Pavel Paul : passages TV

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Antérieurement en 2024
 

Une aussi longue absence

Télévision : 18 mai à 00:26-02:01 sur France 3

film : drame

Depuis la disparition de son mari, déporté par les Allemands en 1944, Thérèse Langlois tient seule son café à Puteaux. Depuis quelque temps, un clochard passe régulièrement devant le café et Thérèse, après quelques hésitations, reconnaît formellement son mari. Celui-ci est devenu amnésique... - Critique : À partir d’un fait divers, sur des dialogues de Marguerite Duras, Henri Colpi, monteur d’Alain Resnais, a réalisé un film envoûtant et musical sur la mémoire. La femme cherche inlassablement à faire retrouver des bribes de souvenirs à cet homme qui n’en a plus, effrayé de la soudaine attention qu’on lui porte. Une aussi longue absence est une déchirante réflexion sur le doute et sur l’espoir obstiné d’une femme, au-delà de la logique, à la frontière de la déraison. Impossible d’oublier Alida Valli et Georges Wilson écoutant un air d’opéra, dans le café désert, devant un juke-box qui, soudain, prend des airs de scène de théâtre miniature. La chanson Trois Petites Notes de musique, écrite par Colpi et Delerue, créée par Cora Vaucaire, reprise par Juliette Gréco et Yves Montand, est devenue un classique.

Année : 1961

Avec : Alida Valli, Amédée, Charles Blavette, Corrado Guarducci, Diane Lepvrier, Faivre Paul, Fonteney Catherine, Georges Wilson, Jacques Harden, Nane Germon, Parel Pierre, Pavel Paul

Antérieurement en 2022
 

L'appartement

Télévision : 30 juin 2022 à 13:35-16:05 sur Arte

film : drame

Max, cadre dans une entreprise d'informatique, s'apprête à épouser la soeur de son patron. Mais auparavant, il doit se rendre à Tokyo pour signer un contrat. Dans un restaurant, il croit reconnaître la voix d'une femme qu'il a aimée passionnément, Lisa. Il renonce à son déplacement et se lance sur sa piste... - Critique : Le jeune cinéma français des années 1990 multipliait les intrigues amoureuses intimistes. L’Appartement se distingua en reprenant cette inspiration d’une manière plus baroque, plus américaine. Le héros, Max, est un golden boy parisien qui réussit dans les affaires et va se marier, alors que son pote, Lucien, cherche toujours une fille à aimer. Mais deux femmes font voler en éclats ces perspectives simples. La première, Lisa, est une Italienne qui semble bien mystérieuse. La seconde l’est plus encore : Alice vit dans un appartement qui a vue sur celui de Lisa et s’emploie à devenir son double, pour conquérir Max, tout en menant Lucien par le bout du nez… Construite autour de plusieurs flash-back, l’histoire est volontairement labyrinthique, parfois à l’excès. Ces arabesques temporelles ont malgré tout du charme, comme les mouvements élégants de la caméra. Quelques notes hitchcockiennes créent une belle atmosphère. Si L’Appartement donne envie, aujourd’hui, de remercier le réalisateur Gilles Mimouni, dont la carrière fut injustement difficile, c’est pour tous ces plans sur la magnifique jeunesse de sa distribution d’exception : Romane Bohringer, Jean-Philippe Écoffey (au style tellement Dewaere !) et puis Vincent Cassel et Monica Bellucci, avec qui l’amour s’invita pour de vrai dans l’aventure.

Année : 1996

De : Gilles Mimouni

Avec : Alard Nelly, Bruno Leonelli, Jean-Philippe Écoffey, Monica Bellucci, Olivier Granier, Pavel Paul, Romane Bohringer, Sandrine Kiberlain, Tateo Isaizaki, Tsuyu Shimizu, Vanessa Soboul, Vincent Cassel

Antérieurement en 2022
 

L'appartement

Télévision : 30 juin 2022 à 13:35-16:00 sur Arte

film : drame

Max, cadre dans une entreprise d'informatique, s'apprête à épouser la soeur de son patron. Mais auparavant, il doit se rendre à Tokyo pour signer un contrat. Dans un restaurant, il croit reconnaître la voix d'une femme qu'il a aimée passionnément, Lisa. Il renonce à son déplacement et se lance sur sa piste... - Critique : Le jeune cinéma français des années 1990 multipliait les intrigues amoureuses intimistes. L’Appartement se distingua en reprenant cette inspiration d’une manière plus baroque, plus américaine. Le héros, Max, est un golden boy parisien qui réussit dans les affaires et va se marier, alors que son pote, Lucien, cherche toujours une fille à aimer. Mais deux femmes font voler en éclats ces perspectives simples. La première, Lisa, est une Italienne qui semble bien mystérieuse. La seconde l’est plus encore : Alice vit dans un appartement qui a vue sur celui de Lisa et s’emploie à devenir son double, pour conquérir Max, tout en menant Lucien par le bout du nez… Construite autour de plusieurs flash-back, l’histoire est volontairement labyrinthique, parfois à l’excès. Ces arabesques temporelles ont malgré tout du charme, comme les mouvements élégants de la caméra. Quelques notes hitchcockiennes créent une belle atmosphère. Si L’Appartement donne envie, aujourd’hui, de remercier le réalisateur Gilles Mimouni, dont la carrière fut injustement difficile, c’est pour tous ces plans sur la magnifique jeunesse de sa distribution d’exception : Romane Bohringer, Jean-Philippe Écoffey (au style tellement Dewaere !) et puis Vincent Cassel et Monica Bellucci, avec qui l’amour s’invita pour de vrai dans l’aventure.

Année : 1996

De : Gilles Mimouni

Avec : Alard Nelly, Bruno Leonelli, Jean-Philippe Écoffey, Monica Bellucci, Olivier Granier, Pavel Paul, Romane Bohringer, Sandrine Kiberlain, Tateo Isaizaki, Tsuyu Shimizu, Vanessa Soboul, Vincent Cassel

Antérieurement en 2022
 

L'appartement

Télévision : 17 juin 2022 à 13:35-15:25 sur Arte

film : drame

Max, cadre dans une entreprise d'informatique, s'apprête à épouser la soeur de son patron. Mais auparavant, il doit se rendre à Tokyo pour signer un contrat. Dans un restaurant, il croit reconnaître la voix d'une femme qu'il a aimée passionnément, Lisa. Il renonce à son déplacement et se lance sur sa piste... - Critique : Le jeune cinéma français des années 1990 multipliait les intrigues amoureuses intimistes. L’Appartement se distingua en reprenant cette inspiration d’une manière plus baroque, plus américaine. Le héros, Max, est un golden boy parisien qui réussit dans les affaires et va se marier, alors que son pote, Lucien, cherche toujours une fille à aimer. Mais deux femmes font voler en éclats ces perspectives simples. La première, Lisa, est une Italienne qui semble bien mystérieuse. La seconde l’est plus encore : Alice vit dans un appartement qui a vue sur celui de Lisa et s’emploie à devenir son double, pour conquérir Max, tout en menant Lucien par le bout du nez… Construite autour de plusieurs flash-back, l’histoire est volontairement labyrinthique, parfois à l’excès. Ces arabesques temporelles ont malgré tout du charme, comme les mouvements élégants de la caméra. Quelques notes hitchcockiennes créent une belle atmosphère. Si L’Appartement donne envie, aujourd’hui, de remercier le réalisateur Gilles Mimouni, dont la carrière fut injustement difficile, c’est pour tous ces plans sur la magnifique jeunesse de sa distribution d’exception : Romane Bohringer, Jean-Philippe Écoffey (au style tellement Dewaere !) et puis Vincent Cassel et Monica Bellucci, avec qui l’amour s’invita pour de vrai dans l’aventure.

Année : 1996

De : Gilles Mimouni

Avec : Alard Nelly, Bruno Leonelli, Jean-Philippe Écoffey, Monica Bellucci, Olivier Granier, Pavel Paul, Romane Bohringer, Sandrine Kiberlain, Tateo Isaizaki, Tsuyu Shimizu, Vanessa Soboul, Vincent Cassel

Antérieurement en 2022
 

L'appartement

Télévision : 15 juin 2022 à 20:55-22:50 sur Arte

film : drame

Max, cadre dans une entreprise d'informatique, s'apprête à épouser la soeur de son patron. Mais auparavant, il doit se rendre à Tokyo pour signer un contrat. Dans un restaurant, il croit reconnaître la voix d'une femme qu'il a aimée passionnément, Lisa. Il renonce à son déplacement et se lance sur sa piste... - Critique : Le jeune cinéma français des années 1990 multipliait les intrigues amoureuses intimistes. L’Appartement se distingua en reprenant cette inspiration d’une manière plus baroque, plus américaine. Le héros, Max, est un golden boy parisien qui réussit dans les affaires et va se marier, alors que son pote, Lucien, cherche toujours une fille à aimer. Mais deux femmes font voler en éclats ces perspectives simples. La première, Lisa, est une Italienne qui semble bien mystérieuse. La seconde l’est plus encore : Alice vit dans un appartement qui a vue sur celui de Lisa et s’emploie à devenir son double, pour conquérir Max, tout en menant Lucien par le bout du nez… Construite autour de plusieurs flash-back, l’histoire est volontairement labyrinthique, parfois à l’excès. Ces arabesques temporelles ont malgré tout du charme, comme les mouvements élégants de la caméra. Quelques notes hitchcockiennes créent une belle atmosphère. Si L’Appartement donne envie, aujourd’hui, de remercier le réalisateur Gilles Mimouni, dont la carrière fut injustement difficile, c’est pour tous ces plans sur la magnifique jeunesse de sa distribution d’exception : Romane Bohringer, Jean-Philippe Écoffey (au style tellement Dewaere !) et puis Vincent Cassel et Monica Bellucci, avec qui l’amour s’invita pour de vrai dans l’aventure.

Année : 1996

De : Gilles Mimouni

Avec : Alard Nelly, Bruno Leonelli, Jean-Philippe Écoffey, Monica Bellucci, Olivier Granier, Pavel Paul, Romane Bohringer, Sandrine Kiberlain, Tateo Isaizaki, Tsuyu Shimizu, Vanessa Soboul, Vincent Cassel

Antérieurement en 2022
 

Vivre sa vie

Télévision : 11 mars 2022 à 21:00-22:25 sur France 5

film : drame

Nana, vendeuse dans un magasin de disques à Paris, mène une vive monotone et joint difficilement les deux bouts. Même si elle éprouve pour lui une certaine tendresse, elle s'ennuie avec son ami Paul, un journaliste raté avec lequel elle a eu un enfant qu'elle a mis en nourrice. Après avoir rompu avec Paul, en manque d'argent pour payer son loyer, Nana accepte la proposition d'un inconnu. Elle se prostitue pour la première fois et, par l'entremise d'une amie, rencontre Raoul, un souteneur. Nana est ainsi prise dans l'engrenage de la prostitution... - Critique : | Genre : nana anagramme Anna. Douze tableaux qui racontent le choix de Nana de se prostituer, sa quête de bonheur, de silence. Douze chapitres d'un film très littéraire, le roman d'une femme qui se dit « responsable ». « Je penche ma tête à droite, je suis responsable », « j'allume une cigarette, je suis responsable », litanie lumineuse d'Anna/Nana, figure libre, incarnation de la citation de Montaigne : « Il faut se prêter aux autres et se donner à soi-même. » Enfin presque, car Anna se donne à Jean-Luc. Pour lui, elle est Jeanne d'Arc, Louise Brooks, le féminin de son masculin. Il fixe son dos, ses yeux interrogatifs et sereins, il parle à travers elle. Des mots simples, presque usés, auxquels sa pointe d'accent redonne un nouveau mystère. « Mais pourquoi est-ce qu'il faut toujours parler ? Moi, je trouve que très souvent on devrait se taire, vivre en silence », rêve l'auteur par sa bouche, qu'elle mordille en philosophant sans le savoir. Quand elle découvrira l'amour, elle « dialoguera » par sous-titres avec le jeune homme élu. L'amour peut se passer de mots. Godard peint une pensée en marche, fait de son égérie une composition picturale de plans-séquences. Un portrait si vivant que le modèle doit mourir pour que la toile puisse être signée. — Guillemette Odicino   Lire page 79.

Année : 1962

Avec : Alfred Adam, André S, Anna Karina, Brice Parain, Dimitri Dineff, Eric Schlumberger, Gilles Quéant, Gisèle Braunberger, Guylaine Schlumberger, Gérard Hoffman, Henri Attal, Jack Florency, Jean Ferrat, Jean-Paul Savignac, László Szabó, Marcel Charton, Mario Botti, Monique Messine, Odile Geoffroy, Pavel Paul, Peter Kassovitz, Sady Rebbot