Télévision : dimanche 29 décembre à 11:40-13:30 sur Arte
film documentaire
Souvent cité comme le plus grand et le plus populaire chanteur d'opéra depuis Enrico Caruso, Luciano pavarotti a chanté les plus grands airs du bel canto et n'a pas hésité faire des ponts entre les genres musicaux en chantant avec Eros Ramazzotti, Bryan Adams, Mariah Carey, Jon Bon Jovi, Eric Clapton, Queen, Florent Pagny, U2, Sting, Elton John, Céline Dion, Barry White, James Brown, Zucchero, Dolores O'Riordan4, ou encore les Spice Girls. Celui qui a beaucoup sacrifié à sa carrière, notamment sa vie de famille, a contribué à populariser la musique classique notamment lors des séries de représentations des Trois Ténors (Plácido Domingo et José Carreras)... - Critique : Le documentaire s’ouvre sur une séquence qui ne déplairait pas au James Gray de The Lost City of Z. Saisi au Caméscope par son flûtiste en 1995, Luciano Pavarotti descend l’Amazone en canot, à la recherche non pas d’une cité perdue mais d’un théâtre mythique de Manaus où son idole, Caruso, chanta cent ans plus tôt. Il faut voir sa joie enfantine, son émotion aussi, lorsque, foulant la même scène que son illustre prédécesseur, le géant de Modène se met à donner de la voix, avant de partir de son grand rire ! Le film croule sous la documentation : extraits de concerts et d’entretiens, films et photos de famille, interviews de proches et d’artistes renommés… Cent dix minutes menées allegrissimo, sans un temps mort, sans une respiration. Sans un angle, non plus. Au bout de vingt minutes syncopées comme une bande-annonce, on comprend l’ambition du projet : faire le tour de Pavarotti. Luciano et ses contre-ut insensés, Luciano et les femmes, Luciano et l’argent (un manager redoutable, cent millions d’albums vendus), Luciano et Lady Di, Luciano en Chine, Luciano et les spaghettis, Luciano et ses copains des « trois ténors », tout ça au pas de charge ! Ron Howard, qui avait signé l’enthousiasmant The Beatles : Eight Days a Week, a péché par gourmandise. Pas désagréable, mais indigeste.
Année : 2019
Avec : Adua Veroni, Andrea Griminelli, Angela Gheorghiu, Carol Vaness, Giuliana Pavarotti, Lorenza Pavarotti, Luciano Pavarotti, Madelyn Renée, Nicoletta Mantovani, Placido Domingo, Vittorio Grigolo, Zubin Mehta
Télévision : dimanche 29 décembre à 09:40-10:35 sur Arte
documentaire musique
Le 7 juillet 1990, la veille de la finale de la Coupe du monde de football qui se tenait en Italie, les trois plus grands ténors de leur génération, les Espagnols Plácido Domingo et José Carreras et l'Italien Luciano Pavarotti, étaient pour la première fois réunis pour un récital dans les thermes de Caracalla. Les trois superstars rééditeront la performance à l'occasion des coupes du monde suivantes.
Télévision : samedi 28 décembre à 00:30-01:30 sur Arte
documentaire musique
Le 7 juillet 1990, la veille de la finale de la Coupe du monde de football qui se tenait en Italie, les trois plus grands ténors de leur génération, les Espagnols Plácido Domingo et José Carreras et l'Italien Luciano Pavarotti, étaient pour la première fois réunis pour un récital dans les thermes de Caracalla. Les trois superstars rééditeront la performance à l'occasion des coupes du monde suivantes.
Télévision : 27 décembre à 22:40-00:30 sur Arte
film documentaire
Souvent cité comme le plus grand et le plus populaire chanteur d'opéra depuis Enrico Caruso, Luciano pavarotti a chanté les plus grands airs du bel canto et n'a pas hésité faire des ponts entre les genres musicaux en chantant avec Eros Ramazzotti, Bryan Adams, Mariah Carey, Jon Bon Jovi, Eric Clapton, Queen, Florent Pagny, U2, Sting, Elton John, Céline Dion, Barry White, James Brown, Zucchero, Dolores O'Riordan4, ou encore les Spice Girls. Celui qui a beaucoup sacrifié à sa carrière, notamment sa vie de famille, a contribué à populariser la musique classique notamment lors des séries de représentations des Trois Ténors (Plácido Domingo et José Carreras)... - Critique : Le documentaire s’ouvre sur une séquence qui ne déplairait pas au James Gray de The Lost City of Z. Saisi au Caméscope par son flûtiste en 1995, Luciano Pavarotti descend l’Amazone en canot, à la recherche non pas d’une cité perdue mais d’un théâtre mythique de Manaus où son idole, Caruso, chanta cent ans plus tôt. Il faut voir sa joie enfantine, son émotion aussi, lorsque, foulant la même scène que son illustre prédécesseur, le géant de Modène se met à donner de la voix, avant de partir de son grand rire ! Le film croule sous la documentation : extraits de concerts et d’entretiens, films et photos de famille, interviews de proches et d’artistes renommés… Cent dix minutes menées allegrissimo, sans un temps mort, sans une respiration. Sans un angle, non plus. Au bout de vingt minutes syncopées comme une bande-annonce, on comprend l’ambition du projet : faire le tour de Pavarotti. Luciano et ses contre-ut insensés, Luciano et les femmes, Luciano et l’argent (un manager redoutable, cent millions d’albums vendus), Luciano et Lady Di, Luciano en Chine, Luciano et les spaghettis, Luciano et ses copains des « trois ténors », tout ça au pas de charge ! Ron Howard, qui avait signé l’enthousiasmant The Beatles : Eight Days a Week, a péché par gourmandise. Pas désagréable, mais indigeste.
Année : 2019
Avec : Adua Veroni, Andrea Griminelli, Angela Gheorghiu, Carol Vaness, Giuliana Pavarotti, Lorenza Pavarotti, Luciano Pavarotti, Madelyn Renée, Nicoletta Mantovani, Placido Domingo, Vittorio Grigolo, Zubin Mehta