Télévision : 17 août à 13:30-15:20 sur Arte
film : comédie dramatique
Après avoir découvert incidemment une photographie, Etienne est persuadé que sa femme, Marthe, le trompe. Il entreprend aussitôt de filer la suspecte afin de réunir les preuves de son infortune. Dans le même temps, il s'associe avec ses trois compères, Bouly, Simon et Daniel, pour acheter une maison de campagne dans un endroit parfaitement calme, dont ils comprennent trop tard que la sérénité n'était due qu'à la longue grève des pilotes de ligne, l'aéroport étant proche. Le temps des crises semble venu pour les quatre amis. Bouly a dû accepter le départ de sa femme, Daniel ne peut plus cacher son homosexualité et Simon étouffe sous les embrassades pathologiques de sa mère... - Critique : Trois ans ont passé (dans l’intrigue) depuis Un éléphant ça trompe énormément. Étienne, Daniel, Simon et Bouly, copains à la vie à la mort, connaissent des déboires sentimentaux… Le succès colossal d’Un éléphant… incita Yves Robert et Jean-Loup Dabadie à récidiver. Bien leur en a pris, car cette suite est encore plus réussie que l’original. Le pot aux roses de la maison située près de l’aéroport et les parties de tennis absurdes (casque sur les oreilles) qui en découlent sont des moments d’anthologie. Le film, souvent hilarant, connaît parfois de brusques ruptures de ton (un deuil, un mariage inattendu). Immatures, patauds, les hommes ne sont pas à la fête dans cette ronde boulevardière menée mine de rien par les femmes. Allégresse et mélancolie y font bon ménage, de sorte que la récréation a aussi le goût d’une chronique sur le temps qui passe. Pour notre plaisir, Bedos bredouille, Lanoux fanfaronne, Rochefort plastronne et Brasseur gouaille. Et le tout fait le même effet qu’une madeleine.
Année : 1977
Avec : Claude Brasseur, Daniel Gélin, Danièle Delorme, Elisabeth Margoni, Gaby Sylvia, Guy Bedos, Jacquinot Carole, Jean Rochefort, Josiane Balasko, Marthe Villalonga, Toni Arasse, Victor Lanoux
Télévision : 22 juillet à 20:55-22:45 sur Arte
film : comédie dramatique
Après avoir découvert incidemment une photographie, Etienne est persuadé que sa femme, Marthe, le trompe. Il entreprend aussitôt de filer la suspecte afin de réunir les preuves de son infortune. Dans le même temps, il s'associe avec ses trois compères, Bouly, Simon et Daniel, pour acheter une maison de campagne dans un endroit parfaitement calme, dont ils comprennent trop tard que la sérénité n'était due qu'à la longue grève des pilotes de ligne, l'aéroport étant proche. Le temps des crises semble venu pour les quatre amis. Bouly a dû accepter le départ de sa femme, Daniel ne peut plus cacher son homosexualité et Simon étouffe sous les embrassades pathologiques de sa mère... - Critique : | Genre : mauvaise passe de quadras. Trois ans (dans l'intrigue) ont passé depuis Un éléphant ça trompe énormément. Etienne, Daniel, Simon et Bouly, copains à la vie à la mort, connaissent des déboires sentimentaux. A commencer par Etienne, qui se met à filer sa femme... Le succès colossal d'Un éléphant ça trompe énormément (quel titre, quand on y songe !) incita Yves Robert et Jean-Loup Dabadie, le dialoguiste, à récidiver. Bien leur en a pris, car cette suite est encore plus réussie que l'original. Le pot aux roses de la maison de campagne située tout près de l'aéroport et les parties de tennis absurdes (casque sur les oreilles) qui en découlent sont des moments d'anthologie. Le film, souvent hilarant, connaît parfois de brusques ruptures de ton (un deuil, un mariage inattendu). Immatures, patauds, éternellement ados, les hommes ne sont pas vraiment à la fête dans cette ronde boulevardière menée mine de rien par les femmes. Allégresse et mélancolie y font bon ménage, de sorte que la récréation a aussi le goût d'une chronique sur le temps qui passe. Pour notre plaisir, Bedos bredouille, Lanoux fanfaronne, Rochefort plastronne et Brasseur gouaille. Et le tout fait le même effet qu'une madeleine. — Jacques Morice
Année : 1977
Avec : Claude Brasseur, Daniel Gélin, Danièle Delorme, Elisabeth Margoni, Gaby Sylvia, Guy Bedos, Jacquinot Carole, Jean Rochefort, Josiane Balasko, Marthe Villalonga, Toni Arasse, Victor Lanoux