Thierry Beccaro : passages TV
Je suis né à 17 ans
Télévision : 18 novembre à 01:02-02:25 sur France 2
téléfilm dramatique
Thierry a été un enfant battu. Il s'est construit contre les violences subies et a toute raison d'être fier du résultat. Mais les traumatismes de l'enfance sont toujours présents, générateurs d'angoisses et d'un perpétuel manque de confiance en soi. L'annonce de la mort imminente du père coupable des brutalités, et avec lequel Thierry a rompu toute relation, sonne l'heure des comptes. Le moment est venu pour Thierry de mettre de l'ordre dans sa mémoire et dans ses sentiments. Pour liquider le passé, il faut d'abord le comprendre. C'est ce que Thierry s'applique à faire avec l'aide de son psy et de ses proches, sa mère, sa soeur, sa compagne, avec le soutien de ses enfants, surtout, pour lesquels il a su être un père tendre qui n'a pas reproduit le schéma de sa propre malédiction... - Critique : Tiré d’un ouvrage autobiographique de Thierry Beccaro, ce téléfilm met en scène un épisode douloureux de la vie de l’animateur. L’ex-présentateur de Motus cache en effet une blessure : il a été un enfant battu par son père. Désormais adulte, il ne parvient pas à mettre à distance la violence subie, d’autant que ses proches de l’époque, sa mère en particulier, persistent à la minimiser. Quand il apprend que son père se trouve à l’article de la mort, Thierry se trouve confronté à un dilemme. Parviendra-t-il à pardonner à cet homme qui fut avec lui capable des pires brutalités ? Transpirant la sincérité, cette réalisation souffre malheureusement de nombreuses maladresses qui la font ressembler à un long spot de prévention contre la maltraitance plutôt qu’à un véritable récit dramatique. Malgré l’évidente implication de Thierry Beccaro (qui joue son propre rôle et se révèle parfois touchant dans sa mise à nu), on reste embarrassé face à cette succession de scènes caricaturales, aux dialogues terriblement explicatifs, où tout est surligné pour faire passer le message de sensibilisation porté par le film. La gravité de la problématique aurait sans doute mérité une écriture plus travaillée.
Avec : Anne Loiret, Boitel Marie, Elisabeth Commelin, Elsa Lunghini, Jules Morlon, Manon Lheureux, Moïse Santamaria, Muriel Combeau, Pierre Azzarello, Saverio Maligno, Stéphane Bachelet, Thierry Beccaro
Je suis né à 17 ans
Télévision : 18 novembre à 00:57-02:25 sur France 2
téléfilm dramatique
Thierry a été un enfant battu. Il s'est construit contre les violences subies et a toute raison d'être fier du résultat. Mais les traumatismes de l'enfance sont toujours présents, générateurs d'angoisses et d'un perpétuel manque de confiance en soi. L'annonce de la mort imminente du père coupable des brutalités, et avec lequel Thierry a rompu toute relation, sonne l'heure des comptes. Le moment est venu pour Thierry de mettre de l'ordre dans sa mémoire et dans ses sentiments. Pour liquider le passé, il faut d'abord le comprendre. C'est ce que Thierry s'applique à faire avec l'aide de son psy et de ses proches, sa mère, sa soeur, sa compagne, avec le soutien de ses enfants, surtout, pour lesquels il a su être un père tendre qui n'a pas reproduit le schéma de sa propre malédiction... - Critique : Tiré d’un ouvrage autobiographique de Thierry Beccaro, ce téléfilm met en scène un épisode douloureux de la vie de l’animateur. L’ex-présentateur de Motus cache en effet une blessure : il a été un enfant battu par son père. Désormais adulte, il ne parvient pas à mettre à distance la violence subie, d’autant que ses proches de l’époque, sa mère en particulier, persistent à la minimiser. Quand il apprend que son père se trouve à l’article de la mort, Thierry se trouve confronté à un dilemme. Parviendra-t-il à pardonner à cet homme qui fut avec lui capable des pires brutalités ? Transpirant la sincérité, cette réalisation souffre malheureusement de nombreuses maladresses qui la font ressembler à un long spot de prévention contre la maltraitance plutôt qu’à un véritable récit dramatique. Malgré l’évidente implication de Thierry Beccaro (qui joue son propre rôle et se révèle parfois touchant dans sa mise à nu), on reste embarrassé face à cette succession de scènes caricaturales, aux dialogues terriblement explicatifs, où tout est surligné pour faire passer le message de sensibilisation porté par le film. La gravité de la problématique aurait sans doute mérité une écriture plus travaillée.
Avec : Anne Loiret, Boitel Marie, Elisabeth Commelin, Elsa Lunghini, Jules Morlon, Manon Lheureux, Moïse Santamaria, Muriel Combeau, Pierre Azzarello, Saverio Maligno, Stéphane Bachelet, Thierry Beccaro