Télévision : lundi 23 décembre à 08:24-10:02 sur Canal +
film d'aventures
Huit années après avoir quitté la jungle amazonienne où elle a grandi aux côtés de son père, Autumn apprend avec effroi que Hope, la femelle jaguar qu'elle avait recueillie et qui fut sa meilleure amie, figure désormais parmi les dernières représentantes de son espèce et se trouve en danger de mort. Déterminée, l'adolescente parvient à convaincre son père, de son côté fort réticent à l'idée de quitter New York, de se rendre sur place afin de tenter d'apporter son aide à l'animal. De retour dans la forêt, cet environnement qu'elle chérit tant, Autumn ne tarde pas à retrouver la trace de Hope, poursuivie par des braconniers... - Critique : Votre meilleure amie est-elle un jaguar ? Bienvenue au club d’Autumn, une adolescente new-yorkaise de 15 ans. Fille de deux parents activistes, la brunette grandit dans la forêt, aux côtés d’une tribu amazonienne, jusqu’à ses 6 ans. C’est là qu’elle rencontre Hope, un bébé jaguar femelle avec lequel elle noue une belle amitié, tant anthropomorphique que tire-larmes. Alors quand Autumn, devenue grande, apprend que son alter ego féline est menacée par le braconnage, elle n’hésite pas une seconde et prend le premier vol pour l’Amérique du Sud. À ses trousses, Anja, son excentrique professeure de biologie qui craint pour sa sécurité. Si l’intention du film de Gilles de Maistre est louable – sensibiliser aux enjeux du braconnage et de la déforestation –, sa forme l’est moins. Nombreux sont les dialogues truffés d’aphorismes clichés ou naïfs (« n’abandonne jamais tes idéaux, rien n’est impossible ») et de chiffres artificiellement cités pour renforcer le côté didactique du scénario. Pêle-mêle, on nous rappelle que la jungle américaine abrite 70 % de la biodiversité planétaire et que le trafic d’animaux est le troisième plus lucratif au monde, après celui des armes et de la drogue. Les Indiens, quant à eux, servent davantage de décors qu’ils ne constituent de réels protagonistes. Le malaise est maximal lorsque Anja incite les locaux à se mobiliser pour sauver Autumn et Hope des griffes des braconniers. Les plus critiques verront dans cette séquence des relents de white saviorism (ou « complexe du sauveur blanc », le fait qu’une personne blanche aide un non-Blanc pour flatter son ego). Autre écueil : le film de Gilles de Maistre repose sur une adolescente faussement rebelle, mais véritablement éreintante, entre soupirs et revendications écologiques proclamées ad nauseam – ce qui ne l’empêche pas de jeter son téléphone dernier cri à l’eau ou de menacer de défenestrer un hérisson. Seul phare dans l’obscurité, l’enseignante hypocondriaque et agoraphobe incarnée par Emily Bett Rickards se révèle une bonne et hilarante surprise. Le Dernier Jaguar, de Gilles de Maistre (France, 1h40). Scénario : Gilles de Maistre et Prune de Maistre. Avec Lumi Pollack, Emily Bett Rickards, Wayne Charles Baker. À partir de 6 ans. En salles.
Année : 2024
Avec : Airam Camacho, Amanda Ip, Bett Emily, Charlie Vachon, Eva Avila, Greene Paul, K C Coombs, Kelly Hope Taylor, Letitia Brookes, Lucrezia Pini, Lumi Pollack, Wayne Charles
Télévision : 20 décembre à 15:25-17:03 sur Canal +
film d'aventures
Huit années après avoir quitté la jungle amazonienne où elle a grandi aux côtés de son père, Autumn apprend avec effroi que Hope, la femelle jaguar qu'elle avait recueillie et qui fut sa meilleure amie, figure désormais parmi les dernières représentantes de son espèce et se trouve en danger de mort. Déterminée, l'adolescente parvient à convaincre son père, de son côté fort réticent à l'idée de quitter New York, de se rendre sur place afin de tenter d'apporter son aide à l'animal. De retour dans la forêt, cet environnement qu'elle chérit tant, Autumn ne tarde pas à retrouver la trace de Hope, poursuivie par des braconniers... - Critique : Votre meilleure amie est-elle un jaguar ? Bienvenue au club d’Autumn, une adolescente new-yorkaise de 15 ans. Fille de deux parents activistes, la brunette grandit dans la forêt, aux côtés d’une tribu amazonienne, jusqu’à ses 6 ans. C’est là qu’elle rencontre Hope, un bébé jaguar femelle avec lequel elle noue une belle amitié, tant anthropomorphique que tire-larmes. Alors quand Autumn, devenue grande, apprend que son alter ego féline est menacée par le braconnage, elle n’hésite pas une seconde et prend le premier vol pour l’Amérique du Sud. À ses trousses, Anja, son excentrique professeure de biologie qui craint pour sa sécurité. Si l’intention du film de Gilles de Maistre est louable – sensibiliser aux enjeux du braconnage et de la déforestation –, sa forme l’est moins. Nombreux sont les dialogues truffés d’aphorismes clichés ou naïfs (« n’abandonne jamais tes idéaux, rien n’est impossible ») et de chiffres artificiellement cités pour renforcer le côté didactique du scénario. Pêle-mêle, on nous rappelle que la jungle américaine abrite 70 % de la biodiversité planétaire et que le trafic d’animaux est le troisième plus lucratif au monde, après celui des armes et de la drogue. Les Indiens, quant à eux, servent davantage de décors qu’ils ne constituent de réels protagonistes. Le malaise est maximal lorsque Anja incite les locaux à se mobiliser pour sauver Autumn et Hope des griffes des braconniers. Les plus critiques verront dans cette séquence des relents de white saviorism (ou « complexe du sauveur blanc », le fait qu’une personne blanche aide un non-Blanc pour flatter son ego). Autre écueil : le film de Gilles de Maistre repose sur une adolescente faussement rebelle, mais véritablement éreintante, entre soupirs et revendications écologiques proclamées ad nauseam – ce qui ne l’empêche pas de jeter son téléphone dernier cri à l’eau ou de menacer de défenestrer un hérisson. Seul phare dans l’obscurité, l’enseignante hypocondriaque et agoraphobe incarnée par Emily Bett Rickards se révèle une bonne et hilarante surprise. Le Dernier Jaguar, de Gilles de Maistre (France, 1h40). Scénario : Gilles de Maistre et Prune de Maistre. Avec Lumi Pollack, Emily Bett Rickards, Wayne Charles Baker. À partir de 6 ans. En salles.
Année : 2024
Avec : Airam Camacho, Amanda Ip, Bett Emily, Charlie Vachon, Eva Avila, Greene Paul, K C Coombs, Kelly Hope Taylor, Letitia Brookes, Lucrezia Pini, Lumi Pollack, Wayne Charles
Télévision : 12 décembre à 10:36-12:14 sur Canal +
film d'aventures
Huit années après avoir quitté la jungle amazonienne où elle a grandi aux côtés de son père, Autumn apprend avec effroi que Hope, la femelle jaguar qu'elle avait recueillie et qui fut sa meilleure amie, figure désormais parmi les dernières représentantes de son espèce et se trouve en danger de mort. Déterminée, l'adolescente parvient à convaincre son père, de son côté fort réticent à l'idée de quitter New York, de se rendre sur place afin de tenter d'apporter son aide à l'animal. De retour dans la forêt, cet environnement qu'elle chérit tant, Autumn ne tarde pas à retrouver la trace de Hope, poursuivie par des braconniers... - Critique : Votre meilleure amie est-elle un jaguar ? Bienvenue au club d’Autumn, une adolescente new-yorkaise de 15 ans. Fille de deux parents activistes, la brunette grandit dans la forêt, aux côtés d’une tribu amazonienne, jusqu’à ses 6 ans. C’est là qu’elle rencontre Hope, un bébé jaguar femelle avec lequel elle noue une belle amitié, tant anthropomorphique que tire-larmes. Alors quand Autumn, devenue grande, apprend que son alter ego féline est menacée par le braconnage, elle n’hésite pas une seconde et prend le premier vol pour l’Amérique du Sud. À ses trousses, Anja, son excentrique professeure de biologie qui craint pour sa sécurité. Si l’intention du film de Gilles de Maistre est louable – sensibiliser aux enjeux du braconnage et de la déforestation –, sa forme l’est moins. Nombreux sont les dialogues truffés d’aphorismes clichés ou naïfs (« n’abandonne jamais tes idéaux, rien n’est impossible ») et de chiffres artificiellement cités pour renforcer le côté didactique du scénario. Pêle-mêle, on nous rappelle que la jungle américaine abrite 70 % de la biodiversité planétaire et que le trafic d’animaux est le troisième plus lucratif au monde, après celui des armes et de la drogue. Les Indiens, quant à eux, servent davantage de décors qu’ils ne constituent de réels protagonistes. Le malaise est maximal lorsque Anja incite les locaux à se mobiliser pour sauver Autumn et Hope des griffes des braconniers. Les plus critiques verront dans cette séquence des relents de white saviorism (ou « complexe du sauveur blanc », le fait qu’une personne blanche aide un non-Blanc pour flatter son ego). Autre écueil : le film de Gilles de Maistre repose sur une adolescente faussement rebelle, mais véritablement éreintante, entre soupirs et revendications écologiques proclamées ad nauseam – ce qui ne l’empêche pas de jeter son téléphone dernier cri à l’eau ou de menacer de défenestrer un hérisson. Seul phare dans l’obscurité, l’enseignante hypocondriaque et agoraphobe incarnée par Emily Bett Rickards se révèle une bonne et hilarante surprise. Le Dernier Jaguar, de Gilles de Maistre (France, 1h40). Scénario : Gilles de Maistre et Prune de Maistre. Avec Lumi Pollack, Emily Bett Rickards, Wayne Charles Baker. À partir de 6 ans. En salles.
Année : 2024
Avec : Airam Camacho, Amanda Ip, Bett Emily, Charlie Vachon, Eva Avila, Greene Paul, K C Coombs, Kelly Hope Taylor, Letitia Brookes, Lucrezia Pini, Lumi Pollack, Wayne Charles
Télévision : 9 décembre à 13:30-15:07 sur Canal +
film d'aventures
Huit années après avoir quitté la jungle amazonienne où elle a grandi aux côtés de son père, Autumn apprend avec effroi que Hope, la femelle jaguar qu'elle avait recueillie et qui fut sa meilleure amie, figure désormais parmi les dernières représentantes de son espèce et se trouve en danger de mort. Déterminée, l'adolescente parvient à convaincre son père, de son côté fort réticent à l'idée de quitter New York, de se rendre sur place afin de tenter d'apporter son aide à l'animal. De retour dans la forêt, cet environnement qu'elle chérit tant, Autumn ne tarde pas à retrouver la trace de Hope, poursuivie par des braconniers... - Critique : Votre meilleure amie est-elle un jaguar ? Bienvenue au club d’Autumn, une adolescente new-yorkaise de 15 ans. Fille de deux parents activistes, la brunette grandit dans la forêt, aux côtés d’une tribu amazonienne, jusqu’à ses 6 ans. C’est là qu’elle rencontre Hope, un bébé jaguar femelle avec lequel elle noue une belle amitié, tant anthropomorphique que tire-larmes. Alors quand Autumn, devenue grande, apprend que son alter ego féline est menacée par le braconnage, elle n’hésite pas une seconde et prend le premier vol pour l’Amérique du Sud. À ses trousses, Anja, son excentrique professeure de biologie qui craint pour sa sécurité. Si l’intention du film de Gilles de Maistre est louable – sensibiliser aux enjeux du braconnage et de la déforestation –, sa forme l’est moins. Nombreux sont les dialogues truffés d’aphorismes clichés ou naïfs (« n’abandonne jamais tes idéaux, rien n’est impossible ») et de chiffres artificiellement cités pour renforcer le côté didactique du scénario. Pêle-mêle, on nous rappelle que la jungle américaine abrite 70 % de la biodiversité planétaire et que le trafic d’animaux est le troisième plus lucratif au monde, après celui des armes et de la drogue. Les Indiens, quant à eux, servent davantage de décors qu’ils ne constituent de réels protagonistes. Le malaise est maximal lorsque Anja incite les locaux à se mobiliser pour sauver Autumn et Hope des griffes des braconniers. Les plus critiques verront dans cette séquence des relents de white saviorism (ou « complexe du sauveur blanc », le fait qu’une personne blanche aide un non-Blanc pour flatter son ego). Autre écueil : le film de Gilles de Maistre repose sur une adolescente faussement rebelle, mais véritablement éreintante, entre soupirs et revendications écologiques proclamées ad nauseam – ce qui ne l’empêche pas de jeter son téléphone dernier cri à l’eau ou de menacer de défenestrer un hérisson. Seul phare dans l’obscurité, l’enseignante hypocondriaque et agoraphobe incarnée par Emily Bett Rickards se révèle une bonne et hilarante surprise. Le Dernier Jaguar, de Gilles de Maistre (France, 1h40). Scénario : Gilles de Maistre et Prune de Maistre. Avec Lumi Pollack, Emily Bett Rickards, Wayne Charles Baker. À partir de 6 ans. En salles.
Année : 2024
Avec : Airam Camacho, Amanda Ip, Bett Emily, Charlie Vachon, Eva Avila, Greene Paul, K C Coombs, Kelly Hope Taylor, Letitia Brookes, Lucrezia Pini, Lumi Pollack, Wayne Charles
Télévision : 9 décembre à 13:27-15:06 sur Canal +
film d'aventures
Huit années après avoir quitté la jungle amazonienne où elle a grandi aux côtés de son père, Autumn apprend avec effroi que Hope, la femelle jaguar qu'elle avait recueillie et qui fut sa meilleure amie, figure désormais parmi les dernières représentantes de son espèce et se trouve en danger de mort. Déterminée, l'adolescente parvient à convaincre son père, de son côté fort réticent à l'idée de quitter New York, de se rendre sur place afin de tenter d'apporter son aide à l'animal. De retour dans la forêt, cet environnement qu'elle chérit tant, Autumn ne tarde pas à retrouver la trace de Hope, poursuivie par des braconniers... - Critique : Votre meilleure amie est-elle un jaguar ? Bienvenue au club d’Autumn, une adolescente new-yorkaise de 15 ans. Fille de deux parents activistes, la brunette grandit dans la forêt, aux côtés d’une tribu amazonienne, jusqu’à ses 6 ans. C’est là qu’elle rencontre Hope, un bébé jaguar femelle avec lequel elle noue une belle amitié, tant anthropomorphique que tire-larmes. Alors quand Autumn, devenue grande, apprend que son alter ego féline est menacée par le braconnage, elle n’hésite pas une seconde et prend le premier vol pour l’Amérique du Sud. À ses trousses, Anja, son excentrique professeure de biologie qui craint pour sa sécurité. Si l’intention du film de Gilles de Maistre est louable – sensibiliser aux enjeux du braconnage et de la déforestation –, sa forme l’est moins. Nombreux sont les dialogues truffés d’aphorismes clichés ou naïfs (« n’abandonne jamais tes idéaux, rien n’est impossible ») et de chiffres artificiellement cités pour renforcer le côté didactique du scénario. Pêle-mêle, on nous rappelle que la jungle américaine abrite 70 % de la biodiversité planétaire et que le trafic d’animaux est le troisième plus lucratif au monde, après celui des armes et de la drogue. Les Indiens, quant à eux, servent davantage de décors qu’ils ne constituent de réels protagonistes. Le malaise est maximal lorsque Anja incite les locaux à se mobiliser pour sauver Autumn et Hope des griffes des braconniers. Les plus critiques verront dans cette séquence des relents de white saviorism (ou « complexe du sauveur blanc », le fait qu’une personne blanche aide un non-Blanc pour flatter son ego). Autre écueil : le film de Gilles de Maistre repose sur une adolescente faussement rebelle, mais véritablement éreintante, entre soupirs et revendications écologiques proclamées ad nauseam – ce qui ne l’empêche pas de jeter son téléphone dernier cri à l’eau ou de menacer de défenestrer un hérisson. Seul phare dans l’obscurité, l’enseignante hypocondriaque et agoraphobe incarnée par Emily Bett Rickards se révèle une bonne et hilarante surprise. Le Dernier Jaguar, de Gilles de Maistre (France, 1h40). Scénario : Gilles de Maistre et Prune de Maistre. Avec Lumi Pollack, Emily Bett Rickards, Wayne Charles Baker. À partir de 6 ans. En salles.
Année : 2024
Avec : Airam Camacho, Amanda Ip, Bett Emily, Charlie Vachon, Eva Avila, Greene Paul, K C Coombs, Kelly Hope Taylor, Letitia Brookes, Lucrezia Pini, Lumi Pollack, Wayne Charles
Netflix : 23 juillet
Avec une verve mordante de réalité, Christina Pazsitzky décoiffe Seattle en détaillant pêle-mêle son enfance, le vieillissement, et les horreurs de l'accouchement.
De : Jaime Eliezer Karas
Avec : Christina Pazsitzky