Télévision : 6 mai 2022 à 02:30-04:15 sur Arte
film documentaire
Lorsqu'il fonde en 1967 la secte Manson Family, le casier judiciaire du jeune Charles Manson, gourou au regard magnétique, est déjà conséquent. A cette époque, Charles Manson rêve de devenir une star du rock à l'instar de ses idoles, les Beatles. Il cherche à se rapprocher de producteurs et d'artistes en vogue, mais ses tentatives restent lettre morte. Frustré, il sombre dans la folie et fantasme une apocalypse sur fond de conflit racial entre Blancs et Afro-Américains. En août 1969, il use de son charisme pour pousser ses adeptes à commettre une série de crimes. Sharon Tate, épouse de Roman Polanski et star montante, compte parmi les victimes de cette vague macabre. De nombreuses interviews viennent nourrir le récit de l'histoire de ce serial killer qui a traumatisé l'Amérique. - Critique : Le 9 août 1969, l’actrice Sharon Tate, enceinte, était retrouvée morte poignardée, dans sa maison de Los Angeles, avec quatre autres personnes. La barbarie des faits marqua tant les esprits que, cinquante ans plus tard, Tarantino revisitait encore, dans Once Upon a Time in… Hollywood, cette histoire qu’il juge obscure. Un avis que ne semble pas partager le réalisateur de ce doc, pour qui tout est clair : condamné pour ces crimes commis par sa secte, Charles Manson voulait punir le producteur de musique Terry Melcher, ancien occupant de la propriété que louait Sharon Tate. Car le gourou Manson, devenu figure démoniaque, se rêvait star de la pop. Et avait entendu un appel à la violence dans le fameux album blanc des Beatles, sorti en novembre 1968… La sombre folie de ce parcours, quand même très tordu, est évoquée ici de manière tranquillement pédagogique, comme si Manson n’était qu’un phénomène culturel, fruit de la libération des années 1960, que ses errances sanglantes expédièrent en prison à vie. Le récit de son amitié avec Dennis Wilson, le play-boy des Beach Boys, fait heureusement resurgir le trouble : dans cette relation, un pouvoir manipulateur est en jeu, mais aussi les blessures secrètes de deux hommes qui se sentaient l’un et l’autre illégitimes dans le monde de la musique et s’en consolèrent en collaborant sur une chanson. Avant que l’horreur les sépare.
Année : 2019
De : Tom O'Dell
Télévision : 29 avril 2022 à 02:10-03:55 sur Arte
film documentaire
Lorsqu'il fonde en 1967 la secte Manson Family, le casier judiciaire du jeune Charles Manson, gourou au regard magnétique, est déjà conséquent. A cette époque, Charles Manson rêve de devenir une star du rock à l'instar de ses idoles, les Beatles. Il cherche à se rapprocher de producteurs et d'artistes en vogue, mais ses tentatives restent lettre morte. Frustré, il sombre dans la folie et fantasme une apocalypse sur fond de conflit racial entre Blancs et Afro-Américains. En août 1969, il use de son charisme pour pousser ses adeptes à commettre une série de crimes. Sharon Tate, épouse de Roman Polanski et star montante, compte parmi les victimes de cette vague macabre. De nombreuses interviews viennent nourrir le récit de l'histoire de ce serial killer qui a traumatisé l'Amérique. - Critique : Le 9 août 1969, l’actrice Sharon Tate, enceinte, était retrouvée morte poignardée, dans sa maison de Los Angeles, avec quatre autres personnes. La barbarie des faits marqua tant les esprits que, cinquante ans plus tard, Tarantino revisitait encore, dans Once Upon a Time in… Hollywood, cette histoire qu’il juge obscure. Un avis que ne semble pas partager le réalisateur de ce doc, pour qui tout est clair : condamné pour ces crimes commis par sa secte, Charles Manson voulait punir le producteur de musique Terry Melcher, ancien occupant de la propriété que louait Sharon Tate. Car le gourou Manson, devenu figure démoniaque, se rêvait star de la pop. Et avait entendu un appel à la violence dans le fameux album blanc des Beatles, sorti en novembre 1968… La sombre folie de ce parcours, quand même très tordu, est évoquée ici de manière tranquillement pédagogique, comme si Manson n’était qu’un phénomène culturel, fruit de la libération des années 1960, que ses errances sanglantes expédièrent en prison à vie. Le récit de son amitié avec Dennis Wilson, le play-boy des Beach Boys, fait heureusement resurgir le trouble : dans cette relation, un pouvoir manipulateur est en jeu, mais aussi les blessures secrètes de deux hommes qui se sentaient l’un et l’autre illégitimes dans le monde de la musique et s’en consolèrent en collaborant sur une chanson. Avant que l’horreur les sépare.
Année : 2019
De : Tom O'Dell
Télévision : 29 avril 2022 à 02:05-03:55 sur Arte
film documentaire
Lorsqu'il fonde en 1967 la secte Manson Family, le casier judiciaire du jeune Charles Manson, gourou au regard magnétique, est déjà conséquent. A cette époque, Charles Manson rêve de devenir une star du rock à l'instar de ses idoles, les Beatles. Il cherche à se rapprocher de producteurs et d'artistes en vogue, mais ses tentatives restent lettre morte. Frustré, il sombre dans la folie et fantasme une apocalypse sur fond de conflit racial entre Blancs et Afro-Américains. En août 1969, il use de son charisme pour pousser ses adeptes à commettre une série de crimes. Sharon Tate, épouse de Roman Polanski et star montante, compte parmi les victimes de cette vague macabre. De nombreuses interviews viennent nourrir le récit de l'histoire de ce serial killer qui a traumatisé l'Amérique. - Critique : Le 9 août 1969, l’actrice Sharon Tate, enceinte, était retrouvée morte poignardée, dans sa maison de Los Angeles, avec quatre autres personnes. La barbarie des faits marqua tant les esprits que, cinquante ans plus tard, Tarantino revisitait encore, dans Once Upon a Time in… Hollywood, cette histoire qu’il juge obscure. Un avis que ne semble pas partager le réalisateur de ce doc, pour qui tout est clair : condamné pour ces crimes commis par sa secte, Charles Manson voulait punir le producteur de musique Terry Melcher, ancien occupant de la propriété que louait Sharon Tate. Car le gourou Manson, devenu figure démoniaque, se rêvait star de la pop. Et avait entendu un appel à la violence dans le fameux album blanc des Beatles, sorti en novembre 1968… La sombre folie de ce parcours, quand même très tordu, est évoquée ici de manière tranquillement pédagogique, comme si Manson n’était qu’un phénomène culturel, fruit de la libération des années 1960, que ses errances sanglantes expédièrent en prison à vie. Le récit de son amitié avec Dennis Wilson, le play-boy des Beach Boys, fait heureusement resurgir le trouble : dans cette relation, un pouvoir manipulateur est en jeu, mais aussi les blessures secrètes de deux hommes qui se sentaient l’un et l’autre illégitimes dans le monde de la musique et s’en consolèrent en collaborant sur une chanson. Avant que l’horreur les sépare.
Année : 2019
De : Tom O'Dell
Télévision : 25 mars 2022 à 22:30-00:15 sur Arte
film documentaire
Lorsqu'il fonde en 1967 la secte Manson Family, le casier judiciaire du jeune Charles Manson, gourou au regard magnétique, est déjà conséquent. A cette époque, Charles Manson rêve de devenir une star du rock à l'instar de ses idoles, les Beatles. Il cherche à se rapprocher de producteurs et d'artistes en vogue, mais ses tentatives restent lettre morte. Frustré, il sombre dans la folie et fantasme une apocalypse sur fond de conflit racial entre Blancs et Afro-Américains. En août 1969, il use de son charisme pour pousser ses adeptes à commettre une série de crimes. Sharon Tate, épouse de Roman Polanski et star montante, compte parmi les victimes de cette vague macabre. De nombreuses interviews viennent nourrir le récit de l'histoire de ce serial killer qui a traumatisé l'Amérique. - Critique : Le 9 août 1969, l’actrice Sharon Tate, enceinte, était retrouvée morte poignardée, dans sa maison de Los Angeles, avec quatre autres personnes. La barbarie des faits marqua tant les esprits que, cinquante ans plus tard, Tarantino revisitait encore, dans Once Upon a Time in… Hollywood, cette histoire qu’il juge obscure. Un avis que ne semble pas partager le réalisateur de ce doc, pour qui tout est clair : condamné pour ces crimes commis par sa secte, Charles Manson voulait punir le producteur de musique Terry Melcher, ancien occupant de la propriété que louait Sharon Tate. Car le gourou Manson, devenu figure démoniaque, se rêvait star de la pop. Et avait entendu un appel à la violence dans le fameux album blanc des Beatles, sorti en novembre 1968… La sombre folie de ce parcours, quand même très tordu, est évoquée ici de manière tranquillement pédagogique, comme si Manson n’était qu’un phénomène culturel, fruit de la libération des années 1960, que ses errances sanglantes expédièrent en prison à vie. Le récit de son amitié avec Dennis Wilson, le play-boy des Beach Boys, fait heureusement resurgir le trouble : dans cette relation, un pouvoir manipulateur est en jeu, mais aussi les blessures secrètes de deux hommes qui se sentaient l’un et l’autre illégitimes dans le monde de la musique et s’en consolèrent en collaborant sur une chanson. Avant que l’horreur les sépare.
Année : 2019
De : Tom O'Dell
Télévision : 21 janvier 2022 à 22:30-00:15 sur Arte
film documentaire
Lorsqu'il fonde en 1967 la secte Manson Family, le casier judiciaire du jeune Charles Manson, gourou au regard magnétique, est déjà conséquent. A cette époque, Charles Manson rêve de devenir une star du rock à l'instar de ses idoles, les Beatles. Il cherche à se rapprocher de producteurs et d'artistes en vogue, mais ses tentatives restent lettre morte. Frustré, il sombre dans la folie et fantasme une apocalypse sur fond de conflit racial entre Blancs et Afro-Américains. En août 1969, il use de son charisme pour pousser ses adeptes à commettre une série de crimes. Sharon Tate, épouse de Roman Polanski et star montante, compte parmi les victimes de cette vague macabre. De nombreuses interviews viennent nourrir le récit de l'histoire de ce serial killer qui a traumatisé l'Amérique. - Critique : Le 9 août 1969, l’actrice Sharon Tate, enceinte, était retrouvée morte poignardée, dans sa maison de Los Angeles, avec quatre autres personnes. La barbarie des faits marqua tant les esprits que, cinquante ans plus tard, Tarantino revisitait encore, dans Once Upon a Time in… Hollywood, cette histoire qu’il juge obscure. Un avis que ne semble pas partager le réalisateur de ce doc, pour qui tout est clair : condamné pour ces crimes commis par sa secte, Charles Manson voulait punir le producteur de musique Terry Melcher, ancien occupant de la propriété que louait Sharon Tate. Car le gourou Manson, devenu figure démoniaque, se rêvait star de la pop. Et avait entendu un appel à la violence dans le fameux album blanc des Beatles, sorti en novembre 1968… La sombre folie de ce parcours, quand même très tordu, est évoquée ici de manière tranquillement pédagogique, comme si Manson n’était qu’un phénomène culturel, fruit de la libération des années 1960, que ses errances sanglantes expédièrent en prison à vie. Le récit de son amitié avec Dennis Wilson, le play-boy des Beach Boys, fait heureusement resurgir le trouble : dans cette relation, un pouvoir manipulateur est en jeu, mais aussi les blessures secrètes de deux hommes qui se sentaient l’un et l’autre illégitimes dans le monde de la musique et s’en consolèrent en collaborant sur une chanson. Avant que l’horreur les sépare.
Année : 2019
De : Tom O'Dell
Cinéma : 30 janvier 2019
Editeur : Ciné Sorbonne
Année : 1971
De : Monte Hellman
Avec : James Taylor, Warren Oates, Laurie Bird, Dennis Wilson, Harry Dean Stanton, Don Samuels, Charles Moore, George Mitchell, David Drake, Richard Ruth, Jaclyn Hellman, Bill Keller, Rudy Wurlitzer, Illa Ginnaven