Gene Jones : passages TV

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Après-demain
 

To the Moon

Télévision : mardi 25 mars à 17:04-19:13 sur Canal +

film : comédie romantique

Dans les années 1960, alors que la course à la conquête spatiale fait rage entre les Etats-Unis et l'URSS. Chargée de redorer l'image de la NASA auprès du public, l'étincelante Kelly Jones, experte en marketing, va perturber la tâche déjà complexe du directeur de la mission, Cole Davis, qui voit son recrutement d'un bien mauvais oeil. La Maison-Blanche estime que le projet Apollo 11, dont l'objectif est d'envoyer un équipage sur la Lune, est bien trop important pour se permettre d'envisager un échec, et Kelly Jones se voit donc confier la réalisation d'un faux alunissage, en guise de plan B. Le compte à rebours est alors véritablement lancé... - Critique : Prolifique créateur de séries télé, Greg Berlanti s’était déjà illustré au cinéma avec des romances queer pop et enlevées (Le Club des cœurs brisés, Love Simon). Aujourd’hui, le voilà qui donne un nouveau souffle à la comédie hollywoodienne, en revisitant, sur le mode vintage et satirique, les coulisses des premiers pas de l’homme sur la Lune. En 1969, la guerre du Vietnam fait rage. Au Centre spatial Kennedy, où se prépare la mission Apollo 11, les catastrophes s’accumulent, entre simulations ratées et incendies intempestifs, au grand dam de son directeur, Cole Davis (Channing Tatum). Comment renflouer les caisses de la Nasa et redonner aux Américain le goût de la conquête spatiale ? C’est là qu’intervient la redoutable et irrésistible Kelly Jones (Scarlett Johansson, tout en ongles laqués et tailleurs rose bonbon). Recrutée par un mystérieux agent gouvernemental (Woody Harrelson), cette pro de la publicité au passé trouble se voit chargée de « vendre » la lune. Début d’une hilarante opération commerciale, où il s’agit de marketer la course aux étoiles comme une bouteille de ketchup, en forçant les astronautes à servir de têtes de gondole, et de convaincre l’intègre Cole que la fin justifie les moyens. On s’en doute très vite : à force de se chercher, ces deux-là vont se trouver. Mais les choses se corsent lorsqu’on exige que Kelly tourne un faux alunissage, en studio, au cas où la vraie mission échoue… Romantisme et complotisme Le réalisateur s’amuse comme un fou – et nous aussi. En jouant, avec beaucoup d’inventivité et d’humour, sur la célèbre « fake news » selon laquelle l’homme n’aurait jamais mis les pieds sur la Lune, il orchestre un enthousiasmant jeu de trompe-l’œil, où, dans l’arène du centre spatial, s’affrontent la réalité historique et l’illusion. Pendant que Neil Armstrong et ses camarades s’élancent vers l’espace, se fabrique, au sol, un mensonge en images, dont le tournage donne lieu à des scènes épiques (les astronautes emmêlés dans leurs câbles, le réalisateur, fatiguant de suffisance, qui fait dire à Kelly : « On aurait dû embaucher Kubrick »…). Derrière l’élégant vernis rétro, se tisse une réflexion très contemporaine sur les ressorts du complotisme, l’obsession et les ambiguïtés de la preuve par l’image. Mais jamais la démonstration ne vire au cynisme. Romantique à souhait, le film assume finalement l’idéalisme et la naïveté d’une fable à la Capra. Où l’on découvre que les chats noirs ne portent pas forcément la poisse. Et que même les méchants peuvent se retirer en dansant sous les étoiles, comme dans une comédie musicale.

Année : 2024

De : Greg Berlanti

Avec : Anna Garcia, Channing Tatum, Christian Zuber, Colin Woodell, Dillenburg Nick, Donald Watkins, Gene Jones, Jim Rash, Noah Robbins, Ray Romano, Scarlett Johansson, Woody Harrelson

Mercredi dernier
 

To the Moon

Télévision : 19 mars à 14:53-17:01 sur Canal +

film : comédie romantique

Dans les années 1960, alors que la course à la conquête spatiale fait rage entre les Etats-Unis et l'URSS. Chargée de redorer l'image de la NASA auprès du public, l'étincelante Kelly Jones, experte en marketing, va perturber la tâche déjà complexe du directeur de la mission, Cole Davis, qui voit son recrutement d'un bien mauvais oeil. La Maison-Blanche estime que le projet Apollo 11, dont l'objectif est d'envoyer un équipage sur la Lune, est bien trop important pour se permettre d'envisager un échec, et Kelly Jones se voit donc confier la réalisation d'un faux alunissage, en guise de plan B. Le compte à rebours est alors véritablement lancé... - Critique : Prolifique créateur de séries télé, Greg Berlanti s’était déjà illustré au cinéma avec des romances queer pop et enlevées (Le Club des cœurs brisés, Love Simon). Aujourd’hui, le voilà qui donne un nouveau souffle à la comédie hollywoodienne, en revisitant, sur le mode vintage et satirique, les coulisses des premiers pas de l’homme sur la Lune. En 1969, la guerre du Vietnam fait rage. Au Centre spatial Kennedy, où se prépare la mission Apollo 11, les catastrophes s’accumulent, entre simulations ratées et incendies intempestifs, au grand dam de son directeur, Cole Davis (Channing Tatum). Comment renflouer les caisses de la Nasa et redonner aux Américain le goût de la conquête spatiale ? C’est là qu’intervient la redoutable et irrésistible Kelly Jones (Scarlett Johansson, tout en ongles laqués et tailleurs rose bonbon). Recrutée par un mystérieux agent gouvernemental (Woody Harrelson), cette pro de la publicité au passé trouble se voit chargée de « vendre » la lune. Début d’une hilarante opération commerciale, où il s’agit de marketer la course aux étoiles comme une bouteille de ketchup, en forçant les astronautes à servir de têtes de gondole, et de convaincre l’intègre Cole que la fin justifie les moyens. On s’en doute très vite : à force de se chercher, ces deux-là vont se trouver. Mais les choses se corsent lorsqu’on exige que Kelly tourne un faux alunissage, en studio, au cas où la vraie mission échoue… Romantisme et complotisme Le réalisateur s’amuse comme un fou – et nous aussi. En jouant, avec beaucoup d’inventivité et d’humour, sur la célèbre « fake news » selon laquelle l’homme n’aurait jamais mis les pieds sur la Lune, il orchestre un enthousiasmant jeu de trompe-l’œil, où, dans l’arène du centre spatial, s’affrontent la réalité historique et l’illusion. Pendant que Neil Armstrong et ses camarades s’élancent vers l’espace, se fabrique, au sol, un mensonge en images, dont le tournage donne lieu à des scènes épiques (les astronautes emmêlés dans leurs câbles, le réalisateur, fatiguant de suffisance, qui fait dire à Kelly : « On aurait dû embaucher Kubrick »…). Derrière l’élégant vernis rétro, se tisse une réflexion très contemporaine sur les ressorts du complotisme, l’obsession et les ambiguïtés de la preuve par l’image. Mais jamais la démonstration ne vire au cynisme. Romantique à souhait, le film assume finalement l’idéalisme et la naïveté d’une fable à la Capra. Où l’on découvre que les chats noirs ne portent pas forcément la poisse. Et que même les méchants peuvent se retirer en dansant sous les étoiles, comme dans une comédie musicale.

Année : 2024

De : Greg Berlanti

Avec : Anna Garcia, Channing Tatum, Christian Zuber, Colin Woodell, Dillenburg Nick, Donald Watkins, Gene Jones, Jim Rash, Noah Robbins, Ray Romano, Scarlett Johansson, Woody Harrelson

Mercredi dernier
 

To the Moon

Télévision : 19 mars à 14:52-17:00 sur Canal +

film : comédie romantique

Dans les années 1960, alors que la course à la conquête spatiale fait rage entre les Etats-Unis et l'URSS. Chargée de redorer l'image de la NASA auprès du public, l'étincelante Kelly Jones, experte en marketing, va perturber la tâche déjà complexe du directeur de la mission, Cole Davis, qui voit son recrutement d'un bien mauvais oeil. La Maison-Blanche estime que le projet Apollo 11, dont l'objectif est d'envoyer un équipage sur la Lune, est bien trop important pour se permettre d'envisager un échec, et Kelly Jones se voit donc confier la réalisation d'un faux alunissage, en guise de plan B. Le compte à rebours est alors véritablement lancé... - Critique : Prolifique créateur de séries télé, Greg Berlanti s’était déjà illustré au cinéma avec des romances queer pop et enlevées (Le Club des cœurs brisés, Love Simon). Aujourd’hui, le voilà qui donne un nouveau souffle à la comédie hollywoodienne, en revisitant, sur le mode vintage et satirique, les coulisses des premiers pas de l’homme sur la Lune. En 1969, la guerre du Vietnam fait rage. Au Centre spatial Kennedy, où se prépare la mission Apollo 11, les catastrophes s’accumulent, entre simulations ratées et incendies intempestifs, au grand dam de son directeur, Cole Davis (Channing Tatum). Comment renflouer les caisses de la Nasa et redonner aux Américain le goût de la conquête spatiale ? C’est là qu’intervient la redoutable et irrésistible Kelly Jones (Scarlett Johansson, tout en ongles laqués et tailleurs rose bonbon). Recrutée par un mystérieux agent gouvernemental (Woody Harrelson), cette pro de la publicité au passé trouble se voit chargée de « vendre » la lune. Début d’une hilarante opération commerciale, où il s’agit de marketer la course aux étoiles comme une bouteille de ketchup, en forçant les astronautes à servir de têtes de gondole, et de convaincre l’intègre Cole que la fin justifie les moyens. On s’en doute très vite : à force de se chercher, ces deux-là vont se trouver. Mais les choses se corsent lorsqu’on exige que Kelly tourne un faux alunissage, en studio, au cas où la vraie mission échoue… Romantisme et complotisme Le réalisateur s’amuse comme un fou – et nous aussi. En jouant, avec beaucoup d’inventivité et d’humour, sur la célèbre « fake news » selon laquelle l’homme n’aurait jamais mis les pieds sur la Lune, il orchestre un enthousiasmant jeu de trompe-l’œil, où, dans l’arène du centre spatial, s’affrontent la réalité historique et l’illusion. Pendant que Neil Armstrong et ses camarades s’élancent vers l’espace, se fabrique, au sol, un mensonge en images, dont le tournage donne lieu à des scènes épiques (les astronautes emmêlés dans leurs câbles, le réalisateur, fatiguant de suffisance, qui fait dire à Kelly : « On aurait dû embaucher Kubrick »…). Derrière l’élégant vernis rétro, se tisse une réflexion très contemporaine sur les ressorts du complotisme, l’obsession et les ambiguïtés de la preuve par l’image. Mais jamais la démonstration ne vire au cynisme. Romantique à souhait, le film assume finalement l’idéalisme et la naïveté d’une fable à la Capra. Où l’on découvre que les chats noirs ne portent pas forcément la poisse. Et que même les méchants peuvent se retirer en dansant sous les étoiles, comme dans une comédie musicale.

Année : 2024

De : Greg Berlanti

Avec : Anna Garcia, Channing Tatum, Christian Zuber, Colin Woodell, Dillenburg Nick, Donald Watkins, Gene Jones, Jim Rash, Noah Robbins, Ray Romano, Scarlett Johansson, Woody Harrelson

Lundi dernier
 

To the Moon

Télévision : 17 mars à 23:22-01:30 sur Canal +

film : comédie romantique

Dans les années 1960, alors que la course à la conquête spatiale fait rage entre les Etats-Unis et l'URSS. Chargée de redorer l'image de la NASA auprès du public, l'étincelante Kelly Jones, experte en marketing, va perturber la tâche déjà complexe du directeur de la mission, Cole Davis, qui voit son recrutement d'un bien mauvais oeil. La Maison-Blanche estime que le projet Apollo 11, dont l'objectif est d'envoyer un équipage sur la Lune, est bien trop important pour se permettre d'envisager un échec, et Kelly Jones se voit donc confier la réalisation d'un faux alunissage, en guise de plan B. Le compte à rebours est alors véritablement lancé... - Critique : Prolifique créateur de séries télé, Greg Berlanti s’était déjà illustré au cinéma avec des romances queer pop et enlevées (Le Club des cœurs brisés, Love Simon). Aujourd’hui, le voilà qui donne un nouveau souffle à la comédie hollywoodienne, en revisitant, sur le mode vintage et satirique, les coulisses des premiers pas de l’homme sur la Lune. En 1969, la guerre du Vietnam fait rage. Au Centre spatial Kennedy, où se prépare la mission Apollo 11, les catastrophes s’accumulent, entre simulations ratées et incendies intempestifs, au grand dam de son directeur, Cole Davis (Channing Tatum). Comment renflouer les caisses de la Nasa et redonner aux Américain le goût de la conquête spatiale ? C’est là qu’intervient la redoutable et irrésistible Kelly Jones (Scarlett Johansson, tout en ongles laqués et tailleurs rose bonbon). Recrutée par un mystérieux agent gouvernemental (Woody Harrelson), cette pro de la publicité au passé trouble se voit chargée de « vendre » la lune. Début d’une hilarante opération commerciale, où il s’agit de marketer la course aux étoiles comme une bouteille de ketchup, en forçant les astronautes à servir de têtes de gondole, et de convaincre l’intègre Cole que la fin justifie les moyens. On s’en doute très vite : à force de se chercher, ces deux-là vont se trouver. Mais les choses se corsent lorsqu’on exige que Kelly tourne un faux alunissage, en studio, au cas où la vraie mission échoue… Romantisme et complotisme Le réalisateur s’amuse comme un fou – et nous aussi. En jouant, avec beaucoup d’inventivité et d’humour, sur la célèbre « fake news » selon laquelle l’homme n’aurait jamais mis les pieds sur la Lune, il orchestre un enthousiasmant jeu de trompe-l’œil, où, dans l’arène du centre spatial, s’affrontent la réalité historique et l’illusion. Pendant que Neil Armstrong et ses camarades s’élancent vers l’espace, se fabrique, au sol, un mensonge en images, dont le tournage donne lieu à des scènes épiques (les astronautes emmêlés dans leurs câbles, le réalisateur, fatiguant de suffisance, qui fait dire à Kelly : « On aurait dû embaucher Kubrick »…). Derrière l’élégant vernis rétro, se tisse une réflexion très contemporaine sur les ressorts du complotisme, l’obsession et les ambiguïtés de la preuve par l’image. Mais jamais la démonstration ne vire au cynisme. Romantique à souhait, le film assume finalement l’idéalisme et la naïveté d’une fable à la Capra. Où l’on découvre que les chats noirs ne portent pas forcément la poisse. Et que même les méchants peuvent se retirer en dansant sous les étoiles, comme dans une comédie musicale.

Année : 2024

De : Greg Berlanti

Avec : Anna Garcia, Channing Tatum, Christian Zuber, Colin Woodell, Dillenburg Nick, Donald Watkins, Gene Jones, Jim Rash, Noah Robbins, Ray Romano, Scarlett Johansson, Woody Harrelson

Lundi dernier
 

To the Moon

Télévision : 17 mars à 23:21-01:30 sur Canal +

film : comédie romantique

Dans les années 1960, alors que la course à la conquête spatiale fait rage entre les Etats-Unis et l'URSS. Chargée de redorer l'image de la NASA auprès du public, l'étincelante Kelly Jones, experte en marketing, va perturber la tâche déjà complexe du directeur de la mission, Cole Davis, qui voit son recrutement d'un bien mauvais oeil. La Maison-Blanche estime que le projet Apollo 11, dont l'objectif est d'envoyer un équipage sur la Lune, est bien trop important pour se permettre d'envisager un échec, et Kelly Jones se voit donc confier la réalisation d'un faux alunissage, en guise de plan B. Le compte à rebours est alors véritablement lancé... - Critique : Prolifique créateur de séries télé, Greg Berlanti s’était déjà illustré au cinéma avec des romances queer pop et enlevées (Le Club des cœurs brisés, Love Simon). Aujourd’hui, le voilà qui donne un nouveau souffle à la comédie hollywoodienne, en revisitant, sur le mode vintage et satirique, les coulisses des premiers pas de l’homme sur la Lune. En 1969, la guerre du Vietnam fait rage. Au Centre spatial Kennedy, où se prépare la mission Apollo 11, les catastrophes s’accumulent, entre simulations ratées et incendies intempestifs, au grand dam de son directeur, Cole Davis (Channing Tatum). Comment renflouer les caisses de la Nasa et redonner aux Américain le goût de la conquête spatiale ? C’est là qu’intervient la redoutable et irrésistible Kelly Jones (Scarlett Johansson, tout en ongles laqués et tailleurs rose bonbon). Recrutée par un mystérieux agent gouvernemental (Woody Harrelson), cette pro de la publicité au passé trouble se voit chargée de « vendre » la lune. Début d’une hilarante opération commerciale, où il s’agit de marketer la course aux étoiles comme une bouteille de ketchup, en forçant les astronautes à servir de têtes de gondole, et de convaincre l’intègre Cole que la fin justifie les moyens. On s’en doute très vite : à force de se chercher, ces deux-là vont se trouver. Mais les choses se corsent lorsqu’on exige que Kelly tourne un faux alunissage, en studio, au cas où la vraie mission échoue… Romantisme et complotisme Le réalisateur s’amuse comme un fou – et nous aussi. En jouant, avec beaucoup d’inventivité et d’humour, sur la célèbre « fake news » selon laquelle l’homme n’aurait jamais mis les pieds sur la Lune, il orchestre un enthousiasmant jeu de trompe-l’œil, où, dans l’arène du centre spatial, s’affrontent la réalité historique et l’illusion. Pendant que Neil Armstrong et ses camarades s’élancent vers l’espace, se fabrique, au sol, un mensonge en images, dont le tournage donne lieu à des scènes épiques (les astronautes emmêlés dans leurs câbles, le réalisateur, fatiguant de suffisance, qui fait dire à Kelly : « On aurait dû embaucher Kubrick »…). Derrière l’élégant vernis rétro, se tisse une réflexion très contemporaine sur les ressorts du complotisme, l’obsession et les ambiguïtés de la preuve par l’image. Mais jamais la démonstration ne vire au cynisme. Romantique à souhait, le film assume finalement l’idéalisme et la naïveté d’une fable à la Capra. Où l’on découvre que les chats noirs ne portent pas forcément la poisse. Et que même les méchants peuvent se retirer en dansant sous les étoiles, comme dans une comédie musicale. Regardez l’avis de nos critiques en vidéo

Année : 2024

De : Greg Berlanti

Avec : Anna Garcia, Channing Tatum, Christian Zuber, Colin Woodell, Dillenburg Nick, Donald Watkins, Gene Jones, Jim Rash, Noah Robbins, Ray Romano, Scarlett Johansson, Woody Harrelson

Récemment en mars
 

To the Moon

Télévision : 14 mars à 17:05-19:13 sur Canal +

film : comédie romantique

Dans les années 1960, alors que la course à la conquête spatiale fait rage entre les Etats-Unis et l'URSS. Chargée de redorer l'image de la NASA auprès du public, l'étincelante Kelly Jones, experte en marketing, va perturber la tâche déjà complexe du directeur de la mission, Cole Davis, qui voit son recrutement d'un bien mauvais oeil. La Maison-Blanche estime que le projet Apollo 11, dont l'objectif est d'envoyer un équipage sur la Lune, est bien trop important pour se permettre d'envisager un échec, et Kelly Jones se voit donc confier la réalisation d'un faux alunissage, en guise de plan B. Le compte à rebours est alors véritablement lancé... - Critique : Prolifique créateur de séries télé, Greg Berlanti s’était déjà illustré au cinéma avec des romances queer pop et enlevées (Le Club des cœurs brisés, Love Simon). Aujourd’hui, le voilà qui donne un nouveau souffle à la comédie hollywoodienne, en revisitant, sur le mode vintage et satirique, les coulisses des premiers pas de l’homme sur la Lune. En 1969, la guerre du Vietnam fait rage. Au Centre spatial Kennedy, où se prépare la mission Apollo 11, les catastrophes s’accumulent, entre simulations ratées et incendies intempestifs, au grand dam de son directeur, Cole Davis (Channing Tatum). Comment renflouer les caisses de la Nasa et redonner aux Américain le goût de la conquête spatiale ? C’est là qu’intervient la redoutable et irrésistible Kelly Jones (Scarlett Johansson, tout en ongles laqués et tailleurs rose bonbon). Recrutée par un mystérieux agent gouvernemental (Woody Harrelson), cette pro de la publicité au passé trouble se voit chargée de « vendre » la lune. Début d’une hilarante opération commerciale, où il s’agit de marketer la course aux étoiles comme une bouteille de ketchup, en forçant les astronautes à servir de têtes de gondole, et de convaincre l’intègre Cole que la fin justifie les moyens. On s’en doute très vite : à force de se chercher, ces deux-là vont se trouver. Mais les choses se corsent lorsqu’on exige que Kelly tourne un faux alunissage, en studio, au cas où la vraie mission échoue… Romantisme et complotisme Le réalisateur s’amuse comme un fou – et nous aussi. En jouant, avec beaucoup d’inventivité et d’humour, sur la célèbre « fake news » selon laquelle l’homme n’aurait jamais mis les pieds sur la Lune, il orchestre un enthousiasmant jeu de trompe-l’œil, où, dans l’arène du centre spatial, s’affrontent la réalité historique et l’illusion. Pendant que Neil Armstrong et ses camarades s’élancent vers l’espace, se fabrique, au sol, un mensonge en images, dont le tournage donne lieu à des scènes épiques (les astronautes emmêlés dans leurs câbles, le réalisateur, fatiguant de suffisance, qui fait dire à Kelly : « On aurait dû embaucher Kubrick »…). Derrière l’élégant vernis rétro, se tisse une réflexion très contemporaine sur les ressorts du complotisme, l’obsession et les ambiguïtés de la preuve par l’image. Mais jamais la démonstration ne vire au cynisme. Romantique à souhait, le film assume finalement l’idéalisme et la naïveté d’une fable à la Capra. Où l’on découvre que les chats noirs ne portent pas forcément la poisse. Et que même les méchants peuvent se retirer en dansant sous les étoiles, comme dans une comédie musicale. Regardez l’avis de nos critiques en vidéo

Année : 2024

De : Greg Berlanti

Avec : Anna Garcia, Channing Tatum, Christian Zuber, Colin Woodell, Dillenburg Nick, Donald Watkins, Gene Jones, Jim Rash, Noah Robbins, Ray Romano, Scarlett Johansson, Woody Harrelson

Récemment en mars
 

To the Moon

Télévision : 11 mars à 21:10-23:20 sur Canal +

film : comédie romantique

Dans les années 1960, alors que la course à la conquête spatiale fait rage entre les Etats-Unis et l'URSS. Chargée de redorer l'image de la NASA auprès du public, l'étincelante Kelly Jones, experte en marketing, va perturber la tâche déjà complexe du directeur de la mission, Cole Davis, qui voit son recrutement d'un bien mauvais oeil. La Maison-Blanche estime que le projet Apollo 11, dont l'objectif est d'envoyer un équipage sur la Lune, est bien trop important pour se permettre d'envisager un échec, et Kelly Jones se voit donc confier la réalisation d'un faux alunissage, en guise de plan B. Le compte à rebours est alors véritablement lancé...

Année : 2024

De : Greg Berlanti

Avec : Anna Garcia, Channing Tatum, Christian Zuber, Colin Woodell, Dillenburg Nick, Donald Watkins, Gene Jones, Jim Rash, Noah Robbins, Ray Romano, Scarlett Johansson, Woody Harrelson

Récemment en mars
 

To the Moon

Télévision : 11 mars à 21:10-23:19 sur Canal +

film : comédie romantique

Dans les années 1960, alors que la course à la conquête spatiale fait rage entre les Etats-Unis et l'URSS. Chargée de redorer l'image de la NASA auprès du public, l'étincelante Kelly Jones, experte en marketing, va perturber la tâche déjà complexe du directeur de la mission, Cole Davis, qui voit son recrutement d'un bien mauvais oeil. La Maison-Blanche estime que le projet Apollo 11, dont l'objectif est d'envoyer un équipage sur la Lune, est bien trop important pour se permettre d'envisager un échec, et Kelly Jones se voit donc confier la réalisation d'un faux alunissage, en guise de plan B. Le compte à rebours est alors véritablement lancé... - Critique : Prolifique créateur de séries télé, Greg Berlanti s’était déjà illustré au cinéma avec des romances queer pop et enlevées (Le Club des cœurs brisés, Love Simon). Aujourd’hui, le voilà qui donne un nouveau souffle à la comédie hollywoodienne, en revisitant, sur le mode vintage et satirique, les coulisses des premiers pas de l’homme sur la Lune. En 1969, la guerre du Vietnam fait rage. Au Centre spatial Kennedy, où se prépare la mission Apollo 11, les catastrophes s’accumulent, entre simulations ratées et incendies intempestifs, au grand dam de son directeur, Cole Davis (Channing Tatum). Comment renflouer les caisses de la Nasa et redonner aux Américain le goût de la conquête spatiale ? C’est là qu’intervient la redoutable et irrésistible Kelly Jones (Scarlett Johansson, tout en ongles laqués et tailleurs rose bonbon). Recrutée par un mystérieux agent gouvernemental (Woody Harrelson), cette pro de la publicité au passé trouble se voit chargée de « vendre » la lune. Début d’une hilarante opération commerciale, où il s’agit de marketer la course aux étoiles comme une bouteille de ketchup, en forçant les astronautes à servir de têtes de gondole, et de convaincre l’intègre Cole que la fin justifie les moyens. On s’en doute très vite : à force de se chercher, ces deux-là vont se trouver. Mais les choses se corsent lorsqu’on exige que Kelly tourne un faux alunissage, en studio, au cas où la vraie mission échoue… Romantisme et complotisme Le réalisateur s’amuse comme un fou – et nous aussi. En jouant, avec beaucoup d’inventivité et d’humour, sur la célèbre « fake news » selon laquelle l’homme n’aurait jamais mis les pieds sur la Lune, il orchestre un enthousiasmant jeu de trompe-l’œil, où, dans l’arène du centre spatial, s’affrontent la réalité historique et l’illusion. Pendant que Neil Armstrong et ses camarades s’élancent vers l’espace, se fabrique, au sol, un mensonge en images, dont le tournage donne lieu à des scènes épiques (les astronautes emmêlés dans leurs câbles, le réalisateur, fatiguant de suffisance, qui fait dire à Kelly : « On aurait dû embaucher Kubrick »…). Derrière l’élégant vernis rétro, se tisse une réflexion très contemporaine sur les ressorts du complotisme, l’obsession et les ambiguïtés de la preuve par l’image. Mais jamais la démonstration ne vire au cynisme. Romantique à souhait, le film assume finalement l’idéalisme et la naïveté d’une fable à la Capra. Où l’on découvre que les chats noirs ne portent pas forcément la poisse. Et que même les méchants peuvent se retirer en dansant sous les étoiles, comme dans une comédie musicale. Regardez l’avis de nos critiques en vidéo

Année : 2024

De : Greg Berlanti

Avec : Anna Garcia, Channing Tatum, Christian Zuber, Colin Woodell, Dillenburg Nick, Donald Watkins, Gene Jones, Jim Rash, Noah Robbins, Ray Romano, Scarlett Johansson, Woody Harrelson