Jeremy Garelick : dernières sorties Netflix et dernières sorties Disney+
The Binge
Disney+ : 4 mars
Dans un avenir pas si lointain, toute consommation d'alcool et de drogues a été rendue totalement illégale par le gouvernement, à l'exception d'une nuit par an. Les lycéens Griffin, Hags et Andrew font un pèlerinage pour se rendre à la meilleure fête de la ville où tous leurs rêves deviendront réalité. Ils devront éviter leur principal fou, leurs frères et sœurs violents et les animaux sauvages errant dans les rues.
De : Jeremy Garelick
Avec : Skyler Gisondo, Dexter Darden, Eduardo Franco, Vince Vaughn, Grace Van Dien, Esteban Benito, Eileen Galindo
Murder Mystery 2
Netflix : 1er mars
Désormais détectives à plein temps, Nick et Audrey Spitz peinent à faire décoller leur agence et se retrouvent au cœur d'une affaire d'enlèvement internationale lorsque leur ami le maharaja est kidnappé au cours de son propre somptueux mariage.
De : Jeremy Garelick
Avec : Adam Sandler, Jennifer Aniston, Mark Strong, Mélanie Laurent, Jodie Turner-Smith, John Kani, Kuhoo Verma
Best Worst Weekend Ever
Netflix : 29 février
Un groupe d'ados organisent un voyage mémorable au Comic-Con pour voir leur idole, mais déboires hilarants et embrouilles diverses viennent perturber leur plan.
De : Jeremy Garelick, Robin J Stein, Daniel Bryan Franklin
Avec : Sam Ashe Arnold, Cole Sand, Brianna Reed, Tiffany Espensen, Eddie Leavy, Curran Walters, Matt Battaglia
La rupture
Télévision : 27 novembre 2017 à 20:55-22:55 sur Chérie 25
film : comédie romantique
Une comédie sentimentale qui vaut pour son sous-texte people (Jennifer-sortit-un temps- avec-Vince-sur-le-tournage-du-film) et par une vision du couple plus lasse et mélancolique qu'il n'y paraît. Côté acteurs : Vince 1, Jennifer 0. Critique : Film de Peyton Reed (The Break-up, USA, 2006) 106 mn. Scénario : Jeremy Garelick, Jay Lavender. 105 mn. VM. Avec Vince Vaughn : Gary. Jennifer Aniston : Brooke. Genre : comédie romantique pas si prévisible. Sur l'écran, Jennifer Aniston et Vince Vaughn se font une scène de ménage. Pour la petite histoire, c'est en tournant cette Rupture que débuta leur histoire d'amour, hors plateau. Les deux vedettes y offrent une image qui se veut aussi naturelle que dans la vie : on peut oublier que Vince Vaughn joue un guide touristique de Chicago dès qu'il quitte sa tenue de travail, et il est permis de ne voir en Jennifer Aniston qu'elle-même, et non la petite employée d'une galerie d'art... Ce mélange des genres est un peu douteux, mais il donne finalement une certaine vérité à un film dont l'ambition se borne essentiellement à réassaisonner des recettes éprouvées, à mi-chemin entre Quand Harry rencontre Sally et la série télé Friends. Brooke, l'hôtesse de l'art, et Gary, l'aventurier des visites en bus, ont donc un problème : après s'être engueulés pour pas grand-chose, ils vont trouver des raisons toujours plus sérieuses de ne pas se réconcilier, jusqu'à ce qu'on finisse par s'inquiéter pour le happy end, qu'on croyait écrit dans le marbre hollywoodien. La rupture ne serait pas, alors, un grand coup d'éclat furibard, mais un insidieux éloignement. Cette modeste note mélancolique est plutôt juste. Sans doute parce qu'elle résonne surtout du côté du personnage masculin, inattendu dans ce registre. La femme hérite, plus platement, du gros chagrin. Le film met ainsi en valeur les qualités d'acteur de Vince Vaughn, et les limites de Jennifer Aniston. Un motif de rupture. Frédéric Strauss
Année : 2006