Disney+ : 16 mai 2024
Avec : Elena Anaya, Belén Cuesta, Irene Escolar, Marta Etura, Itziar Atienza, Lorena López, Ana Rayo
DVD/Blu-ray : 27 mars 2024
Editeur : Arizona Distribution
Année : 2023
De : Itsaso Arana
Avec : Bárbara Lennie, Irene Escolar, Itziar Manero, Helena Ezquerro, Itsaso Arana, Gonzalo Herrero, Mercedes Unzeta, Julia León
Netflix : 2 mars 2024
Un physicien s'appuie sur les lois de la thermodynamique pour décrire les relations amoureuses, mais ses théories s'avèrent fausses concernant sa propre vie sentimentale.
De : Mateo Gil
Avec : Vito Sanz, Berta Vázquez, Chino Darín, Vicky Luengo, Irene Escolar, Josep Maria Pou, Andrea Ros
Netflix : 29 février 2024
Un trappeur vivant dans une ville de montagne abandonnée dans le nord de l'Espagne cherche un remède à sa solitude en se procurant une femme.
De : Samu Fuentes
Avec : Mario Casas, Irene Escolar, Ruth Díaz, Quimet Pla, Paco Sagarzazu, Kandido Uranga
DVD/Blu-ray : 10 mai 2023
Editeur : Arizona Distribution
Année : 2022
De : Jonás Trueba
Avec : Itsaso Arana, Francesco Carril, Chano Domínguez, Irene Escolar, Vito Sanz, Jonás Trueba
Télévision : 24 janvier 2023 à 01:30-03:21 sur Canal +
film : comédie dramatique
Milliardaire, Iván Torres semble avoir atteint tous ses objectifs dans le monde des affaires. Pour autant, l'homme n'est pas comblé et il souhaite passer à la postérité en finançant la réalisation d'un film qui marquera les mémoires. Pour ce faire, il s'entoure de pontes du septième art. Conseillé par l'extravagante Lola, Iván confie la réalisation de l'œuvre à un aussi brillant que fantasque réalisateur, Humberto. En tête d'affiche du casting, le très charismatique (et un brin têtu) Félix, dont le talent n'est plus à démontrer. Dès le lancement du projet, la relation entre ces deux égos surdimensionnés fait des étincelles... - Critique : Et si, maintenant que le Festival de Cannes est fini, on se moquait des gens de cinéma ? Les réalisateurs qui prennent leur microcosme pour cible ne manquent pas — on se souvient encore d’un Robert Altman mordant, croquant Hollywood dans The Player, il y a trente ans. Nouveaux maîtres de la satire, les duettistes argentins qui avaient imaginé le retour risible d’un Prix Nobel de littérature dans son village (Citoyen d’honneur, 2017) trouvent cette fois un ton inédit pour s’amuser des belles âmes artistiques du grand écran. Un trio leur suffit. Une cinéaste cérébrale et célébrée dès son premier film, La Pluie inversée, soumet à sa méthode fantasque et volontiers sadique deux acteurs stars. L’un est un playboy très showbiz, l’autre un puriste formé au théâtre. Entre eux, la compétition est officielle. Les coups vont pleuvoir, vaches et drôles. Mais un charme irrésistible s’en mêle. Celui d’Antonio Banderas et d’Oscar Martínez, qui jouent la séduction vulgaire contre l’élégance cultivée, tout en campant l’un et l’autre de vrais roublards. Le charme, aussi, de Penélope Cruz, qui incarne avec une autorité savamment dosée la réalisatrice montée sur les grands chevaux de son génie. Caricatural et pourtant subtil tant il se nourrit de contradictions, ce personnage définit bien le style du film, qui ose le grotesque comme la sophistication et met de l’ambition dans la farce. La qualité de l’interprétation va de pair avec la recherche de la mise en scène. Les plans, rigoureusement architecturés, créent un effet d’écho spectaculaire avec le décor choisi : un immense bâtiment aux lignes géométriques où le trio répète avant le tournage. Autour de ces énormes ego se déploie ainsi, à travers des espaces d’un gigantisme prétentieux, une vision d’artiste envahissante, boursoufflée. Cette expressivité visuelle fait de Compétition officielle une brillante comédie conceptuelle, qui rappelle The Square, de Ruben Östlund (Palme d’or en 2017). C’est dire si les idées abondent, débordent parfois. On en retient un regard cinglant et désopilant sur un cinéma d’auteur asséché par les intentions, les discours, les élucubrations narcissiques. Le film qui se prépare est produit par un magnat de l’industrie pharmaceutique qui espère, en finançant cette création, accéder à une nouvelle grandeur, à une réelle noblesse. Il réunit donc les meilleurs talents et vise mathématiquement le meilleur résultat… Ce cinéma qui se doit d’être compétitif et d’assurer tous les honneurs, les deux réalisateurs l’observent non sans inquiétude. Mais leur humour est un excellent remède contre la vanité. Et la précision de leur regard a l’effet d’une frappe revigorante.
Année : 2021
Avec : Antonio Banderas, Irene Escolar, José Luis, Juan Grandinetti, Koldo Olabarri, Manolo Solo, Martínez Oscar, Melina Matthews, Nagore Aranburu, Penélope Cruz, Pilar Castro, Sue Flack
Télévision : 24 janvier 2023 à 01:29-03:21 sur Canal +
film : comédie dramatique
Milliardaire, Iván Torres semble avoir atteint tous ses objectifs dans le monde des affaires. Pour autant, l'homme n'est pas comblé et il souhaite passer à la postérité en finançant la réalisation d'un film qui marquera les mémoires. Pour ce faire, il s'entoure de pontes du septième art. Conseillé par l'extravagante Lola, Iván confie la réalisation de l'œuvre à un aussi brillant que fantasque réalisateur, Humberto. En tête d'affiche du casting, le très charismatique (et un brin têtu) Félix, dont le talent n'est plus à démontrer. Dès le lancement du projet, la relation entre ces deux égos surdimensionnés fait des étincelles... - Critique : Et si, maintenant que le Festival de Cannes est fini, on se moquait des gens de cinéma ? Les réalisateurs qui prennent leur microcosme pour cible ne manquent pas — on se souvient encore d’un Robert Altman mordant, croquant Hollywood dans The Player, il y a trente ans. Nouveaux maîtres de la satire, les duettistes argentins qui avaient imaginé le retour risible d’un Prix Nobel de littérature dans son village (Citoyen d’honneur, 2017) trouvent cette fois un ton inédit pour s’amuser des belles âmes artistiques du grand écran. Un trio leur suffit. Une cinéaste cérébrale et célébrée dès son premier film, La Pluie inversée, soumet à sa méthode fantasque et volontiers sadique deux acteurs stars. L’un est un playboy très showbiz, l’autre un puriste formé au théâtre. Entre eux, la compétition est officielle. Les coups vont pleuvoir, vaches et drôles. Mais un charme irrésistible s’en mêle. Celui d’Antonio Banderas et d’Oscar Martínez, qui jouent la séduction vulgaire contre l’élégance cultivée, tout en campant l’un et l’autre de vrais roublards. Le charme, aussi, de Penélope Cruz, qui incarne avec une autorité savamment dosée la réalisatrice montée sur les grands chevaux de son génie. Caricatural et pourtant subtil tant il se nourrit de contradictions, ce personnage définit bien le style du film, qui ose le grotesque comme la sophistication et met de l’ambition dans la farce. La qualité de l’interprétation va de pair avec la recherche de la mise en scène. Les plans, rigoureusement architecturés, créent un effet d’écho spectaculaire avec le décor choisi : un immense bâtiment aux lignes géométriques où le trio répète avant le tournage. Autour de ces énormes ego se déploie ainsi, à travers des espaces d’un gigantisme prétentieux, une vision d’artiste envahissante, boursoufflée. Cette expressivité visuelle fait de Compétition officielle une brillante comédie conceptuelle, qui rappelle The Square, de Ruben Östlund (Palme d’or en 2017). C’est dire si les idées abondent, débordent parfois. On en retient un regard cinglant et désopilant sur un cinéma d’auteur asséché par les intentions, les discours, les élucubrations narcissiques. Le film qui se prépare est produit par un magnat de l’industrie pharmaceutique qui espère, en finançant cette création, accéder à une nouvelle grandeur, à une réelle noblesse. Il réunit donc les meilleurs talents et vise mathématiquement le meilleur résultat… Ce cinéma qui se doit d’être compétitif et d’assurer tous les honneurs, les deux réalisateurs l’observent non sans inquiétude. Mais leur humour est un excellent remède contre la vanité. Et la précision de leur regard a l’effet d’une frappe revigorante.
Année : 2021
Avec : Antonio Banderas, Irene Escolar, José Luis, Juan Grandinetti, Koldo Olabarri, Manolo Solo, Martínez Oscar, Melina Matthews, Nagore Aranburu, Penélope Cruz, Pilar Castro, Sue Flack
Télévision : 9 janvier 2023 à 08:16-10:08 sur Canal +
film : comédie dramatique
Milliardaire, Iván Torres semble avoir atteint tous ses objectifs dans le monde des affaires. Pour autant, l'homme n'est pas comblé et il souhaite passer à la postérité en finançant la réalisation d'un film qui marquera les mémoires. Pour ce faire, il s'entoure de pontes du septième art. Conseillé par l'extravagante Lola, Iván confie la réalisation de l'œuvre à un aussi brillant que fantasque réalisateur, Humberto. En tête d'affiche du casting, le très charismatique (et un brin têtu) Félix, dont le talent n'est plus à démontrer. Dès le lancement du projet, la relation entre ces deux égos surdimensionnés fait des étincelles... - Critique : Et si, maintenant que le Festival de Cannes est fini, on se moquait des gens de cinéma ? Les réalisateurs qui prennent leur microcosme pour cible ne manquent pas — on se souvient encore d’un Robert Altman mordant, croquant Hollywood dans The Player, il y a trente ans. Nouveaux maîtres de la satire, les duettistes argentins qui avaient imaginé le retour risible d’un Prix Nobel de littérature dans son village (Citoyen d’honneur, 2017) trouvent cette fois un ton inédit pour s’amuser des belles âmes artistiques du grand écran. Un trio leur suffit. Une cinéaste cérébrale et célébrée dès son premier film, La Pluie inversée, soumet à sa méthode fantasque et volontiers sadique deux acteurs stars. L’un est un playboy très showbiz, l’autre un puriste formé au théâtre. Entre eux, la compétition est officielle. Les coups vont pleuvoir, vaches et drôles. Mais un charme irrésistible s’en mêle. Celui d’Antonio Banderas et d’Oscar Martínez, qui jouent la séduction vulgaire contre l’élégance cultivée, tout en campant l’un et l’autre de vrais roublards. Le charme, aussi, de Penélope Cruz, qui incarne avec une autorité savamment dosée la réalisatrice montée sur les grands chevaux de son génie. Caricatural et pourtant subtil tant il se nourrit de contradictions, ce personnage définit bien le style du film, qui ose le grotesque comme la sophistication et met de l’ambition dans la farce. La qualité de l’interprétation va de pair avec la recherche de la mise en scène. Les plans, rigoureusement architecturés, créent un effet d’écho spectaculaire avec le décor choisi : un immense bâtiment aux lignes géométriques où le trio répète avant le tournage. Autour de ces énormes ego se déploie ainsi, à travers des espaces d’un gigantisme prétentieux, une vision d’artiste envahissante, boursoufflée. Cette expressivité visuelle fait de Compétition officielle une brillante comédie conceptuelle, qui rappelle The Square, de Ruben Östlund (Palme d’or en 2017). C’est dire si les idées abondent, débordent parfois. On en retient un regard cinglant et désopilant sur un cinéma d’auteur asséché par les intentions, les discours, les élucubrations narcissiques. Le film qui se prépare est produit par un magnat de l’industrie pharmaceutique qui espère, en finançant cette création, accéder à une nouvelle grandeur, à une réelle noblesse. Il réunit donc les meilleurs talents et vise mathématiquement le meilleur résultat… Ce cinéma qui se doit d’être compétitif et d’assurer tous les honneurs, les deux réalisateurs l’observent non sans inquiétude. Mais leur humour est un excellent remède contre la vanité. Et la précision de leur regard a l’effet d’une frappe revigorante.
Année : 2021
Avec : Antonio Banderas, Irene Escolar, José Luis, Juan Grandinetti, Koldo Olabarri, Manolo Solo, Martínez Oscar, Melina Matthews, Nagore Aranburu, Penélope Cruz, Pilar Castro, Sue Flack
Télévision : 3 janvier 2023 à 04:35-06:26 sur Canal +
film : comédie dramatique
Milliardaire, Iván Torres semble avoir atteint tous ses objectifs dans le monde des affaires. Pour autant, l'homme n'est pas comblé et il souhaite passer à la postérité en finançant la réalisation d'un film qui marquera les mémoires. Pour ce faire, il s'entoure de pontes du septième art. Conseillé par l'extravagante Lola, Iván confie la réalisation de l'œuvre à un aussi brillant que fantasque réalisateur, Humberto. En tête d'affiche du casting, le très charismatique (et un brin têtu) Félix, dont le talent n'est plus à démontrer. Dès le lancement du projet, la relation entre ces deux égos surdimensionnés fait des étincelles... - Critique : Et si, maintenant que le Festival de Cannes est fini, on se moquait des gens de cinéma ? Les réalisateurs qui prennent leur microcosme pour cible ne manquent pas — on se souvient encore d’un Robert Altman mordant, croquant Hollywood dans The Player, il y a trente ans. Nouveaux maîtres de la satire, les duettistes argentins qui avaient imaginé le retour risible d’un Prix Nobel de littérature dans son village (Citoyen d’honneur, 2017) trouvent cette fois un ton inédit pour s’amuser des belles âmes artistiques du grand écran. Un trio leur suffit. Une cinéaste cérébrale et célébrée dès son premier film, La Pluie inversée, soumet à sa méthode fantasque et volontiers sadique deux acteurs stars. L’un est un playboy très showbiz, l’autre un puriste formé au théâtre. Entre eux, la compétition est officielle. Les coups vont pleuvoir, vaches et drôles. Mais un charme irrésistible s’en mêle. Celui d’Antonio Banderas et d’Oscar Martínez, qui jouent la séduction vulgaire contre l’élégance cultivée, tout en campant l’un et l’autre de vrais roublards. Le charme, aussi, de Penélope Cruz, qui incarne avec une autorité savamment dosée la réalisatrice montée sur les grands chevaux de son génie. Caricatural et pourtant subtil tant il se nourrit de contradictions, ce personnage définit bien le style du film, qui ose le grotesque comme la sophistication et met de l’ambition dans la farce. La qualité de l’interprétation va de pair avec la recherche de la mise en scène. Les plans, rigoureusement architecturés, créent un effet d’écho spectaculaire avec le décor choisi : un immense bâtiment aux lignes géométriques où le trio répète avant le tournage. Autour de ces énormes ego se déploie ainsi, à travers des espaces d’un gigantisme prétentieux, une vision d’artiste envahissante, boursoufflée. Cette expressivité visuelle fait de Compétition officielle une brillante comédie conceptuelle, qui rappelle The Square, de Ruben Östlund (Palme d’or en 2017). C’est dire si les idées abondent, débordent parfois. On en retient un regard cinglant et désopilant sur un cinéma d’auteur asséché par les intentions, les discours, les élucubrations narcissiques. Le film qui se prépare est produit par un magnat de l’industrie pharmaceutique qui espère, en finançant cette création, accéder à une nouvelle grandeur, à une réelle noblesse. Il réunit donc les meilleurs talents et vise mathématiquement le meilleur résultat… Ce cinéma qui se doit d’être compétitif et d’assurer tous les honneurs, les deux réalisateurs l’observent non sans inquiétude. Mais leur humour est un excellent remède contre la vanité. Et la précision de leur regard a l’effet d’une frappe revigorante.
Année : 2021
Avec : Antonio Banderas, Irene Escolar, José Luis, Juan Grandinetti, Koldo Olabarri, Manolo Solo, Martínez Oscar, Melina Matthews, Nagore Aranburu, Penélope Cruz, Pilar Castro, Sue Flack
Télévision : 25 décembre 2022 à 22:48-00:39 sur Canal +
film : comédie
Milliardaire, Iván Torres semble avoir atteint tous ses objectifs dans le monde des affaires. Pour autant, l'homme n'est pas comblé et il souhaite passer à la postérité en finançant la réalisation d'un film qui marquera les mémoires. Pour ce faire, il s'entoure de pontes du septième art. Conseillé par l'extravagante Lola, Iván confie la réalisation de l'œuvre à un aussi brillant que fantasque réalisateur, Humberto. En tête d'affiche du casting, le très charismatique (et un brin têtu) Félix, dont le talent n'est plus à démontrer. Dès le lancement du projet, la relation entre ces deux égos surdimensionnés fait des étincelles... - Critique : Et si, maintenant que le Festival de Cannes est fini, on se moquait des gens de cinéma ? Les réalisateurs qui prennent leur microcosme pour cible ne manquent pas — on se souvient encore d’un Robert Altman mordant, croquant Hollywood dans The Player, il y a trente ans. Nouveaux maîtres de la satire, les duettistes argentins qui avaient imaginé le retour risible d’un Prix Nobel de littérature dans son village (Citoyen d’honneur, 2017) trouvent cette fois un ton inédit pour s’amuser des belles âmes artistiques du grand écran. Un trio leur suffit. Une cinéaste cérébrale et célébrée dès son premier film, La Pluie inversée, soumet à sa méthode fantasque et volontiers sadique deux acteurs stars. L’un est un playboy très showbiz, l’autre un puriste formé au théâtre. Entre eux, la compétition est officielle. Les coups vont pleuvoir, vaches et drôles. Mais un charme irrésistible s’en mêle. Celui d’Antonio Banderas et d’Oscar Martínez, qui jouent la séduction vulgaire contre l’élégance cultivée, tout en campant l’un et l’autre de vrais roublards. Le charme, aussi, de Penélope Cruz, qui incarne avec une autorité savamment dosée la réalisatrice montée sur les grands chevaux de son génie. Caricatural et pourtant subtil tant il se nourrit de contradictions, ce personnage définit bien le style du film, qui ose le grotesque comme la sophistication et met de l’ambition dans la farce. La qualité de l’interprétation va de pair avec la recherche de la mise en scène. Les plans, rigoureusement architecturés, créent un effet d’écho spectaculaire avec le décor choisi : un immense bâtiment aux lignes géométriques où le trio répète avant le tournage. Autour de ces énormes ego se déploie ainsi, à travers des espaces d’un gigantisme prétentieux, une vision d’artiste envahissante, boursoufflée. Cette expressivité visuelle fait de Compétition officielle une brillante comédie conceptuelle, qui rappelle The Square, de Ruben Östlund (Palme d’or en 2017). C’est dire si les idées abondent, débordent parfois. On en retient un regard cinglant et désopilant sur un cinéma d’auteur asséché par les intentions, les discours, les élucubrations narcissiques. Le film qui se prépare est produit par un magnat de l’industrie pharmaceutique qui espère, en finançant cette création, accéder à une nouvelle grandeur, à une réelle noblesse. Il réunit donc les meilleurs talents et vise mathématiquement le meilleur résultat… Ce cinéma qui se doit d’être compétitif et d’assurer tous les honneurs, les deux réalisateurs l’observent non sans inquiétude. Mais leur humour est un excellent remède contre la vanité. Et la précision de leur regard a l’effet d’une frappe revigorante.
Année : 2021
De : Cohn Mariano
Avec : Antonio Banderas, Irene Escolar, José Luis, Juan Grandinetti, Koldo Olabarri, Manolo Solo, Martínez Oscar, Melina Matthews, Nagore Aranburu, Penélope Cruz, Pilar Castro, Sue Flack
DVD/Blu-ray : 2 novembre 2022
Editeur : Wild Side Video
Année : 2021
De : Mariano Cohn, Gastón Duprat
Avec : Penélope Cruz, Antonio Banderas, Oscar Martínez, José Luis Gómez, Manolo Solo, Nagore Aranburu, Irene Escolar, Pilar Castro
DVD/Blu-ray : 2 novembre 2022
Editeur : Wild Side Video
Année : 2021
De : Mariano Cohn, Gastón Duprat
Avec : Penélope Cruz, Antonio Banderas, Oscar Martínez, José Luis Gómez, Manolo Solo, Nagore Aranburu, Irene Escolar, Pilar Castro
Prime Video : 28 mai 2022
1878, près de Santander. Marcelino Sanz, un paléontologue amateur, découvre dans une grotte des peintures rupestres. Il contacte les spécialistes Juan Vilanova et Émile Cartailhac afin qu'ils viennent étudier les oeuvres peintes. Mais sa découverte agite le clergé.
De : Hugh Hudson, Gabriel Arias-Salgado, Laura Bickford, Lucrecia Botin, Ricardo Marco Budé, Cristóbal García, Axel Kuschevatzky, Alexandra Lebret, Álvaro Longoria, Andy Paterson
Avec : Antonio Banderas, Golshifteh Farahani, Rupert Everett, Pierre Niney, Henry Goodman, Tristán Ulloa, Irene Escolar
Netflix : 1er septembre 2018
Un physicien s'appuie sur les lois de la thermodynamique pour décrire les relations amoureuses, mais ses théories s'avèrent fausses concernant sa propre vie sentimentale.
De : Mateo Gil
Avec : Vito Sanz, Berta Vázquez, Chino Darín, Vicky Luengo, Andrea Ros, Irene Escolar, José María Pou, Daniel Sánchez Arévalo