DVD/Blu-ray : 8 octobre 2019
Editeur : Elephant Films
De : John Rawlins, Ludwig Berger, Virgil W Vogel, Charles Lamont, Kurt Neumann
Avec : Jon Hall, Sabu, Maria Montez, Leif Erickson, Billy Gilbert, Edgar Barrier, John Qualen, Shemp Howard, Conrad Veidt, June Duprez, John Justin, Morton Selten, Peter Mann, Jocelyn Lane, Frank McGrath, Gavin MacLeod, Frank Puglia, Peter Whitney, Greg Morris, Frank DeKova, Irene Tsu, Maureen O&039 Hara, Jeff Chandler, Maxwell Reed, Lon Chaney Jr, Buddy Baer, Richard Egan, Dewey Martin, Royal Dano, Susan Cabot, Tony Curtis, Piper Laurie, William Reynolds, Hugh O&039 Brian, Victor Jory, Gerald Mohr, Robert Barrat, Paul Hubschmid, Vincent Price, John Sutton, Jeff Corey, David Wolfe, Fritz Leiber
Télévision : 7 novembre 2017 à 13:35-15:40 sur Arte
film fantastique
Jaffar a ravi son trône à Ahmad et l'a jeté en prison. Ce dernier y rencontre le futé Abu et s'évade. Ahmad rencontre alors l'amour sous les traits d'une merveilleuse princesse. Superbe conte des Mille et Une Nuits, dans un Technicolor chatoyant. A vous faire voler sur un tapis ! - Critique : Film de Michael Powell, Ludwig Berger et Tim Whelan (The Thief of Bagdad, GB/USA, 1940). Scénario : Lajos Biro, d'après Miles Malleson. Image : Georges Périnal, Osmond Borodaille. Musique : Miklos Rozsa. 105 mn. VM. Avec Conrad Veidt : Jaffar. Sabu : Abu. John Justin : le roi Ahmad. June Duprez : la princesse. Rex Ingram : le génie.
Genre : aventures exotiques et magnifiques.
Un jeune aveugle et son chien sont recueillis dans une riche maison : l'homme raconte son histoire. Il est en réalité Ahmad, prince héritier dépossédé de son trône par le méchant vizir Jaffar. Il s'est évadé grâce à un jeune voleur, Abu, et s'est épris de la fille du sultan de Bassora, que convoitait Jaffar. Jaffar a transformé Abu en chien et rendu Ahmad aveugle...
Le film a une curieuse histoire, puisqu'il a vu passer une demi-douzaine de cinéastes : Alexander Korda, le producteur, ayant vite compris que Ludwig Berger ne serait pas à la hauteur du grand spectacle en Technicolor dont il rêvait, appela Michael Powell en renfort, tandis que Tim Whelan tournait certaines scènes. Il y eut donc par moments trois équipes de tournage simultanées ! Puis la guerre éclata, et le film fut terminé à Hollywood. A qui doit-on alors cette somptueuse aventure tirée des Mille et Une Nuits ? Sa splendeur visuelle, ses décors et ses couleurs incroyables de beauté appartiennent totalement à l'esthétique de Michael Powell, habilement servie par le travail du chef opérateur Georges Périnal. C'est un véritable enchantement, un plaisir de tous les instants (auxquels participent les comédiens, l'inquiétant Conrad Veidt autant que le bondissant Sabu), la richesse visuelle contrebalançant quelques faiblesses du script. Si vos enfants ont aimé Aladdin, des studios Disney, qu'ils regardent Le Voleur de Bagdad : ils verront la même histoire, en chair, en os, magie et Technicolor véritables.
Année : 1940
Télévision : 29 octobre 2017 à 09:35-11:20 sur Arte
film fantastique
Jaffar a ravi son trône à Ahmad et l'a jeté en prison. Ce dernier y rencontre le futé Abu et s'évade. Ahmad rencontre alors l'amour sous les traits d'une merveilleuse princesse. Superbe conte des Mille et Une Nuits, dans un Technicolor chatoyant. A vous faire voler sur un tapis ! - Critique : Film de Michael Powell, Ludwig Berger et Tim Whelan (The Thief of Bagdad, GB/USA, 1940). Scénario : Lajos Biro, d'après Miles Malleson. Image : Georges Périnal, Osmond Borodaille. Musique : Miklos Rozsa. 105 mn. VM. Avec Conrad Veidt : Jaffar. Sabu : Abu. John Justin : le roi Ahmad. June Duprez : la princesse. Rex Ingram : le génie.
Genre : aventures exotiques et magnifiques.
Un jeune aveugle et son chien sont recueillis dans une riche maison : l'homme raconte son histoire. Il est en réalité Ahmad, prince héritier dépossédé de son trône par le méchant vizir Jaffar. Il s'est évadé grâce à un jeune voleur, Abu, et s'est épris de la fille du sultan de Bassora, que convoitait Jaffar. Jaffar a transformé Abu en chien et rendu Ahmad aveugle...
Le film a une curieuse histoire, puisqu'il a vu passer une demi-douzaine de cinéastes : Alexander Korda, le producteur, ayant vite compris que Ludwig Berger ne serait pas à la hauteur du grand spectacle en Technicolor dont il rêvait, appela Michael Powell en renfort, tandis que Tim Whelan tournait certaines scènes. Il y eut donc par moments trois équipes de tournage simultanées ! Puis la guerre éclata, et le film fut terminé à Hollywood. A qui doit-on alors cette somptueuse aventure tirée des Mille et Une Nuits ? Sa splendeur visuelle, ses décors et ses couleurs incroyables de beauté appartiennent totalement à l'esthétique de Michael Powell, habilement servie par le travail du chef opérateur Georges Périnal. C'est un véritable enchantement, un plaisir de tous les instants (auxquels participent les comédiens, l'inquiétant Conrad Veidt autant que le bondissant Sabu), la richesse visuelle contrebalançant quelques faiblesses du script. Si vos enfants ont aimé Aladdin, des studios Disney, qu'ils regardent Le Voleur de Bagdad : ils verront la même histoire, en chair, en os, magie et Technicolor véritables.
Année : 1940
Télévision : 26 octobre 2017 à 13:35-15:35 sur Arte
film fantastique
Jaffar a ravi son trône à Ahmad et l'a jeté en prison. Ce dernier y rencontre le futé Abu et s'évade. Ahmad rencontre alors l'amour sous les traits d'une merveilleuse princesse. Superbe conte des Mille et Une Nuits, dans un Technicolor chatoyant. A vous faire voler sur un tapis ! - Critique : Film de Michael Powell, Ludwig Berger et Tim Whelan (The Thief of Bagdad, GB/USA, 1940). Scénario : Lajos Biro, d'après Miles Malleson. Image : Georges Périnal, Osmond Borodaille. Musique : Miklos Rozsa. 105 mn. VM. Avec Conrad Veidt : Jaffar. Sabu : Abu. John Justin : le roi Ahmad. June Duprez : la princesse. Rex Ingram : le génie.
Genre : aventures exotiques et magnifiques.
Un jeune aveugle et son chien sont recueillis dans une riche maison : l'homme raconte son histoire. Il est en réalité Ahmad, prince héritier dépossédé de son trône par le méchant vizir Jaffar. Il s'est évadé grâce à un jeune voleur, Abu, et s'est épris de la fille du sultan de Bassora, que convoitait Jaffar. Jaffar a transformé Abu en chien et rendu Ahmad aveugle...
Le film a une curieuse histoire, puisqu'il a vu passer une demi-douzaine de cinéastes : Alexander Korda, le producteur, ayant vite compris que Ludwig Berger ne serait pas à la hauteur du grand spectacle en Technicolor dont il rêvait, appela Michael Powell en renfort, tandis que Tim Whelan tournait certaines scènes. Il y eut donc par moments trois équipes de tournage simultanées ! Puis la guerre éclata, et le film fut terminé à Hollywood. A qui doit-on alors cette somptueuse aventure tirée des Mille et Une Nuits ? Sa splendeur visuelle, ses décors et ses couleurs incroyables de beauté appartiennent totalement à l'esthétique de Michael Powell, habilement servie par le travail du chef opérateur Georges Périnal. C'est un véritable enchantement, un plaisir de tous les instants (auxquels participent les comédiens, l'inquiétant Conrad Veidt autant que le bondissant Sabu), la richesse visuelle contrebalançant quelques faiblesses du script. Si vos enfants ont aimé Aladdin, des studios Disney, qu'ils regardent Le Voleur de Bagdad : ils verront la même histoire, en chair, en os, magie et Technicolor véritables.
Année : 1940