Birth of Beauty

Netflix : 2 mars 2024

Sa Geum Ran est une femme au foyer âgée de 33 ans. Elle passe ses journées à faire le ménage et s'occuper de sa belle-famille et de son mari Lee Kang Jun. Seulement, ces derniers tournent toujours Geum Ran en ridicule car elle est une femme en surpoids et très peu attirante. Sa Geum Ran se retrouve un jour impliquée dans un accident et en sort vivante. Blessée, elle demande de l'aide à Han Tae Hee, un riche héritier et chirurgien plastique au sein d'un hôpital très renommé. Tae Hee est un jeune homme âgé de 31 ans. Malgré sa situation idéale et son look bien entretenu, il a le cœur brisé suite à un grand choc psychologique. Il accepte cependant la requête de Geum Ran dans le but de reconquérir la femme qu'il aime. Tae Hee transforme alors Sa Geum Ran en Sa Ra, une femme belle et charmante. Mais au cours du processus, il ne s'attendait sûrement pas à tomber amoureux de la jeune femme.

Avec : Han Ye-seul, Ju Sang-uk, Jung Gyu-woon, Wang Ji-hye, Han Sang-jin, Han Jin-hee, Kim Yeong-ae

Youth of May

Netflix : 1er mars 2024

En mai 1980, alors que le soulèvement de Gwangju se prépare, un étudiant en médecine tombe fou amoureux d'une jeune infirmière.

De : Song Min-yeop, Lee Kang

Avec : Lee Do-hyun, Go Min-si, Lee Sang-yi, Geum Sae-rok, Oh Man-seok, Kim Won-hae, Uhm Hyo-seop

Youth of May

Netflix : 6 mai 2023

En mai 1980, alors que le soulèvement de Gwangju se prépare, un étudiant en médecine tombe fou amoureux d'une jeune infirmière.

De : Lee Kang

Avec : Lee Do-hyun, Go Min-si, Lee Sang-yi, Geum Sae-rok, Oh Man-seok, Kim Won-hae, Uhm Hyo-seop

Birth of Beauty

Netflix : 6 mai 2023

Sa Geum Ran est une femme au foyer âgée de 33 ans. Elle passe ses journées à faire le ménage et s'occuper de sa belle-famille et de son mari Lee Kang Jun. Seulement, ces derniers tournent toujours Geum Ran en ridicule car elle est une femme en surpoids et très peu attirante. Sa Geum Ran se retrouve un jour impliquée dans un accident et en sort vivante. Blessée, elle demande de l'aide à Han Tae Hee, un riche héritier et chirurgien plastique au sein d'un hôpital très renommé. Tae Hee est un jeune homme âgé de 31 ans. Malgré sa situation idéale et son look bien entretenu, il a le cœur brisé suite à un grand choc psychologique. Il accepte cependant la requête de Geum Ran dans le but de reconquérir la femme qu'il aime. Tae Hee transforme alors Sa Geum Ran en Sa Ra, une femme belle et charmante. Mais au cours du processus, il ne s'attendait sûrement pas à tomber amoureux de la jeune femme.

Avec : Han Ye-seul, Joo Sang-wook, Jung Gyu-woon, Wang Ji-hye, Han Sang-jin, Han Jin-hee, Kim Young-ae

Days

Télévision : 14 mars 2023 à 01:10-03:10 sur Arte

film : drame

Immigré à Bangkok à la recherche d'une vie meilleure, Non, un jeune Laotien, court désespérément après une activité non déclarée qui lui permettrait d'arrondir ses fins de mois. Kang, quinquagénaire, ne parvient pas à soigner son cou qui le fait souffrir depuis des années, un mal qui le ronge et l'empêche de mener une existence normale en dépit de tous les traitements qu'il a tentés. Ces deux êtres esseulés finissent par se rencontrer fortuitement dans une des rues de la capitale thaïlandaise, et trouvent vite un terrain d'entente. Contre rémunération, Non accepte de prodiguer des massages réconfortants lors de la nuit suivante... - Critique : Un homme, tee-shirt blanc, regarde dehors. Il est assis derrière une grande baie vitrée miroitante, où se découpe l’ombre projetée d’un arbre. Une diagonale lumineuse barre son visage. À côté de lui est posé un verre d’eau. La pluie se met à tomber, en faisant du bruit. Le plan-séquence, fixe, dure un long moment. On savoure la composition, en sachant qu’on part pour un lent voyage. Le genre d’expérience impossible à vivre devant son ordinateur. Il faut être en condition, c’est-à-dire dans une salle de cinéma. Qui mieux que Tsai Ming-liang magnifie la lenteur ? Ne pas se tromper : ce mot renvoie, chez le cinéaste taïwanais à une esthétique en soi. Synonyme de torpeur, inertie, vide, plénitude, silence, solitude, présence, absence. Depuis Les Chiens errants (2013), celui dont on a admiré bien des œuvres (Vive l’amour, Goodbye, Dragon Inn, I Don’t Want to Sleep Alone… ) avait cessé de faire des films pour le cinéma, en choisissant plutôt de montrer des installations ou des films courts pour les galeries et les musées. Incursion logique dans le monde des arts, tant son sens des couleurs, des cadrages et de la durée n’obéissaient plus vraiment aux règles de la fiction et tendaient vers une forme d’épure plastique 1. Days marque donc son retour au cinéma, à travers l’histoire très simple d’une rencontre, à Bangkok. L’homme qu’on a vu derrière la vitre n’est autre que le fascinant Lee Kang-sheng, acteur fétiche du cinéaste depuis ses débuts, qu’on voit vieillir de film en film sans perdre son charisme. On devine qu’il est là en touriste. Il erre comme une âme en peine dans la ville, il semble accablé de fatigue, perclus de douleur. Frappé d’un mal mystérieux, il passe un moment chez un acupuncteur. En parallèle, on suit le quotidien d’un homme plus jeune, occupé à faire la cuisine et à vendre des vêtements dans la rue. C’est aussi un prostitué occasionnel, auquel l’étranger fait appel une nuit dans sa chambre d’hôtel. Cérémonie charnelle, sensuelle et silencieuse, aux gestes étonnants. Car ce qui compte n’est pas le rapport sexuel, conclusion très rapide. Mais la très longue séance de massage, à la fois doux et rude, qui le précède. Masser, palper, frictionner, rincer, laver, oindre sont les actions de ce film aussi corporel que spirituel, érotique que psychique, aiguillonné par toutes sortes d’éléments et d’énergies — l’eau, le feu, les aliments. Et où percent parfois quelques notes de loufoquerie. L’ennui qui guette est sans cesse repoussé. L’expérience tout entière est dirigée vers le relâchement et la cure. On en ressort parfaitement détendu. 1 Une grande manifestation (regroupant exposition, rétrospective, performance) est organisée au Centre Pompidou, jusqu’au 2 janvier 2023.

Année : 2020

Avec : Anong Houngheuangsy, Lee Kang-Sheng