Télévision : 23 août à 20:55-22:20 sur Arte
film : thriller
Peu après le décollage d'un Airbus A319 de Berlin, quatre terroristes islamistes tentent de s'introduire dans le cockpit. Un seul y parvient, tuant le commandant de bord. Blessé, son copilote, Tobias Ellis, finit par neutraliser l'agresseur et se barricade. Mais en cabine, les assaillants menacent d'exécuter des otages parmi lesquels les deux hôtesses de l'air, dont l'une est la femme de Tobias. Ce dernier se retrouve face à un terrible dilemme : doit-il garder la porte du cockpit fermée, comme le lui impose le règlement, quitte à sacrifier la vie d'otages. - Critique : Un pilote d’avion, interprété par l’impeccable Joseph Gordon-Levitt, est confronté à une attaque terroriste… Du décollage à l’atterrissage, la caméra ne quittera jamais la cabine du vol 7500 Berlin-Paris, détourné vers Hanovre. Comme pour tout film claustrophobique, au-delà de la prouesse de la mise en scène, l’enjeu consiste à maintenir la tension sans que le spectateur se sente pris en otage par la virtuosité. Objectif parfaitement atteint ici. Très vite après le décollage, des pirates de l’air menacent les passagers et parviennent à s’introduire dans le cockpit pour y semer la mort avec leurs lames en plastique. Blessé et désormais seul aux commandes de l’avion comme du film, le pilote endosse l’habit du héros malgré lui avec une sobriété et une gravité inattendues, eu égard au manque d’expérience de son personnage et à la juvénilité de son visage. Film de confinement tiré au cordeau, émaillé de morts violentes, prenant le contre-pied des codes du cinéma hollywoodien, 7500 est le contraire d’une œuvre en pilotage automatique. La noirceur et l’élégance s’invitent sans crier gare dans ce film catastrophe, constamment en zone de turbulences.
Année : 2019
Avec : Aurélie Thépaut, Aylin Tezel, Carlo Kitzlinger, Christian Skibinski, Cornel Nussbaum, Hicham Sebiai, Joseph Gordon-Levitt, Murathan Muslu, Omid Memar, Passar Hariky, Paul Wollin, Schimmelpfennig Max
Télévision : 7 juillet 2023 à 15:10-16:40 sur Arte
téléfilm humoristique
À peine leurs deux grands enfants partis du nid, Anja et Michael Wagner ont troqué la maison familiale dans la banlieue de Munich contre un appartement bien à eux en centre-ville. Tous deux se réjouissent du vent de liberté et de renouveau qui souffle sur leur couple. Mais quand Niklas, leur désinvolte petit dernier, se fait renvoyer de sa colocation, le jeune homme n'imagine pas d'autre solution que de retourner vivre chez papa-maman. Les parents aimants acceptent de bonne grâce, mais ils n'avaient pas prévu qu'Alina, la petite amie de Niklas, prenne également ses quartiers chez eux. Entre le manque d'intimité et les errances de Niklas, assez peu disposé à entrer pour de bon dans l'âge adulte, les parents exploités seront menés au bord de la crise. - Critique : « C’est juste pour quelques jours. » Les parents de Niki auraient dû flairer l’entourloupe. Leur grand garçon s’est fait virer de sa colocation et revient chez papa-maman. Eux viennent tout juste d’emménager dans un appartement du centre-ville de Munich et rêvent à nouveau d’une vie de couple d’adulescents, de murs à repeindre, d’excursion au Kilimandjaro… et sans enfants dans les pattes. Mais la chambre d’amis déborde vite du bazar de ce Tanguy allemand en tongs sympa mais envahissant — batterie, bière, copine… Évidemment, ça dégénère. Est-ce l’histoire du jeune homme de 25 ans, en mal de vocation dans une société où il peine à trouver sa place ? Ou bien celle des parents qui couvent une crise de la cinquantaine, précipitée par le retour du fils au bercail ? Un peu des deux. Le téléfilm ne prend pas vraiment parti, tâtonne. Mais l’image soignée, la bande-son accrocheuse et les acteurs lumineux donnent une unité à cette chronique familiale un peu bancale, un peu douce, effleurant par endroits les problématiques générationnelles actuelles avec charme.
De : Florian Schwarz
Avec : Anja Schneider, Anouk Elias, Ella-Maria Gollmer, Lukas Rüppel, Malene Becker, Nils Hohenhövel, Pauline Fusban, Petra Hartung, Scheibe Hanna, Schimmelpfennig Max, Shenja Lacher, Striesow Devid
Télévision : 21 octobre 2022 à 20:55-22:20 sur Arte
film : thriller
Peu après le décollage d'un Airbus A319 de Berlin, quatre terroristes islamistes tentent de s'introduire dans le cockpit. Un seul y parvient, tuant le commandant de bord. Blessé, son copilote, Tobias Ellis, finit par neutraliser l'agresseur et se barricade. Mais en cabine, les assaillants menacent d'exécuter des otages parmi lesquels les deux hôtesses de l'air, dont l'une est la femme de Tobias. Ce dernier se retrouve face à un terrible dilemme : doit-il garder la porte du cockpit fermée, comme le lui impose le règlement, quitte à sacrifier la vie d'otages. - Critique : Un pilote d’avion, interprété par l’impeccable Joseph Gordon-Levitt, est confronté à une attaque terroriste… Du décollage à l’atterrissage, la caméra ne quittera jamais la cabine du vol 7500 Berlin-Paris, détourné vers Hanovre. Comme pour tout film claustrophobique, au-delà de la prouesse de la mise en scène, l’enjeu consiste à maintenir la tension sans que le spectateur se sente pris en otage par la virtuosité. Objectif parfaitement atteint ici. Très vite après le décollage, des pirates de l’air menacent les passagers et parviennent à s’introduire dans le cockpit pour y semer la mort avec leurs lames en plastique. Blessé et désormais seul aux commandes de l’avion comme du film, le pilote endosse l’habit du héros malgré lui avec une sobriété et une gravité inattendues, eu égard au manque d’expérience de son personnage et à la juvénilité de son visage. Film de confinement tiré au cordeau, émaillé de morts violentes, prenant le contre-pied des codes du cinéma hollywoodien, 7500 est le contraire d’une œuvre en pilotage automatique. La noirceur et l’élégance s’invitent sans crier gare dans ce film catastrophe, constamment en zone de turbulences.
Année : 2019
Avec : Aurélie Thépaut, Aylin Tezel, Carlo Kitzlinger, Christian Skibinski, Cornel Nussbaum, Hicham Sebiai, Joseph Gordon-Levitt, Murathan Muslu, Omid Memar, Passar Hariky, Paul Wollin, Schimmelpfennig Max
Télévision : 7 juillet 2022 à 13:35-15:05 sur Arte
téléfilm humoristique
À peine leurs deux grands enfants partis du nid, Anja et Michael Wagner ont troqué la maison familiale dans la banlieue de Munich contre un appartement bien à eux en centre-ville. Tous deux se réjouissent du vent de liberté et de renouveau qui souffle sur leur couple. Mais quand Niklas, leur désinvolte petit dernier, se fait renvoyer de sa colocation, le jeune homme n'imagine pas d'autre solution que de retourner vivre chez papa-maman. Les parents aimants acceptent de bonne grâce, mais ils n'avaient pas prévu qu'Alina, la petite amie de Niklas, prenne également ses quartiers chez eux. Entre le manque d'intimité et les errances de Niklas, assez peu disposé à entrer pour de bon dans l'âge adulte, les parents exploités seront menés au bord de la crise. - Critique : « C’est juste pour quelques jours. » Les parents de Niki auraient dû flairer l’entourloupe. Leur grand garçon s’est fait virer de sa colocation et revient chez papa-maman. Eux viennent tout juste d’emménager dans un appartement du centre-ville de Munich et rêvent à nouveau d’une vie de couple d’adulescents, de murs à repeindre, d’excursion au Kilimandjaro… et sans enfants dans les pattes. Mais la chambre d’amis déborde vite du bazar de ce Tanguy allemand en tongs sympa mais envahissant — batterie, bière, copine… Évidemment, ça dégénère. Est-ce l’histoire du jeune homme de 25 ans, en mal de vocation dans une société où il peine à trouver sa place ? Ou bien celle des parents qui couvent une crise de la cinquantaine, précipitée par le retour du fils au bercail ? Un peu des deux. Le téléfilm ne prend pas vraiment parti, tâtonne. Mais l’image soignée, la bande-son accrocheuse et les acteurs lumineux donnent une unité à cette chronique familiale un peu bancale, un peu douce, effleurant par endroits les problématiques générationnelles actuelles avec charme.
De : Florian Schwarz
Avec : Anja Schneider, Anouk Elias, Nils Hohenhövel, Pauline Fusban, Petra Hartung, Schimmelpfennig Max, Shenja Lacher, Striesow Devid
Télévision : 1er juillet 2022 à 20:55-22:25 sur Arte
téléfilm humoristique
À peine leurs deux grands enfants partis du nid, Anja et Michael Wagner ont troqué la maison familiale dans la banlieue de Munich contre un appartement bien à eux en centre-ville. Tous deux se réjouissent du vent de liberté et de renouveau qui souffle sur leur couple. Mais quand Niklas, leur désinvolte petit dernier, se fait renvoyer de sa colocation, le jeune homme n'imagine pas d'autre solution que de retourner vivre chez papa-maman. Les parents aimants acceptent de bonne grâce, mais ils n'avaient pas prévu qu'Alina, la petite amie de Niklas, prenne également ses quartiers chez eux. Entre le manque d'intimité et les errances de Niklas, assez peu disposé à entrer pour de bon dans l'âge adulte, les parents exploités seront menés au bord de la crise. - Critique : « C’est juste pour quelques jours. » Les parents de Niki auraient dû flairer l’entourloupe. Leur grand garçon s’est fait virer de sa colocation et revient chez papa-maman. Eux viennent tout juste d’emménager dans un appartement du centre-ville de Munich et rêvent à nouveau d’une vie de couple d’adulescents, de murs à repeindre, d’excursion au Kilimandjaro… et sans enfants dans les pattes. Mais la chambre d’amis déborde vite du bazar de ce Tanguy allemand en tongs sympa mais envahissant — batterie, bière, copine… Évidemment, ça dégénère. Est-ce l’histoire du jeune homme de 25 ans, en mal de vocation dans une société où il peine à trouver sa place ? Ou bien celle des parents qui couvent une crise de la cinquantaine, précipitée par le retour du fils au bercail ? Un peu des deux. Le téléfilm ne prend pas vraiment parti, tâtonne. Mais l’image soignée, la bande-son accrocheuse et les acteurs lumineux donnent une unité à cette chronique familiale un peu bancale, un peu douce, effleurant par endroits les problématiques générationnelles actuelles avec charme.
De : Florian Schwarz
Avec : Anja Schneider, Anouk Elias, Nils Hohenhövel, Pauline Fusban, Petra Hartung, Schimmelpfennig Max, Shenja Lacher, Striesow Devid
Télévision : 1er juillet 2022 à 20:50-22:20 sur Arte
téléfilm humoristique
À peine leurs deux grands enfants partis du nid, Anja et Michael Wagner ont troqué la maison familiale dans la banlieue de Munich contre un appartement bien à eux en centre-ville. Tous deux se réjouissent du vent de liberté et de renouveau qui souffle sur leur couple. Mais quand Niklas, leur désinvolte petit dernier, se fait renvoyer de sa colocation, le jeune homme n'imagine pas d'autre solution que de retourner vivre chez papa-maman. Les parents aimants acceptent de bonne grâce, mais ils n'avaient pas prévu qu'Alina, la petite amie de Niklas, prenne également ses quartiers chez eux. Entre le manque d'intimité et les errances de Niklas, assez peu disposé à entrer pour de bon dans l'âge adulte, les parents exploités seront menés au bord de la crise. - Critique : « C’est juste pour quelques jours. » Les parents de Niki auraient dû flairer l’entourloupe. Leur grand garçon s’est fait virer de sa colocation et revient chez papa-maman. Eux viennent tout juste d’emménager dans un appartement du centre-ville de Munich et rêvent à nouveau d’une vie de couple d’adulescents, de murs à repeindre, d’excursion au Kilimandjaro… et sans enfants dans les pattes. Mais la chambre d’amis déborde vite du bazar de ce Tanguy allemand en tongs sympa mais envahissant — batterie, bière, copine… Évidemment, ça dégénère. Est-ce l’histoire du jeune homme de 25 ans, en mal de vocation dans une société où il peine à trouver sa place ? Ou bien celle des parents qui couvent une crise de la cinquantaine, précipitée par le retour du fils au bercail ? Un peu des deux. Le téléfilm ne prend pas vraiment parti, tâtonne. Mais l’image soignée, la bande-son accrocheuse et les acteurs lumineux donnent une unité à cette chronique familiale un peu bancale, un peu douce, effleurant par endroits les problématiques générationnelles actuelles avec charme.
De : Florian Schwarz
Avec : Anja Schneider, Anouk Elias, Nils Hohenhövel, Pauline Fusban, Petra Hartung, Schimmelpfennig Max, Shenja Lacher, Striesow Devid