. Le réalisateur de The Queen, mordant d'habitude, adoucit ses coups, comme pour privilégier l'émotion à la satire. Une retenue que l'on aurait préféré voir dans le jeu de Meryl Streep... Dommage, car le scénario développe un joli paradoxe : cette amoureuse de la musique qui chantait si faux a rendu ses proches plus sincères en donnant un sens à leur vie. A commencer par son mari, qui profite de l'argent de l'héritière pour se ­révéler le plus tendre des hommes. Hugh Grant, jamais vu aussi bon, apporte son ­irrésistible don comique, puis une émotion bouleversante à cet être médiocre, soudain admirable. — Samuel Douhaire

Année : 2016

De : Stephen Frears

Avec : Allan Corduner, Brid Brennan, Christian McKay, David Haig, Hugh Grant, John Sessions, Kavanagh John, Meryl Streep, Nina Arianda, Rebecca Ferguson, Simon Helberg, Stanley Townsend