Aaron Zach : passages TV
Ici et là-bas
Télévision : 17 mars à 08:15-09:43 sur Canal +
film : comédie
Alors qu'il vit paisiblement au Sénégal depuis une quinzaine d'années aux côtés d'Aminata, son épouse, Adrien se voit soudain contraint de plier bagages et de rentrer temporairement en France en raison d'un problème administratif. A Paris, il est hébergé par Sékou, un cousin de sa femme. Celui-ci, un commercial, est chargé par son employeuse d'une mission inhabituelle pour lui : se rendre aux quatre coins de la France pour y rencontrer des clients. Les enjeux sont élevés pour Sékou. En effet, son avenir dans l'entreprise dépend de sa réussite sur un terrain, la province, qu'il ne connaît pas. Il n'a pas d'autre choix que d'embarquer Adrien dans un périple qui s'annonce imprévisible... - Critique : Cédric (Ahmed Sylla) est fier de son pays, la France. Chaque dialogue avec l’un de ses concitoyens est un bon moyen de rappeler que le jeune homme est représentant commercial pour une boîte qui vend des produits du terroir. Sauf que Cédric ne s’appelle pas en réalité Cédric, mais Sékou. Et qu’il est d’origine sénégalaise, idée qu’il réfute toujours quand on lui demande d’où il vient, répondant qu’il est français avant tout. Pour rendre service à une cousine restée au Sénégal, Sékou, bon chic bon genre, décide d’aider son mari, Adrien (Hakim Jemili), dont le passeport présente une anomalie qui l’oblige à revenir en France. Il est important de préciser que si Cédric/Sékou est noir, Adrien, lui, est blanc, malgré sa nationalité sénégalaise… Ce pitch improbable semble avoir été écrit à l’aide d’une intelligence artificielle qui simulerait des scénarios de comédies françaises. Malgré son casting d’idoles plus ou moins officieuses de la génération Z, Ici et là-bas peine à aller au-delà de son propos faussement idéaliste sur le vivre-ensemble, en se complaisant dans des oppositions simplistes : noir et blanc, Afrique et Europe, riches et pauvres… Malgré cette ambition candide de marcher dans les pas des buddy movies des années 1980, le film de Ludovic Bernard (à l’origine de succès monstres tels que L’Ascension et 10 Jours sans maman) perd de sa crédibilité en collectionnant les clichés à outrance – du type virée en Bretagne avec fête de bigoudènes qui chantent et boivent du cidre. Avec, en point d’orgue, une séquence de retrouvailles improbables entre Adrien et ses parents français, dont le père, raciste, rejette son fils devenu sénégalais. Entre les blagues potaches et les bons sentiments, difficile d’entrevoir à qui s’adresse ce fiasco insupportablement naïf.
Année : 2024
De : Ludovic Bernard
Avec : Aaron Zach, Ahmed Sylla, Annelise Hesme, Assia Said Hassani, Boubacar Kabo, Eriq Ebouaney, Guillou-Kervern Etienne, Hakim Jemili, Hugo Becker, Ibrahima Ba, Luiza Benaïssa, Pierre Le
Ici et là-bas
Télévision : 17 mars à 08:13-09:43 sur Canal +
film : comédie
Alors qu'il vit paisiblement au Sénégal depuis une quinzaine d'années aux côtés d'Aminata, son épouse, Adrien se voit soudain contraint de plier bagages et de rentrer temporairement en France en raison d'un problème administratif. A Paris, il est hébergé par Sékou, un cousin de sa femme. Celui-ci, un commercial, est chargé par son employeuse d'une mission inhabituelle pour lui : se rendre aux quatre coins de la France pour y rencontrer des clients. Les enjeux sont élevés pour Sékou. En effet, son avenir dans l'entreprise dépend de sa réussite sur un terrain, la province, qu'il ne connaît pas. Il n'a pas d'autre choix que d'embarquer Adrien dans un périple qui s'annonce imprévisible... - Critique : Cédric (Ahmed Sylla) est fier de son pays, la France. Chaque dialogue avec l’un de ses concitoyens est un bon moyen de rappeler que le jeune homme est représentant commercial pour une boîte qui vend des produits du terroir. Sauf que Cédric ne s’appelle pas en réalité Cédric, mais Sékou. Et qu’il est d’origine sénégalaise, idée qu’il réfute toujours quand on lui demande d’où il vient, répondant qu’il est français avant tout. Pour rendre service à une cousine restée au Sénégal, Sékou, bon chic bon genre, décide d’aider son mari, Adrien (Hakim Jemili), dont le passeport présente une anomalie qui l’oblige à revenir en France. Il est important de préciser que si Cédric/Sékou est noir, Adrien, lui, est blanc, malgré sa nationalité sénégalaise… Ce pitch improbable semble avoir été écrit à l’aide d’une intelligence artificielle qui simulerait des scénarios de comédies françaises. Malgré son casting d’idoles plus ou moins officieuses de la génération Z, Ici et là-bas peine à aller au-delà de son propos faussement idéaliste sur le vivre-ensemble, en se complaisant dans des oppositions simplistes : noir et blanc, Afrique et Europe, riches et pauvres… Malgré cette ambition candide de marcher dans les pas des buddy movies des années 1980, le film de Ludovic Bernard (à l’origine de succès monstres tels que L’Ascension et 10 Jours sans maman) perd de sa crédibilité en collectionnant les clichés à outrance – du type virée en Bretagne avec fête de bigoudènes qui chantent et boivent du cidre. Avec, en point d’orgue, une séquence de retrouvailles improbables entre Adrien et ses parents français, dont le père, raciste, rejette son fils devenu sénégalais. Entre les blagues potaches et les bons sentiments, difficile d’entrevoir à qui s’adresse ce fiasco insupportablement naïf.
Année : 2024
De : Ludovic Bernard
Avec : Aaron Zach, Ahmed Sylla, Annelise Hesme, Assia Said Hassani, Boubacar Kabo, Eriq Ebouaney, Guillou-Kervern Etienne, Hakim Jemili, Hugo Becker, Ibrahima Ba, Luiza Benaïssa, Pierre Le
Ici et là-bas
Télévision : 11 mars à 15:37-17:07 sur Canal +
film : comédie
Alors qu'il vit paisiblement au Sénégal depuis une quinzaine d'années aux côtés d'Aminata, son épouse, Adrien se voit soudain contraint de plier bagages et de rentrer temporairement en France en raison d'un problème administratif. A Paris, il est hébergé par Sékou, un cousin de sa femme. Celui-ci, un commercial, est chargé par son employeuse d'une mission inhabituelle pour lui : se rendre aux quatre coins de la France pour y rencontrer des clients. Les enjeux sont élevés pour Sékou. En effet, son avenir dans l'entreprise dépend de sa réussite sur un terrain, la province, qu'il ne connaît pas. Il n'a pas d'autre choix que d'embarquer Adrien dans un périple qui s'annonce imprévisible... - Critique : Cédric (Ahmed Sylla) est fier de son pays, la France. Chaque dialogue avec l’un de ses concitoyens est un bon moyen de rappeler que le jeune homme est représentant commercial pour une boîte qui vend des produits du terroir. Sauf que Cédric ne s’appelle pas en réalité Cédric, mais Sékou. Et qu’il est d’origine sénégalaise, idée qu’il réfute toujours quand on lui demande d’où il vient, répondant qu’il est français avant tout. Pour rendre service à une cousine restée au Sénégal, Sékou, bon chic bon genre, décide d’aider son mari, Adrien (Hakim Jemili), dont le passeport présente une anomalie qui l’oblige à revenir en France. Il est important de préciser que si Cédric/Sékou est noir, Adrien, lui, est blanc, malgré sa nationalité sénégalaise… Ce pitch improbable semble avoir été écrit à l’aide d’une intelligence artificielle qui simulerait des scénarios de comédies françaises. Malgré son casting d’idoles plus ou moins officieuses de la génération Z, Ici et là-bas peine à aller au-delà de son propos faussement idéaliste sur le vivre-ensemble, en se complaisant dans des oppositions simplistes : noir et blanc, Afrique et Europe, riches et pauvres… Malgré cette ambition candide de marcher dans les pas des buddy movies des années 1980, le film de Ludovic Bernard (à l’origine de succès monstres tels que L’Ascension et 10 Jours sans maman) perd de sa crédibilité en collectionnant les clichés à outrance – du type virée en Bretagne avec fête de bigoudènes qui chantent et boivent du cidre. Avec, en point d’orgue, une séquence de retrouvailles improbables entre Adrien et ses parents français, dont le père, raciste, rejette son fils devenu sénégalais. Entre les blagues potaches et les bons sentiments, difficile d’entrevoir à qui s’adresse ce fiasco insupportablement naïf.
Année : 2024
De : Ludovic Bernard
Avec : Aaron Zach, Ahmed Sylla, Annelise Hesme, Assia Said Hassani, Boubacar Kabo, Eriq Ebouaney, Guillou-Kervern Etienne, Hakim Jemili, Hugo Becker, Ibrahima Ba, Luiza Benaïssa, Pierre Le
Ici et là-bas
Télévision : 11 mars à 15:36-17:06 sur Canal +
film : comédie
Alors qu'il vit paisiblement au Sénégal depuis une quinzaine d'années aux côtés d'Aminata, son épouse, Adrien se voit soudain contraint de plier bagages et de rentrer temporairement en France en raison d'un problème administratif. A Paris, il est hébergé par Sékou, un cousin de sa femme. Celui-ci, un commercial, est chargé par son employeuse d'une mission inhabituelle pour lui : se rendre aux quatre coins de la France pour y rencontrer des clients. Les enjeux sont élevés pour Sékou. En effet, son avenir dans l'entreprise dépend de sa réussite sur un terrain, la province, qu'il ne connaît pas. Il n'a pas d'autre choix que d'embarquer Adrien dans un périple qui s'annonce imprévisible... - Critique : Cédric (Ahmed Sylla) est fier de son pays, la France. Chaque dialogue avec l’un de ses concitoyens est un bon moyen de rappeler que le jeune homme est représentant commercial pour une boîte qui vend des produits du terroir. Sauf que Cédric ne s’appelle pas en réalité Cédric, mais Sékou. Et qu’il est d’origine sénégalaise, idée qu’il réfute toujours quand on lui demande d’où il vient, répondant qu’il est français avant tout. Pour rendre service à une cousine restée au Sénégal, Sékou, bon chic bon genre, décide d’aider son mari, Adrien (Hakim Jemili), dont le passeport présente une anomalie qui l’oblige à revenir en France. Il est important de préciser que si Cédric/Sékou est noir, Adrien, lui, est blanc, malgré sa nationalité sénégalaise… Ce pitch improbable semble avoir été écrit à l’aide d’une intelligence artificielle qui simulerait des scénarios de comédies françaises. Malgré son casting d’idoles plus ou moins officieuses de la génération Z, Ici et là-bas peine à aller au-delà de son propos faussement idéaliste sur le vivre-ensemble, en se complaisant dans des oppositions simplistes : noir et blanc, Afrique et Europe, riches et pauvres… Malgré cette ambition candide de marcher dans les pas des buddy movies des années 1980, le film de Ludovic Bernard (à l’origine de succès monstres tels que L’Ascension et 10 Jours sans maman) perd de sa crédibilité en collectionnant les clichés à outrance – du type virée en Bretagne avec fête de bigoudènes qui chantent et boivent du cidre. Avec, en point d’orgue, une séquence de retrouvailles improbables entre Adrien et ses parents français, dont le père, raciste, rejette son fils devenu sénégalais. Entre les blagues potaches et les bons sentiments, difficile d’entrevoir à qui s’adresse ce fiasco insupportablement naïf.
Année : 2024
De : Ludovic Bernard
Avec : Aaron Zach, Ahmed Sylla, Annelise Hesme, Assia Said Hassani, Boubacar Kabo, Eriq Ebouaney, Guillou-Kervern Etienne, Hakim Jemili, Hugo Becker, Ibrahima Ba, Luiza Benaïssa, Pierre Le
Ici et là-bas
Télévision : 7 mars à 22:39-00:09 sur Canal +
film : comédie
Alors qu'il vit paisiblement au Sénégal depuis une quinzaine d'années aux côtés d'Aminata, son épouse, Adrien se voit soudain contraint de plier bagages et de rentrer temporairement en France en raison d'un problème administratif. A Paris, il est hébergé par Sékou, un cousin de sa femme. Celui-ci, un commercial, est chargé par son employeuse d'une mission inhabituelle pour lui : se rendre aux quatre coins de la France pour y rencontrer des clients. Les enjeux sont élevés pour Sékou. En effet, son avenir dans l'entreprise dépend de sa réussite sur un terrain, la province, qu'il ne connaît pas. Il n'a pas d'autre choix que d'embarquer Adrien dans un périple qui s'annonce imprévisible... - Critique : Cédric (Ahmed Sylla) est fier de son pays, la France. Chaque dialogue avec l’un de ses concitoyens est un bon moyen de rappeler que le jeune homme est représentant commercial pour une boîte qui vend des produits du terroir. Sauf que Cédric ne s’appelle pas en réalité Cédric, mais Sékou. Et qu’il est d’origine sénégalaise, idée qu’il réfute toujours quand on lui demande d’où il vient, répondant qu’il est français avant tout. Pour rendre service à une cousine restée au Sénégal, Sékou, bon chic bon genre, décide d’aider son mari, Adrien (Hakim Jemili), dont le passeport présente une anomalie qui l’oblige à revenir en France. Il est important de préciser que si Cédric/Sékou est noir, Adrien, lui, est blanc, malgré sa nationalité sénégalaise… Ce pitch improbable semble avoir été écrit à l’aide d’une intelligence artificielle qui simulerait des scénarios de comédies françaises. Malgré son casting d’idoles plus ou moins officieuses de la génération Z, Ici et là-bas peine à aller au-delà de son propos faussement idéaliste sur le vivre-ensemble, en se complaisant dans des oppositions simplistes : noir et blanc, Afrique et Europe, riches et pauvres… Malgré cette ambition candide de marcher dans les pas des buddy movies des années 1980, le film de Ludovic Bernard (à l’origine de succès monstres tels que L’Ascension et 10 Jours sans maman) perd de sa crédibilité en collectionnant les clichés à outrance – du type virée en Bretagne avec fête de bigoudènes qui chantent et boivent du cidre. Avec, en point d’orgue, une séquence de retrouvailles improbables entre Adrien et ses parents français, dont le père, raciste, rejette son fils devenu sénégalais. Entre les blagues potaches et les bons sentiments, difficile d’entrevoir à qui s’adresse ce fiasco insupportablement naïf.
Année : 2024
De : Ludovic Bernard
Avec : Aaron Zach, Ahmed Sylla, Annelise Hesme, Assia Said Hassani, Boubacar Kabo, Eriq Ebouaney, Guillou-Kervern Etienne, Hakim Jemili, Hugo Becker, Ibrahima Ba, Luiza Benaïssa, Pierre Le
Ici et là-bas
Télévision : 7 mars à 22:38-00:08 sur Canal +
film : comédie
Alors qu'il vit paisiblement au Sénégal depuis une quinzaine d'années aux côtés d'Aminata, son épouse, Adrien se voit soudain contraint de plier bagages et de rentrer temporairement en France en raison d'un problème administratif. A Paris, il est hébergé par Sékou, un cousin de sa femme. Celui-ci, un commercial, est chargé par son employeuse d'une mission inhabituelle pour lui : se rendre aux quatre coins de la France pour y rencontrer des clients. Les enjeux sont élevés pour Sékou. En effet, son avenir dans l'entreprise dépend de sa réussite sur un terrain, la province, qu'il ne connaît pas. Il n'a pas d'autre choix que d'embarquer Adrien dans un périple qui s'annonce imprévisible... - Critique : Cédric (Ahmed Sylla) est fier de son pays, la France. Chaque dialogue avec l’un de ses concitoyens est un bon moyen de rappeler que le jeune homme est représentant commercial pour une boîte qui vend des produits du terroir. Sauf que Cédric ne s’appelle pas en réalité Cédric, mais Sékou. Et qu’il est d’origine sénégalaise, idée qu’il réfute toujours quand on lui demande d’où il vient, répondant qu’il est français avant tout. Pour rendre service à une cousine restée au Sénégal, Sékou, bon chic bon genre, décide d’aider son mari, Adrien (Hakim Jemili), dont le passeport présente une anomalie qui l’oblige à revenir en France. Il est important de préciser que si Cédric/Sékou est noir, Adrien, lui, est blanc, malgré sa nationalité sénégalaise… Ce pitch improbable semble avoir été écrit à l’aide d’une intelligence artificielle qui simulerait des scénarios de comédies françaises. Malgré son casting d’idoles plus ou moins officieuses de la génération Z, Ici et là-bas peine à aller au-delà de son propos faussement idéaliste sur le vivre-ensemble, en se complaisant dans des oppositions simplistes : noir et blanc, Afrique et Europe, riches et pauvres… Malgré cette ambition candide de marcher dans les pas des buddy movies des années 1980, le film de Ludovic Bernard (à l’origine de succès monstres tels que L’Ascension et 10 Jours sans maman) perd de sa crédibilité en collectionnant les clichés à outrance – du type virée en Bretagne avec fête de bigoudènes qui chantent et boivent du cidre. Avec, en point d’orgue, une séquence de retrouvailles improbables entre Adrien et ses parents français, dont le père, raciste, rejette son fils devenu sénégalais. Entre les blagues potaches et les bons sentiments, difficile d’entrevoir à qui s’adresse ce fiasco insupportablement naïf.
Année : 2024
De : Ludovic Bernard
Avec : Aaron Zach, Ahmed Sylla, Annelise Hesme, Assia Said Hassani, Boubacar Kabo, Eriq Ebouaney, Guillou-Kervern Etienne, Hakim Jemili, Hugo Becker, Ibrahima Ba, Luiza Benaïssa, Pierre Le