Télévision : 1er juin à 01:32-02:55 sur France 3
film de suspense
Un Américain, Clay Douglas, débarque à Londres dans le but de percer à jour l'épais mystère qui entoure la mort de son frère, tué alors qu'il servait dans un commando des forces britanniques. Douglas est persuadé que la balle qui a mis fin à la vie du soldat était anglaise. Il obtient le nom et l'adresse de l'un des compagnons d'armes du défunt et commence son enquête. Il se heurte tout d'abord à une obscurité totale, mais finit par apprendre qu'un treizième homme, un officier des services secrets, participait à la mission qui fut fatale à son frère...
Année : 1951
De : Tourneur Jacques
Avec : David Hutcheson, Dora Bryan, Edward Rigby, Gordon Colin, Hugh Sinclair, John Bailey, Marius Goring, Marjorie Fielding, Naunton Wayne, Patricia Roc, Ray Milland, Reginald Beckwith
DVD/Blu-ray : 27 septembre 2023
Editeur : Studiocanal
Année : 1951
De : Jacques Tourneur
Avec : Ray Milland, Patricia Roc, Marius Goring, Hugh Sinclair, Naunton Wayne, Edward Rigby, Marjorie Fielding, John Bailey
Télévision : 7 mai 2018 à 22:40-00:50 sur Chérie 25
film
Belle journaliste pleine de talent, Andie demande à sa patronne de la laisser écrire un article sur les meilleurs moyens de faire échouer une histoire d'amour. Elle obtient l'aval de sa supérieure et se met à la recherche d'un cobaye. C'est alors qu'on lui présente le séduisant Ben Barry, publicitaire ambitieux, qui a fait le pari, avec deux concurrentes, de conquérir une femme en moins de dix jours. Ben entreprend de séduire Andie, tandis que cette dernière accumule les répliques et les situations susceptibles de le faire changer d'avis afin de préparer son article. Mais Ben, motivé par l'enjeu, accepte tous les caprices de la journaliste... Critique : C'est un deal : Ben dirigera une campagne de pub s'il arrive à rendre une fille raide dingue de lui en dix jours. Pas la séduire, s'en faire aimer. Andie, l'heureuse élue, est journaliste. Elle prépare, elle, un article sur ce que doivent faire les femmes pour se faire larguer. Elle multiplie, donc, gaffes et caprices, stupéfaite de voir Ben les accepter sans broncher... Très jolie idée de comédie. Hélas, les gags sont rares et la mise en scène sans rythme. Kate Hudson et Matthew McConaughey sont mignons, mais question fantaisie et charme, zéro. Ils sont si bien faits pour mal s'aimer qu'on redoute, pour eux, le happy end inévitable. P.M.
Année : 2003
Avec : Donald Petrie, Bebe Neuwirth, Matthew McConaughey, David Newman, Robert Klein, Michael Michele, Adam Goldberg, Kate Hudson, Shalom Harlow, Kathryn Hahn, Kristen Buckley, Brian Regan, Burr Steers, Michele Alexander, Jeannie Long, Thérèse DePrez, John Bailey
Télévision : 12 février 2018 à 22:45-00:45 sur Chérie 25
film : comédie
Un journaliste cynique doit couvrir le « jour de la marmotte » dans un bled perdu. Soudain, il revit éternellement la même journée. Exercice de style brillant. Bill Murray immense. Critique : Film de Harold Ramis (Groundhog Day, USA, 1993). Scénario : Danny Rubin et Harold Ramis. Image : John Bailey. Musique : George Fenton. 105 mn. VM. Avec Bill Murray : Phil Connors. Andie MacDowell : Rita Hanson. Chris Elliott : Larry. Stephen Tobolowsky : Ned Ryerson. Le genre : comédie en boucle. Présentateur météo égotiste et exaspéré, Phil Connors ne songe qu'à repartir fissa de Punx-su-tawney, ville de « bouseux » où il est venu couvrir une ridicule fête de la marmotte. La neige l'oblige à rester une nuit. Le lendemain, Phil découvre avec horreur qu'on est toujours le 2 février ; le voilà condamné à revivre indéfi-niment la même journée... La réussite d'un film se mesure parfois à sa manière de transformer pour toujours la perception d'un lieu, d'un objet, d'une personne. Dans Un jour sans fin, cela commence par une chanson, I got you babe, de Sonny and Cher, ritournelle connue qu'on ne peut plus écouter sans s'esclaffer. Elle sert ici d'intro au cauchemar perpétuel du pauvre Phil. Pourquoi Bill Murray excelle-t-il dans ce traquenard temporel qui transforme la vie en gamme de répétitions, mais aussi de possibilités ? Parce qu'il n'est jamais autant lui-même que dans le virtuel, la dérision, le détachement. Sceptique, dupe de personne, à la fois lointain et présent, il est quelqu'un de toujours déplacé, qui dérange ou que l'on dérange sans cesse. Pas synchrone, c'est son problème. Phil Connors apprend pourtant au fil de son voyage immobile à se détendre, à s'ouvrir, à aimer. Au début mufle sardonique, il finit bon Samaritain. Intelligent et vertigineux, le scénario de ce piège temporel offre toutes sortes d'hypothèses et de mises en abyme, sans toutefois brimer l'action, -laquelle coule de source. Bergson et Capra, réunis ? Chapeau. Jacques Morice
Année : 1993
Télévision : 22 janvier 2018 à 20:55-22:55 sur Chérie 25
film : comédie
Un journaliste cynique doit couvrir le « jour de la marmotte » dans un bled perdu. Soudain, il revit éternellement la même journée. Exercice de style brillant. Bill Murray immense. Critique : Film de Harold Ramis (Groundhog Day, USA, 1993). Scénario : Danny Rubin et Harold Ramis. Image : John Bailey. Musique : George Fenton. 105 mn. VM. Avec Bill Murray : Phil Connors. Andie MacDowell : Rita Hanson. Chris Elliott : Larry. Stephen Tobolowsky : Ned Ryerson. Le genre : comédie en boucle. Présentateur météo égotiste et exaspéré, Phil Connors ne songe qu'à repartir fissa de Punx-su-tawney, ville de « bouseux » où il est venu couvrir une ridicule fête de la marmotte. La neige l'oblige à rester une nuit. Le lendemain, Phil découvre avec horreur qu'on est toujours le 2 février ; le voilà condamné à revivre indéfi-niment la même journée... La réussite d'un film se mesure parfois à sa manière de transformer pour toujours la perception d'un lieu, d'un objet, d'une personne. Dans Un jour sans fin, cela commence par une chanson, I got you babe, de Sonny and Cher, ritournelle connue qu'on ne peut plus écouter sans s'esclaffer. Elle sert ici d'intro au cauchemar perpétuel du pauvre Phil. Pourquoi Bill Murray excelle-t-il dans ce traquenard temporel qui transforme la vie en gamme de répétitions, mais aussi de possibilités ? Parce qu'il n'est jamais autant lui-même que dans le virtuel, la dérision, le détachement. Sceptique, dupe de personne, à la fois lointain et présent, il est quelqu'un de toujours déplacé, qui dérange ou que l'on dérange sans cesse. Pas synchrone, c'est son problème. Phil Connors apprend pourtant au fil de son voyage immobile à se détendre, à s'ouvrir, à aimer. Au début mufle sardonique, il finit bon Samaritain. Intelligent et vertigineux, le scénario de ce piège temporel offre toutes sortes d'hypothèses et de mises en abyme, sans toutefois brimer l'action, -laquelle coule de source. Bergson et Capra, réunis ? Chapeau. Jacques Morice
Année : 1993