Télévision : 21 novembre à 08:30-09:00 sur BFM TV
magazine politique
Neila Latrous reçoit Vincent Lemire, Historien, professeur à l'Université Gustave Eiffel, dans Face-à-Face, ce jeudi 3 octobre 2024.
Télévision : 18 novembre à 22:05-23:15 sur TF1
série d'aventures
Quentin. Saison:1 - Episode:4 - Après avoir été mises en échec à Versailles par les trafiquants d'art, les Cat's Eyes mettent sur pied un échange de tableaux avec eux. Rendez-vous est donné près de la Seine et des bateaux mouches pour cette opération à hauts risques. Elles ignorent qu'elles sont suivies et surveillées à la fois par les trafiquants et par les forces de l'ordre... - Critique : « Trois vives panthères, qui en un éclair, savent bondir sans un bruit… » Combien de fois les enfants des années 1980 ont-ils entonné le générique français de Signé Cat’s Eyes, animé japonais diffusé sur FR3 à partir de 1986 ? Tam, Sylia et Alexia sont de retour dans une déclinaison en chair, en os et à Paris. Pour faire la lumière sur la mort de leur père, un marchand d’art, ces intrépides cambrioleuses enchaînent les vols de tableaux, tout en gérant (mal) leur vie intime. On pense moins au Nicky Larson de Philippe Lacheau, remake amusé d’un autre manga de Tsukasa Hōjō, qu’au Lupin de Netflix. Conçue avec son concurrent Prime Video, Cat’s Eyes enchaîne les cartes postales : escalade de la tour Eiffel, fusillade dans les sous-sols de Versailles, jeu du chat et de la souris sur la Seine… Le public international en aura pour ses sous dans des scènes d’action flatteuses pour Paris, moins pour la sécurité de ses monuments. Pour le reste, les dialogues de la série sont fades, ses enjeux émotionnels convenus et son côté pop pas assez assumé — ses méchants, piètrement incarnés, sont plus gênants qu’effrayants. Malgré un concept alléchant (surtout pour les quadras nostalgiques) et trois actrices énergiques, le résultat manque de saveur.
Année : 2024
De : Alexandre Laurent
Avec : Camille Lou, Carole Bouquet, Cindy Bruna, Claire Romain, Constance Labbé, De Matias, Gilbert Melki, Guillaume de, Juliette Plumecocq-Mech, Léon Plazol, MB14, Simon Ehrlacher
Télévision : 18 novembre à 21:10-22:05 sur TF1
série d'aventures
Alexia. Saison:1 - Episode:3 - Les Cat's Eyes ont toujours comme objectif de faire la lumière sur la disparation de leur père la décennie précédente. Elles profitent alors d'une vente aux enchères très privée et costumée qui se déroule au Château de Versailles pour tenter de dérober des tableaux. Une mission dangereuse mais qui n'effraie pas les jeunes femmes qui sont prêtes à tout pour réussir leur objectif. Elles espèrent en effet pouvoir récupérer des oeuvres ayant appartenu à leur père malgré la concurrence de trafiquants d'art, également à la recherche d'oeuvres à fortes valeurs. - Critique : « Trois vives panthères, qui en un éclair, savent bondir sans un bruit… » Combien de fois les enfants des années 1980 ont-ils entonné le générique français de Signé Cat’s Eyes, animé japonais diffusé sur FR3 à partir de 1986 ? Tam, Sylia et Alexia sont de retour dans une déclinaison en chair, en os et à Paris. Pour faire la lumière sur la mort de leur père, un marchand d’art, ces intrépides cambrioleuses enchaînent les vols de tableaux, tout en gérant (mal) leur vie intime. On pense moins au Nicky Larson de Philippe Lacheau, remake amusé d’un autre manga de Tsukasa Hōjō, qu’au Lupin de Netflix. Conçue avec son concurrent Prime Video, Cat’s Eyes enchaîne les cartes postales : escalade de la tour Eiffel, fusillade dans les sous-sols de Versailles, jeu du chat et de la souris sur la Seine… Le public international en aura pour ses sous dans des scènes d’action flatteuses pour Paris, moins pour la sécurité de ses monuments. Pour le reste, les dialogues de la série sont fades, ses enjeux émotionnels convenus et son côté pop pas assez assumé — ses méchants, piètrement incarnés, sont plus gênants qu’effrayants. Malgré un concept alléchant (surtout pour les quadras nostalgiques) et trois actrices énergiques, le résultat manque de saveur.
Année : 2024
De : Alexandre Laurent
Avec : Camille Lou, Carole Bouquet, Cindy Bruna, Claire Romain, Constance Labbé, Gilbert Melki, Guillaume de, Juliette Plumecocq-Mech, Loryn Nounay, Léon Plazol, MB14, Simon Ehrlacher
Télévision : 15 novembre à 15:45-17:43 sur Canal +
film d'aventures
Milieu du XVIIe siècle. Originaire de Gascogne, le jeune D'Artagnan décide de monter sur Paris afin d'accomplir son rêve : entrer dans la compagnie des mousquetaires du roi Louis XIII. Un jour, bien malgré lui, il provoque en duel trois des plus fines lames du royaume, Athos, Aramis et Porthos. Mais alors qu'il s'apprête à croiser le fer avec eux, les hommes du cardinal de Richelieu interviennent pour les arrêter. Le jeune homme se rallie alors aux côtés des trois mousquetaires. Tandis que le royaume est menacé de guerre, D'Artagnan se voit confier une mission cruciale : il est envoyé à Londres pour récupérer les bijoux de la reine Anne d'Autriche. - Critique : Increvables, les (super-)héros d’Alexandre Dumas virevoltent à l’écran depuis le temps du muet. Selon que l’on chérisse la version Technicolor et bondissante de George Sidney (1948), le pastiche luxueux de Richard Lester (1973) ou la mélancolie souriante de Bertrand Tavernier (1994), d’Artagnan adopte, dans le tri sélectif de la mémoire, les traits de Gene Kelly, Michael York ou Philippe Noiret — trois parmi des légions. Chez Martin Bourboulon, le cadet gascon censé convertir la jeunesse au cinéma de cape et d’épée possède la fougue et la candeur (relativement) juvénile de François Civil (Le Chant du loup, Bac Nord), bonne pioche d’un casting qui en compte d’autres : Vicky Krieps (Anne d’Autriche), Éric Ruf (Richelieu). Sans oublier Louis Garrel : d’une drôlerie irrésistible, son Louis XIII, tout en autorité maladroite et jalousie téléguidée, avec sa diction étrange, fait regretter qu’il ne s’agisse pas d’un royal biopic. Autour de d’Artagnan, les mousquetaires composent un bouquet contrasté de masculinités contemplées depuis le XXIe siècle. Vincent Cassel campe un Athos vieillissant, accablé d’avoir trahi son grand amour et bientôt accusé de féminicide — péripétie ajoutée par les scénaristes, de même qu’un complot religieux et un attentat, carrément, au cas où on s’ennuierait avec la seule affaire des ferrets de la reine relatée par Dumas… Romain Duris, relooké en pirate des Caraïbes, s’empare de la conscience élastique d’Aramis, tandis que le Porthos de Pio Marmaï se révèle rigolard, ripailleur et bisexuel, et pourquoi pas ? Bizarrement, la remise au goût du jour passe à la fois par ce dépoussiérage et par le choix, assez hideux, d’une photo comme passée au brou de noix, histoire de « faire époque ». Capable du bon (Papa ou maman) comme du pire (Eiffel), Martin Bourboulon emmène cette aventure pantagruélique au pas de charge, plongeant en plan-séquence dans la mêlée agitée d’un combat à l’épée ou tenant au contraire un affrontement hors champ, appuyant les effets dans les intrigues de cour mais s’amusant, à raison, des vénéneuses vilenies de Milady. Il faut dire qu’Eva Green, sapée en héroïne de manga, semble née pour jouer l’illustre méchante. Si le grand public est au rendez-vous de ce divertissant blockbuster tricolore, il aura sûrement envie de la retrouver en majesté dans le deuxième volet, le 13 décembre. En tout cas, chez Pathé, il y en a qui croisent les doigts.
Année : 2023
De : Martin Bourboulon
Avec : Eric Ruf, Eva Green, François Civil, Jacob Fortune-Lloyd, Louis Garrel, Lyna Khoudri, Marc Barbé, Patrick Mille, Pio Marmaï, Romain Duris, Vicky Krieps, Vincent Cassel
Télévision : 15 novembre à 15:45-17:42 sur Canal +
film d'aventures
Milieu du XVIIe siècle. Originaire de Gascogne, le jeune D'Artagnan décide de monter sur Paris afin d'accomplir son rêve : entrer dans la compagnie des mousquetaires du roi Louis XIII. Un jour, bien malgré lui, il provoque en duel trois des plus fines lames du royaume, Athos, Aramis et Porthos. Mais alors qu'il s'apprête à croiser le fer avec eux, les hommes du cardinal de Richelieu interviennent pour les arrêter. Le jeune homme se rallie alors aux côtés des trois mousquetaires. Tandis que le royaume est menacé de guerre, D'Artagnan se voit confier une mission cruciale : il est envoyé à Londres pour récupérer les bijoux de la reine Anne d'Autriche. - Critique : Increvables, les (super-)héros d’Alexandre Dumas virevoltent à l’écran depuis le temps du muet. Selon que l’on chérisse la version Technicolor et bondissante de George Sidney (1948), le pastiche luxueux de Richard Lester (1973) ou la mélancolie souriante de Bertrand Tavernier (1994), d’Artagnan adopte, dans le tri sélectif de la mémoire, les traits de Gene Kelly, Michael York ou Philippe Noiret — trois parmi des légions. Chez Martin Bourboulon, le cadet gascon censé convertir la jeunesse au cinéma de cape et d’épée possède la fougue et la candeur (relativement) juvénile de François Civil (Le Chant du loup, Bac Nord), bonne pioche d’un casting qui en compte d’autres : Vicky Krieps (Anne d’Autriche), Éric Ruf (Richelieu). Sans oublier Louis Garrel : d’une drôlerie irrésistible, son Louis XIII, tout en autorité maladroite et jalousie téléguidée, avec sa diction étrange, fait regretter qu’il ne s’agisse pas d’un royal biopic. Autour de d’Artagnan, les mousquetaires composent un bouquet contrasté de masculinités contemplées depuis le XXIe siècle. Vincent Cassel campe un Athos vieillissant, accablé d’avoir trahi son grand amour et bientôt accusé de féminicide — péripétie ajoutée par les scénaristes, de même qu’un complot religieux et un attentat, carrément, au cas où on s’ennuierait avec la seule affaire des ferrets de la reine relatée par Dumas… Romain Duris, relooké en pirate des Caraïbes, s’empare de la conscience élastique d’Aramis, tandis que le Porthos de Pio Marmaï se révèle rigolard, ripailleur et bisexuel, et pourquoi pas ? Bizarrement, la remise au goût du jour passe à la fois par ce dépoussiérage et par le choix, assez hideux, d’une photo comme passée au brou de noix, histoire de « faire époque ». Capable du bon (Papa ou maman) comme du pire (Eiffel), Martin Bourboulon emmène cette aventure pantagruélique au pas de charge, plongeant en plan-séquence dans la mêlée agitée d’un combat à l’épée ou tenant au contraire un affrontement hors champ, appuyant les effets dans les intrigues de cour mais s’amusant, à raison, des vénéneuses vilenies de Milady. Il faut dire qu’Eva Green, sapée en héroïne de manga, semble née pour jouer l’illustre méchante. Si le grand public est au rendez-vous de ce divertissant blockbuster tricolore, il aura sûrement envie de la retrouver en majesté dans le deuxième volet, le 13 décembre. En tout cas, chez Pathé, il y en a qui croisent les doigts.
Année : 2023
De : Martin Bourboulon
Avec : Eric Ruf, Eva Green, François Civil, Jacob Fortune-Lloyd, Louis Garrel, Lyna Khoudri, Marc Barbé, Patrick Mille, Pio Marmaï, Romain Duris, Vicky Krieps, Vincent Cassel
Télévision : 11 novembre à 22:15-23:15 sur TF1
série d'aventures
Sylia. Saison:1 - Episode:2 - Les Cat's Eyes cherchent à connaître la provenance de l'œuvre qui a été dérobée à la Tour Eiffel. Pour en savoir plus, elles doivent s'emparer du coffre-fort d'un expert en art et antiquités, dont les bureaux se trouvent dans le prestigieux Hôtel de la Monnaie...
Année : 2024
De : Alexandre Laurent
Avec : Camille Lou, Carole Bouquet, Cindy Bruna, Claire Romain, Constance Labbé, Gilbert Melki, Gilles Cohen, Juliette Plumecocq-Mech, Loryn Nounay, Léon Plazol, MB14, Simon Ehrlacher
Télévision : 11 novembre à 21:10-22:15 sur TF1
série d'aventures
Tamara. Saison:1 - Episode:1 - En 2023, à Paris, Tam, Sylia et Alexia se retrouvent après des années de séparation. Au même moment, une œuvre japonaise ayant appartenu à leur père, mystérieusement disparu dix ans plus tôt dans l'incendie de sa galerie d'art, resurgit lors d'une soirée de gala organisée sur la tour Eiffel. Elles décident alors de prendre tous les risques pour la dérober dans l'espoir de comprendre enfin ce qui lui est arrivé.
Année : 2024
De : Alexandre Laurent
Avec : Camille Lou, Carole Bouquet, Cindy Bruna, Claire Romain, Constance Labbé, Gilbert Melki, Gregory Fitoussi, Juliette Plumecocq-Mech, Léon Plazol, MB14, Ophélia Kolb, Simon Ehrlacher