Télévision : 17 décembre à 02:10-03:10 sur France 2
série dramatique
Paris première. Saison:1 - Episode:6 - Monica Bellucci emmène Gaspard chez Adrien à la campagne. Le directeur présente ses excuses à son directeur artistique et le convainc de reprendre sa place au cabaret. La première décision d'Adrien est de renvoyer Monica, pour le plus grand plaisir de cette dernière. Il a également sa petite idée sur l'identité de la nouvelle meneuse de revue. Pendant ce temps, Linette est nommée première danseuse par Babeth... - Critique : Adieu plumes et paillettes… Gaspard Berthille (Alex Lutz) s’est résigné à vendre le cabaret de son père, le Tout-Paris, qui sera bientôt transformé en supermarché. Spectacle vivant contre chaîne du froid, sublimation collective contre grande distribution… L’anéantissement programmé du décor enchanté de l’enfance se révèle insupportable pour Gaspard : il annule la vente et se lance dans la création d’un nouveau show pour tenter de sauver son « Cinéma Paradiso » à lui, avec l’aide de toute l’équipe. Virée énamourée dans les coulisses du monde du spectacle, comédie du travail qui célèbre le goût de la troupe, ces six épisodes, coproduits par l’ex-agent Dominique Besnehard et réalisés par Marc Fitoussi, marchent sur les traces de Dix pour cent, réussite que l’on connaît, à laquelle tous deux étaient déjà associés. Mais là où cette série nous a fait aimer fort un petit groupe d’humains – qui eux-mêmes aimaient le cinéma un peu plus que la vie –, Ça, c’est Paris omet le fin travail de tissage qui fait naître l’attachement et tombe à pieds joints dans le ringard qu’elle s’ingénie à nimber de tendresse. La nostalgie ne se décrète pas. Faute d’éprouver cette douce piqûre, on se réjouit de l’irruption de Nicolas Maury (inoubliable Hervé de Dix pour cent) dans le rôle d’un metteur en scène Deus ex machina. Loin des dialogues appliqués et des ressorts boulevardiers, l’occasion de goûter un peu de cette irrévérence déliée qui fait l’esprit cabaret et que la série a malheureusement laissée au vestiaire. Ça, c’est Paris. À partir du 20 novembre france.tv. 6 × 52 mn. Diffusion des deux premiers épisodes mercredi 27 novembre à 21h05 sur France 2.
Année : 2024
Avec : Alex Lutz, Anne Marivin, Baril Delphine, Bernard Le, Charlotte de, Florence Thomassin, Katarzyna Sawczuk, Monica Bellucci, Nastasia Caruge, Nicolas Maury, Salomé Dewaels, Xin Wang
Télévision : 17 décembre à 01:10-02:10 sur France 2
série dramatique
Parigi. Saison:1 - Episode:5 - Monica Bellucci sera finalement la nouvelle meneuse de revue. Et grâce à elle et à une grande campagne d'affichage dans Paris, le futur spectacle affiche déjà presque complet. L'équipe du cabaret sabre le champagne en oubliant une seule chose : l'actrice italienne ne sait pas du tout danser. C'est du moins ce qu'elle veut faire croire à la troupe avec la complicité d'Adrien. Lui rêve de son idole, Lisette Malidor, elle, à 60 ans, se trouve ridicule dans ses costumes à plumes et à froufrous. Lorsqu'il apprend que Monica a changé d'avis, Gaspard va faire tout son possible pour tenter de la retenir... - Critique : Adieu plumes et paillettes… Gaspard Berthille (Alex Lutz) s’est résigné à vendre le cabaret de son père, le Tout-Paris, qui sera bientôt transformé en supermarché. Spectacle vivant contre chaîne du froid, sublimation collective contre grande distribution… L’anéantissement programmé du décor enchanté de l’enfance se révèle insupportable pour Gaspard : il annule la vente et se lance dans la création d’un nouveau show pour tenter de sauver son « Cinéma Paradiso » à lui, avec l’aide de toute l’équipe. Virée énamourée dans les coulisses du monde du spectacle, comédie du travail qui célèbre le goût de la troupe, ces six épisodes, coproduits par l’ex-agent Dominique Besnehard et réalisés par Marc Fitoussi, marchent sur les traces de Dix pour cent, réussite que l’on connaît, à laquelle tous deux étaient déjà associés. Mais là où cette série nous a fait aimer fort un petit groupe d’humains – qui eux-mêmes aimaient le cinéma un peu plus que la vie –, Ça, c’est Paris omet le fin travail de tissage qui fait naître l’attachement et tombe à pieds joints dans le ringard qu’elle s’ingénie à nimber de tendresse. La nostalgie ne se décrète pas. Faute d’éprouver cette douce piqûre, on se réjouit de l’irruption de Nicolas Maury (inoubliable Hervé de Dix pour cent) dans le rôle d’un metteur en scène Deus ex machina. Loin des dialogues appliqués et des ressorts boulevardiers, l’occasion de goûter un peu de cette irrévérence déliée qui fait l’esprit cabaret et que la série a malheureusement laissée au vestiaire. Ça, c’est Paris. À partir du 20 novembre france.tv. 6 × 52 mn. Diffusion des deux premiers épisodes mercredi 27 novembre à 21h05 sur France 2.
Année : 2024
Avec : Alex Lutz, Anne Marivin, Anne-Elisabeth Lemoine, Baril Delphine, Charlotte de, Florence Thomassin, Katarzyna Sawczuk, Monica Bellucci, Nastasia Caruge, Nicolas Maury, Salomé Dewaels, Xin Wang
Télévision : 16 décembre à 03:00-03:55 sur France 2
série dramatique
Paris folie. Saison:1 - Episode:3 - En échange d'une jolie contribution financière, Gaspard se doit d'engager Adrien Baudry comme directeur artistique, en charge de la création de la nouvelle revue. Louboutin, ulcéré, jette l'éponge et quitte le navire. Mais le garçon sort d'un hôpital psychiatrique et ne fait rien pour s'accorder avec la troupe. Il parvient en effet à froisser les artistes dès sa première intervention en imposant des auditions humiliantes aux danseurs. Devant la fronde qui s'organise, Gaspard tente maladroitement de rattraper les effets délétères de son attitude hautaine et déplacée... - Critique : Adieu plumes et paillettes… Gaspard Berthille (Alex Lutz) s’est résigné à vendre le cabaret de son père, le Tout-Paris, qui sera bientôt transformé en supermarché. Spectacle vivant contre chaîne du froid, sublimation collective contre grande distribution… L’anéantissement programmé du décor enchanté de l’enfance se révèle insupportable pour Gaspard : il annule la vente et se lance dans la création d’un nouveau show pour tenter de sauver son « Cinéma Paradiso » à lui, avec l’aide de toute l’équipe. Virée énamourée dans les coulisses du monde du spectacle, comédie du travail qui célèbre le goût de la troupe, ces six épisodes, coproduits par l’ex-agent Dominique Besnehard et réalisés par Marc Fitoussi, marchent sur les traces de Dix pour cent, réussite que l’on connaît, à laquelle tous deux étaient déjà associés. Mais là où cette série nous a fait aimer fort un petit groupe d’humains – qui eux-mêmes aimaient le cinéma un peu plus que la vie –, Ça, c’est Paris omet le fin travail de tissage qui fait naître l’attachement et tombe à pieds joints dans le ringard qu’elle s’ingénie à nimber de tendresse. La nostalgie ne se décrète pas. Faute d’éprouver cette douce piqûre, on se réjouit de l’irruption de Nicolas Maury (inoubliable Hervé de Dix pour cent) dans le rôle d’un metteur en scène Deus ex machina. Loin des dialogues appliqués et des ressorts boulevardiers, l’occasion de goûter un peu de cette irrévérence déliée qui fait l’esprit cabaret et que la série a malheureusement laissée au vestiaire. Ça, c’est Paris. À partir du 20 novembre france.tv. 6 × 52 mn. Diffusion des deux premiers épisodes mercredi 27 novembre à 21h05 sur France 2.
Année : 2024
Avec : Alex Lutz, Anne Marivin, Baril Delphine, Bernard Le, Charlotte de, Dominique Besnehard, Florence Thomassin, Galia Salimo, Katarzyna Sawczuk, Nicolas Maury, Salomé Dewaels, Xin Wang
Télévision : 16 décembre à 01:18-02:05 sur France 2
série dramatique
Paris adieu. Saison:1 - Episode:1 - Gaspard Berthille, directeur du Tout-Paris, un cabaret hérité de son père, peine à maintenir le succès de l'établissement. Il est sur le point de le vendre à un puissant groupe de supermarchés et promet à sa femme Prune une nouvelle vie loin de la capitale. Mais il faut d'abord annoncer la nouvelle à la troupe, très attachée au lieu... - Critique : Adieu plumes et paillettes… Gaspard Berthille (Alex Lutz) s’est résigné à vendre le cabaret de son père, le Tout-Paris, qui sera bientôt transformé en supermarché. Spectacle vivant contre chaîne du froid, sublimation collective contre grande distribution… L’anéantissement programmé du décor enchanté de l’enfance se révèle insupportable pour Gaspard : il annule la vente et se lance dans la création d’un nouveau show pour tenter de sauver son « Cinéma Paradiso » à lui, avec l’aide de toute l’équipe. Virée énamourée dans les coulisses du monde du spectacle, comédie du travail qui célèbre le goût de la troupe, ces six épisodes, coproduits par l’ex-agent Dominique Besnehard et réalisés par Marc Fitoussi, marchent sur les traces de Dix pour cent, réussite que l’on connaît, à laquelle tous deux étaient déjà associés. Mais là où cette série nous a fait aimer fort un petit groupe d’humains – qui eux-mêmes aimaient le cinéma un peu plus que la vie –, Ça, c’est Paris omet le fin travail de tissage qui fait naître l’attachement et tombe à pieds joints dans le ringard qu’elle s’ingénie à nimber de tendresse. La nostalgie ne se décrète pas. Faute d’éprouver cette douce piqûre, on se réjouit de l’irruption de Nicolas Maury (inoubliable Hervé de Dix pour cent) dans le rôle d’un metteur en scène Deus ex machina. Loin des dialogues appliqués et des ressorts boulevardiers, l’occasion de goûter un peu de cette irrévérence déliée qui fait l’esprit cabaret et que la série a malheureusement laissée au vestiaire. Ça, c’est Paris. À partir du 20 novembre france.tv. 6 × 52 mn. Diffusion des deux premiers épisodes mercredi 27 novembre à 21h05 sur France 2.
Année : 2024
Avec : Alex Lutz, Anne Marivin, Baril Delphine, Charlotte de, Dominique Besnehard, Florence Thomassin, Galia Salimo, Katarzyna Sawczuk, Nastasia Caruge, Nicolas Maury, Salomé Dewaels, Xin Wang
Télévision : 16 décembre à 01:12-02:05 sur France 2
série dramatique
Paris adieu. Saison:1 - Episode:1 - Gaspard Berthille, directeur du Tout-Paris, un cabaret hérité de son père, peine à maintenir le succès de l'établissement. Il est sur le point de le vendre à un puissant groupe de supermarchés et promet à sa femme Prune une nouvelle vie loin de la capitale. Mais il faut d'abord annoncer la nouvelle à la troupe, très attachée au lieu... - Critique : Adieu plumes et paillettes… Gaspard Berthille (Alex Lutz) s’est résigné à vendre le cabaret de son père, le Tout-Paris, qui sera bientôt transformé en supermarché. Spectacle vivant contre chaîne du froid, sublimation collective contre grande distribution… L’anéantissement programmé du décor enchanté de l’enfance se révèle insupportable pour Gaspard : il annule la vente et se lance dans la création d’un nouveau show pour tenter de sauver son « Cinéma Paradiso » à lui, avec l’aide de toute l’équipe. Virée énamourée dans les coulisses du monde du spectacle, comédie du travail qui célèbre le goût de la troupe, ces six épisodes, coproduits par l’ex-agent Dominique Besnehard et réalisés par Marc Fitoussi, marchent sur les traces de Dix pour cent, réussite que l’on connaît, à laquelle tous deux étaient déjà associés. Mais là où cette série nous a fait aimer fort un petit groupe d’humains – qui eux-mêmes aimaient le cinéma un peu plus que la vie –, Ça, c’est Paris omet le fin travail de tissage qui fait naître l’attachement et tombe à pieds joints dans le ringard qu’elle s’ingénie à nimber de tendresse. La nostalgie ne se décrète pas. Faute d’éprouver cette douce piqûre, on se réjouit de l’irruption de Nicolas Maury (inoubliable Hervé de Dix pour cent) dans le rôle d’un metteur en scène Deus ex machina. Loin des dialogues appliqués et des ressorts boulevardiers, l’occasion de goûter un peu de cette irrévérence déliée qui fait l’esprit cabaret et que la série a malheureusement laissée au vestiaire. Ça, c’est Paris. À partir du 20 novembre france.tv. 6 × 52 mn. Diffusion des deux premiers épisodes mercredi 27 novembre à 21h05 sur France 2.
Année : 2024
Avec : Alex Lutz, Anne Marivin, Baril Delphine, Charlotte de, Dominique Besnehard, Florence Thomassin, Galia Salimo, Katarzyna Sawczuk, Nastasia Caruge, Nicolas Maury, Salomé Dewaels, Xin Wang
Netflix : 23 juillet
Une jeune chanteuse douée est propulsée au rang de star grâce à un concours télévisé. Mais son véritable objectif, c'est de gagner l'amour de son père, un membre du jury
De : Anna Wieczur
Avec : Julia Kamińska, Tomasz Karolak, Adrian Majewski, Maria Pakulnis, Michal Piprowski, Katarzyna Sawczuk, Wojciech Solarz