Télévision : 12 novembre à 13:13-15:06 sur Canal +
film fantastique
Ambulancière à New York, Cassandra Webb mène une existence des plus ordinaires jusqu'au jour où, à la suite d'un banal accident, elle constate avec stupéfaction qu'elle possède le pouvoir de voir l'avenir. Bouleversée par cette découverte, elle ne tarde pourtant pas à tenter de tirer profit de cet inexplicable don pour apporter son aide à des personnes en danger. Rapidement, Cassandra comprend qu'Ezekiel Sims, un étrange individu qu'elle a croisé des années plus tôt, semble désormais la traquer. Déterminée, elle s'associe à trois jeunes femmes, Julia Cornwall, Mattie Franklin et Anya Corazon, pour contrer les plans machiavéliques de ce dernier... - Critique : Un éléphant qui se balançait sur une toile, toile, toile, toile d’araignée… Il trouvait ça tellement, tellement amusant que tout à coup… ba-da-boum. L’éléphant de la comptine, c’est la multinationale Sony, qui conserve une partie des droits sur Spider-Man. Et, donc, celui d’en essorer les protagonistes à travers une série de blockbusters bas de gamme en parallèle de l’univers Marvel-Disney. Bienvenue, Madame Web, Cassandra de son prénom, personnage très secondaire (comme ses prédécesseurs au cinéma Carnage et Morbius) doté de prescience. L’ambulancière de Manhattan est en lutte impavide contre Ezekiel (Tahar Rahim roucoulant en anglais), vil bellâtre qui a tué la mère de « Cassie » et s’apprête désormais à supprimer trois jeunes filles — parce que, lui aussi ayant la vision du futur, il sait qu’elles le tueront. Bon gré, mal gré, Cassandra tente de protéger le trio d’ados. Passons sur le fait qu’un comité d’hommes cravatés chez Sony se soit certainement dit qu’une femme âgée comme la Cassandra Webb des comics ne ferait pas un protagoniste de film d’action idéal… Dans cette version trentenaire du personnage, Dakota Johnson s’en sort bien. Mais elle est la seule : Madame Web est un long métrage sans envergure, au récit indigent et tissé d’évidences. L’héroïne est en permanence en train d’expliquer ce qu’elle vient de faire et ce qu’elle s’apprête à faire – sans que ce soit, souvent, une action cohérente. La réalisatrice n’a pas non plus trouvé comment illustrer le don de prescience du personnage : à l’écran, on se contente de rejouer une ou deux fois chaque scène concernée. Passage obligé du genre, Cassie ne croit d’abord pas à ses pouvoirs. Mais ne semble jamais s’y faire ensuite… Scénaristes et spectateurs non plus. Ce film-franchise se conclut sur un immense placement de produit Pepsi. Impossible d’y échapper, on ne voit que lui dans un combat final par ailleurs illisible.
Année : 2024
Avec : Adam Scott, Celeste O'Connor, Dakota Johnson, Emma Roberts, Isabela Merced, Josh Drennen, José María, Kerry Bishé, Maya Taylor, Mike Epps, Sydney Sweeney, Tahar Rahim, Zosia Mamet
Télévision : 12 novembre à 13:13-15:05 sur Canal +
film fantastique
Ambulancière à New York, Cassandra Webb mène une existence des plus ordinaires jusqu'au jour où, à la suite d'un banal accident, elle constate avec stupéfaction qu'elle possède le pouvoir de voir l'avenir. Bouleversée par cette découverte, elle ne tarde pourtant pas à tenter de tirer profit de cet inexplicable don pour apporter son aide à des personnes en danger. Rapidement, Cassandra comprend qu'Ezekiel Sims, un étrange individu qu'elle a croisé des années plus tôt, semble désormais la traquer. Déterminée, elle s'associe à trois jeunes femmes, Julia Cornwall, Mattie Franklin et Anya Corazon, pour contrer les plans machiavéliques de ce dernier... - Critique : Un éléphant qui se balançait sur une toile, toile, toile, toile d’araignée… Il trouvait ça tellement, tellement amusant que tout à coup… ba-da-boum. L’éléphant de la comptine, c’est la multinationale Sony, qui conserve une partie des droits sur Spider-Man. Et, donc, celui d’en essorer les protagonistes à travers une série de blockbusters bas de gamme en parallèle de l’univers Marvel-Disney. Bienvenue, Madame Web, Cassandra de son prénom, personnage très secondaire (comme ses prédécesseurs au cinéma Carnage et Morbius) doté de prescience. L’ambulancière de Manhattan est en lutte impavide contre Ezekiel (Tahar Rahim roucoulant en anglais), vil bellâtre qui a tué la mère de « Cassie » et s’apprête désormais à supprimer trois jeunes filles — parce que, lui aussi ayant la vision du futur, il sait qu’elles le tueront. Bon gré, mal gré, Cassandra tente de protéger le trio d’ados. Passons sur le fait qu’un comité d’hommes cravatés chez Sony se soit certainement dit qu’une femme âgée comme la Cassandra Webb des comics ne ferait pas un protagoniste de film d’action idéal… Dans cette version trentenaire du personnage, Dakota Johnson s’en sort bien. Mais elle est la seule : Madame Web est un long métrage sans envergure, au récit indigent et tissé d’évidences. L’héroïne est en permanence en train d’expliquer ce qu’elle vient de faire et ce qu’elle s’apprête à faire – sans que ce soit, souvent, une action cohérente. La réalisatrice n’a pas non plus trouvé comment illustrer le don de prescience du personnage : à l’écran, on se contente de rejouer une ou deux fois chaque scène concernée. Passage obligé du genre, Cassie ne croit d’abord pas à ses pouvoirs. Mais ne semble jamais s’y faire ensuite… Scénaristes et spectateurs non plus. Ce film-franchise se conclut sur un immense placement de produit Pepsi. Impossible d’y échapper, on ne voit que lui dans un combat final par ailleurs illisible.
Année : 2024
Avec : Adam Scott, Celeste O'Connor, Dakota Johnson, Emma Roberts, Isabela Merced, Josh Drennen, José María, Kerry Bishé, Maya Taylor, Mike Epps, Sydney Sweeney, Tahar Rahim, Zosia Mamet
Télévision : 9 novembre à 07:28-09:10 sur Canal +
film fantastique
Carol Danvers, alias Captain Marvel, doit faire face aux conséquences inattendues de sa victoire contre les Krees. Elle doit désormais assumer le fardeau d'un univers déstabilisé. Ainsi, au cours d'une mission spatiale qui la propulse au sein d'un étrange vortex lié à l'empire Kree, ses pouvoirs se mêlent à ceux de Kamala Khan, alias Miss Marvel, et à ceux de la capitaine Monica Rambeau, désormais astronaute au sein du S.A.B.E.R. Ce trio improbable se retrouve bientôt obligé de faire équipe pour déterminer pour quelle raison elles sont téléportées l'une à la place de l'autre à chaque fois qu'elles utilisent leurs pouvoirs... - Critique : Pour comprendre ce qu’il se passe, il faut d’abord se remémorer les événements du film Captain Marvel (2019). Puis faire une croix sur sa fraîcheur, car cet opus est une mauvaise suite déguisée. Ensuite, mieux vaut également avoir vu sur Disney + les séries WandaVision et, surtout, Miss Marvel, dont sont extirpés au forceps les deux tiers restants du trio en tête d’affiche, Monica Rambeau et Kamala Khan. Miss, Captain et « cousine » Marvel se voient ainsi réunies par un prétexte de scénario tout à fait factice : liées par leurs pouvoirs, les trois superhéroïnes sont inexplicablement téléportées l’une à la place de l’autre à chaque fois qu’elles les utilisent. Prémices intéressantes, qui engendrent, cela dit, des combats mano à mano mornes et mal chorégraphiés, puisque le film s’acharne à maintenir ses héroïnes — qui auraient pourtant le pouvoir de manipuler l’énergie — dans une sorte de capoeira minimaliste… Mais peut-on vraiment en vouloir à ce long métrage résolument posé, où les personnages discutent entre elles et réfléchissent (Thor, par exemple, ne saurait pas faire) ? D’autant plus que l’humour y reste moins bourrin que d’ordinaire — cependant pas tout à fait abouti, en témoigne une bien plate séquence à haut potentiel gaguesque, sur une planète où l’on chante pour se parler. Et qu’on nous épargne même la sempiternelle baston finale contre une créature en effets numériques…
Année : 2023
Avec : Brie Larson, Gary Lewis, Iman Vellani, Kapoor Mohan, Samuel L, Seo Joon Park, Teyonah Parris, Zawe Ashton, Zenobia Shroff
Télévision : 9 novembre à 07:25-09:07 sur Canal +
film fantastique
Carol Danvers, alias Captain Marvel, doit faire face aux conséquences inattendues de sa victoire contre les Krees. Elle doit désormais assumer le fardeau d'un univers déstabilisé. Ainsi, au cours d'une mission spatiale qui la propulse au sein d'un étrange vortex lié à l'empire Kree, ses pouvoirs se mêlent à ceux de Kamala Khan, alias Miss Marvel, et à ceux de la capitaine Monica Rambeau, désormais astronaute au sein du S.A.B.E.R. Ce trio improbable se retrouve bientôt obligé de faire équipe pour déterminer pour quelle raison elles sont téléportées l'une à la place de l'autre à chaque fois qu'elles utilisent leurs pouvoirs... - Critique : Pour comprendre ce qu’il se passe, il faut d’abord se remémorer les événements du film Captain Marvel (2019). Puis faire une croix sur sa fraîcheur, car cet opus est une mauvaise suite déguisée. Ensuite, mieux vaut également avoir vu sur Disney + les séries WandaVision et, surtout, Miss Marvel, dont sont extirpés au forceps les deux tiers restants du trio en tête d’affiche, Monica Rambeau et Kamala Khan. Miss, Captain et « cousine » Marvel se voient ainsi réunies par un prétexte de scénario tout à fait factice : liées par leurs pouvoirs, les trois superhéroïnes sont inexplicablement téléportées l’une à la place de l’autre à chaque fois qu’elles les utilisent. Prémices intéressantes, qui engendrent, cela dit, des combats mano à mano mornes et mal chorégraphiés, puisque le film s’acharne à maintenir ses héroïnes — qui auraient pourtant le pouvoir de manipuler l’énergie — dans une sorte de capoeira minimaliste… Mais peut-on vraiment en vouloir à ce long métrage résolument posé, où les personnages discutent entre elles et réfléchissent (Thor, par exemple, ne saurait pas faire) ? D’autant plus que l’humour y reste moins bourrin que d’ordinaire — cependant pas tout à fait abouti, en témoigne une bien plate séquence à haut potentiel gaguesque, sur une planète où l’on chante pour se parler. Et qu’on nous épargne même la sempiternelle baston finale contre une créature en effets numériques…
Année : 2023
Avec : Brie Larson, Gary Lewis, Iman Vellani, Kapoor Mohan, Samuel L, Seo Joon Park, Teyonah Parris, Zawe Ashton, Zenobia Shroff
Télévision : 8 novembre à 00:30-02:23 sur Canal +
film fantastique
Ambulancière à New York, Cassandra Webb mène une existence des plus ordinaires jusqu'au jour où, à la suite d'un banal accident, elle constate avec stupéfaction qu'elle possède le pouvoir de voir l'avenir. Bouleversée par cette découverte, elle ne tarde pourtant pas à tenter de tirer profit de cet inexplicable don pour apporter son aide à des personnes en danger. Rapidement, Cassandra comprend qu'Ezekiel Sims, un étrange individu qu'elle a croisé des années plus tôt, semble désormais la traquer. Déterminée, elle s'associe à trois jeunes femmes, Julia Cornwall, Mattie Franklin et Anya Corazon, pour contrer les plans machiavéliques de ce dernier... - Critique : Un éléphant qui se balançait sur une toile, toile, toile, toile d’araignée… Il trouvait ça tellement, tellement amusant que tout à coup… ba-da-boum. L’éléphant de la comptine, c’est la multinationale Sony, qui conserve une partie des droits sur Spider-Man. Et, donc, celui d’en essorer les protagonistes à travers une série de blockbusters bas de gamme en parallèle de l’univers Marvel-Disney. Bienvenue, Madame Web, Cassandra de son prénom, personnage très secondaire (comme ses prédécesseurs au cinéma Carnage et Morbius) doté de prescience. L’ambulancière de Manhattan est en lutte impavide contre Ezekiel (Tahar Rahim roucoulant en anglais), vil bellâtre qui a tué la mère de « Cassie » et s’apprête désormais à supprimer trois jeunes filles — parce que, lui aussi ayant la vision du futur, il sait qu’elles le tueront. Bon gré, mal gré, Cassandra tente de protéger le trio d’ados. Passons sur le fait qu’un comité d’hommes cravatés chez Sony se soit certainement dit qu’une femme âgée comme la Cassandra Webb des comics ne ferait pas un protagoniste de film d’action idéal… Dans cette version trentenaire du personnage, Dakota Johnson s’en sort bien. Mais elle est la seule : Madame Web est un long métrage sans envergure, au récit indigent et tissé d’évidences. L’héroïne est en permanence en train d’expliquer ce qu’elle vient de faire et ce qu’elle s’apprête à faire – sans que ce soit, souvent, une action cohérente. La réalisatrice n’a pas non plus trouvé comment illustrer le don de prescience du personnage : à l’écran, on se contente de rejouer une ou deux fois chaque scène concernée. Passage obligé du genre, Cassie ne croit d’abord pas à ses pouvoirs. Mais ne semble jamais s’y faire ensuite… Scénaristes et spectateurs non plus. Ce film-franchise se conclut sur un immense placement de produit Pepsi. Impossible d’y échapper, on ne voit que lui dans un combat final par ailleurs illisible.
Année : 2024
Avec : Adam Scott, Celeste O'Connor, Dakota Johnson, Emma Roberts, Isabela Merced, Josh Drennen, José María, Kerry Bishé, Maya Taylor, Mike Epps, Sydney Sweeney, Tahar Rahim, Zosia Mamet
Télévision : 8 novembre à 00:29-02:23 sur Canal +
film fantastique
Ambulancière à New York, Cassandra Webb mène une existence des plus ordinaires jusqu'au jour où, à la suite d'un banal accident, elle constate avec stupéfaction qu'elle possède le pouvoir de voir l'avenir. Bouleversée par cette découverte, elle ne tarde pourtant pas à tenter de tirer profit de cet inexplicable don pour apporter son aide à des personnes en danger. Rapidement, Cassandra comprend qu'Ezekiel Sims, un étrange individu qu'elle a croisé des années plus tôt, semble désormais la traquer. Déterminée, elle s'associe à trois jeunes femmes, Julia Cornwall, Mattie Franklin et Anya Corazon, pour contrer les plans machiavéliques de ce dernier... - Critique : Un éléphant qui se balançait sur une toile, toile, toile, toile d’araignée… Il trouvait ça tellement, tellement amusant que tout à coup… ba-da-boum. L’éléphant de la comptine, c’est la multinationale Sony, qui conserve une partie des droits sur Spider-Man. Et, donc, celui d’en essorer les protagonistes à travers une série de blockbusters bas de gamme en parallèle de l’univers Marvel-Disney. Bienvenue, Madame Web, Cassandra de son prénom, personnage très secondaire (comme ses prédécesseurs au cinéma Carnage et Morbius) doté de prescience. L’ambulancière de Manhattan est en lutte impavide contre Ezekiel (Tahar Rahim roucoulant en anglais), vil bellâtre qui a tué la mère de « Cassie » et s’apprête désormais à supprimer trois jeunes filles — parce que, lui aussi ayant la vision du futur, il sait qu’elles le tueront. Bon gré, mal gré, Cassandra tente de protéger le trio d’ados. Passons sur le fait qu’un comité d’hommes cravatés chez Sony se soit certainement dit qu’une femme âgée comme la Cassandra Webb des comics ne ferait pas un protagoniste de film d’action idéal… Dans cette version trentenaire du personnage, Dakota Johnson s’en sort bien. Mais elle est la seule : Madame Web est un long métrage sans envergure, au récit indigent et tissé d’évidences. L’héroïne est en permanence en train d’expliquer ce qu’elle vient de faire et ce qu’elle s’apprête à faire – sans que ce soit, souvent, une action cohérente. La réalisatrice n’a pas non plus trouvé comment illustrer le don de prescience du personnage : à l’écran, on se contente de rejouer une ou deux fois chaque scène concernée. Passage obligé du genre, Cassie ne croit d’abord pas à ses pouvoirs. Mais ne semble jamais s’y faire ensuite… Scénaristes et spectateurs non plus. Ce film-franchise se conclut sur un immense placement de produit Pepsi. Impossible d’y échapper, on ne voit que lui dans un combat final par ailleurs illisible.
Année : 2024
Avec : Adam Scott, Celeste O'Connor, Dakota Johnson, Emma Roberts, Isabela Merced, Josh Drennen, José María, Kerry Bishé, Maya Taylor, Mike Epps, Sydney Sweeney, Tahar Rahim, Zosia Mamet
Disney+ : 25 septembre
Spider-Man avec les autres heros Marvel
Avec : David Attar, Matt Cowlrick