Schwiers Ellen : passages TV

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Récemment en octobre
 

Le tonnerre de Dieu

Télévision : 14 octobre à 13:35-15:20 sur Arte

film : comédie dramatique

Léandre Brassac, vétérinaire misanthrope et alcoolique, vit avec sa femme, Marie, dans une grande ferme un peu triste. Un soir, il recueille une jeune prostituée, Simone. N'ayant pu donner d'enfant à Léandre, son épouse ferme les yeux sur ce caprice, malgré son agacement et ses doutes. Mais, contre toute attente, elle noue des rapports amicaux avec Simone, qui exerce d'ailleurs une influence bénéfique sur son couple. Quand le "protecteur" de celle-ci pointe le bout de son nez, Léandre trouve des arguments suffisants pour le décourager. Désormais en sécurité, Simone demeure chez les Brassac et ne tarde pas à s'éprendre de Roger, le voisin, tout en redoutant la colère de Léandre... - Critique : Quatre ans après Un taxi pour Tobrouk (1961), son œuvre la plus connue, Denys de La Patellière adapte, avec un titre ronflant, le roman Qui m’emporte, de Bernard Clavel. En roue libre, Jean Gabin campe un vétérinaire alcoolique, recueillant chez lui, à la campagne, une jeune prostituée du quai de la Fosse, zone portuaire de Nantes (Michèle Mercier, héroïne d’Angélique, marquise des anges, sorti l’année précédente). Le réalisateur distille une certaine étrangeté en déployant un univers de conte de fées : un château avec parc et douves, où il ne se passe (presque) rien. Succès commercial en son temps, Le Tonnerre de Dieu avait été vu comme une trahison par l’auteur du livre d’origine. Contrairement aux apparences, ce n’est pas Gabin qui tire la couverture à lui, mais plutôt le dialoguiste Pascal Jardin, qui transforme les interprètes en machines à débiter les « bons mots » — du sous-Michel Audiard. Lesquels donnent à entendre toute la misogynie de l’époque.

Année : 1965

Avec : Daniel Ceccaldi, Emma Danieli, Georges Géret, Hélène Tossy, Jean Gabin, Lilli Palmer, Louis Arbessier, Michèle Mercier, Nino Vingelli, Paul Frankeur, Robert Hossein, Schwiers Ellen

Récemment en octobre
 

Le tonnerre de Dieu

Télévision : 7 octobre à 13:35-15:00 sur Arte

film : comédie dramatique

Léandre Brassac, vétérinaire misanthrope et alcoolique, vit avec sa femme, Marie, dans une grande ferme un peu triste. Un soir, il recueille une jeune prostituée, Simone. N'ayant pu donner d'enfant à Léandre, son épouse ferme les yeux sur ce caprice, malgré son agacement et ses doutes. Mais, contre toute attente, elle noue des rapports amicaux avec Simone, qui exerce d'ailleurs une influence bénéfique sur son couple. Quand le "protecteur" de celle-ci pointe le bout de son nez, Léandre trouve des arguments suffisants pour le décourager. Désormais en sécurité, Simone demeure chez les Brassac et ne tarde pas à s'éprendre de Roger, le voisin, tout en redoutant la colère de Léandre... - Critique : Quatre ans après Un taxi pour Tobrouk (1961), son œuvre la plus connue, Denys de La Patellière adapte, avec un titre ronflant, le roman Qui m’emporte, de Bernard Clavel. En roue libre, Jean Gabin campe un vétérinaire alcoolique, recueillant chez lui, à la campagne, une jeune prostituée du quai de la Fosse, zone portuaire de Nantes (Michèle Mercier, héroïne d’Angélique, marquise des anges, sorti l’année précédente). Le réalisateur distille une certaine étrangeté en déployant un univers de conte de fées : un château avec parc et douves, où il ne se passe (presque) rien. Succès commercial en son temps, Le Tonnerre de Dieu avait été vu comme une trahison par l’auteur du livre d’origine. Contrairement aux apparences, ce n’est pas Gabin qui tire la couverture à lui, mais plutôt le dialoguiste Pascal Jardin, qui transforme les interprètes en machines à débiter les « bons mots » — du sous-Michel Audiard. Lesquels donnent à entendre toute la misogynie de l’époque.

Année : 1965

Avec : Daniel Ceccaldi, Emma Danieli, Georges Géret, Hélène Tossy, Jean Gabin, Lilli Palmer, Louis Arbessier, Michèle Mercier, Nino Vingelli, Paul Frankeur, Robert Hossein, Schwiers Ellen

Récemment en septembre
 

Le tonnerre de Dieu

Télévision : 23 septembre à 20:55-22:25 sur Arte

film : comédie dramatique

Léandre Brassac, vétérinaire misanthrope et alcoolique, vit avec sa femme, Marie, dans une grande ferme un peu triste. Un soir, il recueille une jeune prostituée, Simone. N'ayant pu donner d'enfant à Léandre, son épouse ferme les yeux sur ce caprice, malgré son agacement et ses doutes. Mais, contre toute attente, elle noue des rapports amicaux avec Simone, qui exerce d'ailleurs une influence bénéfique sur son couple. Quand le "protecteur" de celle-ci pointe le bout de son nez, Léandre trouve des arguments suffisants pour le décourager. Désormais en sécurité, Simone demeure chez les Brassac et ne tarde pas à s'éprendre de Roger, le voisin, tout en redoutant la colère de Léandre...

Année : 1965

Avec : Daniel Ceccaldi, Emma Danieli, Georges Géret, Hélène Tossy, Jean Gabin, Lilli Palmer, Louis Arbessier, Michèle Mercier, Nino Vingelli, Paul Frankeur, Robert Hossein, Schwiers Ellen

Antérieurement en 2023
 

La vache et le prisonnier

Télévision : 17 décembre 2023 à 21:10-23:22 sur C8

film : comédie

1943, en Allemagne. Depuis trois ans, Charles Bailly, prisonnier de guerre français, travaille dans une ferme avec quelques camarades. Un jour, malgré la gentillesse de la propriétaire des lieux, il décide de s'évader. Son plan est simple. Revêtu de sa vareuse de prisonnier, une vache en laisse, il pourra aisément justifier ses déplacements auprès des autorités militaires. Un de ses camarades, Bussière, qui a établi des relations plus qu'amicales avec la fermière, se charge de lui procurer l'animal prénommé Marguerite. Trois cents kilomètres les séparent de la frontière. Mais Marguerite, tout autant que Charles, a la liberté chevillée au corps et du courage à revendre...

Avec : Albert Rémy, Bernard Musson, Fernandel, Franziska Kinz, Heinrich Gretler, Hoffmann Benno, Maurice Nasil, Pierre-Louis, René Havard, Richard Winckler, Schwiers Ellen, Schöner Ingeborg

Antérieurement en 2023
 

La vache et le prisonnier

Télévision : 17 décembre 2023 à 21:10-23:15 sur C8

film : comédie

1943, en Allemagne. Depuis trois ans, Charles Bailly, prisonnier de guerre français, travaille dans une ferme avec quelques camarades. Un jour, malgré la gentillesse de la propriétaire des lieux, il décide de s'évader. Son plan est simple. Revêtu de sa vareuse de prisonnier, une vache en laisse, il pourra aisément justifier ses déplacements auprès des autorités militaires. Un de ses camarades, Bussière, qui a établi des relations plus qu'amicales avec la fermière, se charge de lui procurer l'animal prénommé Marguerite. Trois cents kilomètres les séparent de la frontière. Mais Marguerite, tout autant que Charles, a la liberté chevillée au corps et du courage à revendre... - Critique : Pendant une bonne décennie, cette comédie fut le plus gros succès public du cinéma français. C'est aussi l'un des films les plus diffusés à la télévision. Sans doute parce qu'on y retrouve tous les ingrédients du film populaire à la française. Fernandel, qui, en pleine guerre, s'évade d'une ferme allemande avec une vache (prénommée Marguerite) et un seau en fer-blanc, c'est le Français type, opiniâtre, débrouillard et humain. La mise en scène est extrêmement soignée : Verneuil a été honni — à tort — par la Nouvelle Vague. Moins audacieux que Des gens sans importance, avec Jean Gabin et Françoise Arnoul, c'est un divertissement dont nul, même aujourd'hui, ne se lasse.

Année : 1959

Avec : Albert Rémy, Bernard Musson, Fernandel, Franziska Kinz, Heinrich Gretler, Hoffmann Benno, Maurice Nasil, Pierre-Louis, René Havard, Richard Winckler, Schwiers Ellen, Schöner Ingeborg

Antérieurement en 2023
 

La vache et le prisonnier

Télévision : 8 janvier 2023 à 21:10-23:15 sur C8

film : comédie

1943, en Allemagne. Depuis trois ans, Charles Bailly, prisonnier de guerre français, travaille dans une ferme avec quelques camarades. Un jour, malgré la gentillesse de la propriétaire des lieux, il décide de s'évader. Son plan est simple. Revêtu de sa vareuse de prisonnier, une vache en laisse, il pourra aisément justifier ses déplacements auprès des autorités militaires. Un de ses camarades, Bussière, qui a établi des relations plus qu'amicales avec la fermière, se charge de lui procurer l'animal prénommé Marguerite. Trois cents kilomètres les séparent de la frontière. Mais Marguerite, tout autant que Charles, a la liberté chevillée au corps et du courage à revendre... - Critique : | Genre : populaire. Pendant une bonne décennie, cette comédie fut le plus gros succès public du cinéma français. C'est aussi l'un des films les plus diffusés à la télévision. Sans doute parce qu'on y retrouve tous les ingrédients du film populaire à la française. Fernandel, qui, en pleine guerre, s'évade d'une ferme allemande avec une vache (prénommée Marguerite) et un seau en fer-blanc, c'est le Français type, opiniâtre, débrouillard et humain. La mise en scène est extrêmement soignée : Verneuil a été honni — à tort — par la Nouvelle Vague. Moins audacieux que Des gens sans importance, avec Jean Gabin et Françoise Arnoul, c'est un divertissement dont nul, même aujourd'hui, ne se lasse. — Pierre Murat

Année : 1959

Avec : Albert Rémy, Bernard Musson, Fernandel, Franziska Kinz, Heinrich Gretler, Hoffmann Benno, Maurice Nasil, Pierre-Louis, René Havard, Richard Winckler, Schwiers Ellen, Schöner Ingeborg

Antérieurement en 2022
 

La vache et le prisonnier

Télévision : 10 avril 2022 à 22:53-01:00 sur C8

film : comédie

1943, en Allemagne. Depuis trois ans, Charles Bailly, prisonnier de guerre français, travaille dans une ferme avec quelques camarades. Un jour, malgré la gentillesse de la propriétaire des lieux, il décide de s'évader. Son plan est simple. Revêtu de sa vareuse de prisonnier, une vache en laisse, il pourra aisément justifier ses déplacements auprès des autorités militaires. Un de ses camarades, Bussière, qui a établi des relations plus qu'amicales avec la fermière, se charge de lui procurer l'animal prénommé Marguerite. Trois-cents kilomètres les séparent de la frontière. Mais Marguerite, tout autant que Charles, a la liberté chevillée au corps et du courage à revendre... - Critique : | Genre : populaire. Pendant une bonne décennie, cette comédie fut le plus gros succès public du cinéma français. C'est aussi l'un des films les plus diffusés à la télévision. Sans doute parce qu'on y retrouve tous les ingrédients du film populaire à la française. Fernandel, qui, en pleine guerre, s'évade d'une ferme allemande avec une vache (prénommée Marguerite) et un seau en fer-blanc, c'est le Français type, opiniâtre, débrouillard et humain. La mise en scène est extrêmement soignée : Verneuil a été honni — à tort — par la Nouvelle Vague. Moins audacieux que Des gens sans importance, avec Jean Gabin et Françoise Arnoul, c'est un divertissement dont nul, même aujourd'hui, ne se lasse. — Pierre Murat

Année : 1959

Avec : Albert Rémy, Bernard Musson, Fernandel, Franziska Kinz, Heinrich Gretler, Hoffmann Benno, Maurice Nasil, Pierre-Louis, René Havard, Richard Winckler, Schwiers Ellen, Schöner Ingeborg

Antérieurement en 2022
 

La vache et le prisonnier

Télévision : 20 mars 2022 à 21:10-23:04 sur C8

film : comédie

1943, en Allemagne. Depuis trois ans, Charles Bailly, prisonnier de guerre français, travaille dans une ferme avec quelques camarades. Un jour, malgré la gentillesse de la propriétaire des lieux, il décide de s'évader. Son plan est simple. Revêtu de sa vareuse de prisonnier, une vache en laisse, il pourra aisément justifier ses déplacements auprès des autorités militaires. Un de ses camarades, Bussière, qui a établi des relations plus qu'amicales avec la fermière, se charge de lui procurer l'animal prénommé Marguerite. Trois-cents kilomètres les séparent de la frontière. Mais Marguerite, tout autant que Charles, a la liberté chevillée au corps et du courage à revendre... - Critique : | Genre : populaire. Pendant une bonne décennie, cette comédie fut le plus gros succès public du cinéma français. C'est aussi l'un des films les plus diffusés à la télévision. Sans doute parce qu'on y retrouve tous les ingrédients du film populaire à la française. Fernandel, qui, en pleine guerre, s'évade d'une ferme allemande avec une vache (prénommée Marguerite) et un seau en fer-blanc, c'est le Français type, opiniâtre, débrouillard et humain. La mise en scène est extrêmement soignée : Verneuil a été honni — à tort — par la Nouvelle Vague. Moins audacieux que Des gens sans importance, avec Jean Gabin et Françoise Arnoul, c'est un divertissement dont nul, même aujourd'hui, ne se lasse. — Pierre Murat

Année : 1959

Avec : Albert Rémy, Bernard Musson, Fernandel, Franziska Kinz, Gustl Gstettenbaur, Heinrich Gretler, Hoffmann Benno, Ludwig Schmid-Wildy, Maurice Nasil, Pierre-Louis, René Havard, Richard Winckler, Schwiers Ellen, Schöner Ingeborg, Willy Rösner