Hier, aujourd'hui et demain

Télévision : 26 octobre à 00:25-02:20 sur France 3

film à sketches

"Adelina". Adelina vend des cigarettes au marché noir. Elle est arrêtée et risque la prison. Son mari apprend que les femmes enceintes ne peuvent être incarcérées. Reste à convaincre l'accorte jeune femme de la nécessité de procréer. - "Anna". La femme d'un riche industriel milanais devient la maîtresse d'un pauvre écrivain. Passé le premier vertige, la différence de classes et les préjugés refont vite surface. L'amour saura-t-il en triompher ? - "Mara". Une call-girl trouble la libido d'un jeune séminariste timide. Elle s'en amuse, avant de constater que le futur prêtre est plutôt bien de sa personne... - Critique : À Naples, Adelina vend des cigarettes de contrebande. Afin d'échapper à la prison, elle enchaîne les grossesses : tant qu'elle est enceinte, la police ne peut l'arrêter ! A Milan, Anna fait une promenade dans sa Rolls avec Renzo, son amant d'origine modeste. Pour éviter un enfant qui vend des fleurs sur la route, Renzo provoque un accident... A Rome, Mara, prostituée de luxe, reçoit ses clients à domicile au grand dam de ses voisins. Car sa terrasse donne directement sur celle d'un couple âgé qui accueille son petit-fils, un beau jeune homme... devant entrer au séminaire ! Les trois sketchs sont entièrement construits autour de Sophia Loren. Mastroianni n'est, ici, qu'un faire-valoir, mais de luxe. Il s'en donne à coeur joie dans la parodie (troisième sketch) ou reste effacé face à sa partenaire. Au passage sont épinglés carabiniers, bourgeois et curés. Mais, avant tout, De Sica et Zavattini ont joué la carte d'un cinéma populaire volontiers grivois, très loin de leurs chefs-d'oeuvre Le Voleur de bicyclette et Miracle à Milan. On sourit quand même, par nostalgie. Et grâce aux interprètes, qui s'amusent beaucoup. — Philippe Piazzo

Année : 1963

De : Vittorio De

Avec : Agostino Salvietti, Armando Trovajoli, Giuffrè Aldo, Jacques Ruet, Lino Mattera, Marcello Mastroianni, Silvia Monelli, Sophia Loren, Tina Pica

Le bon, la brute et le truand

Télévision : 23 septembre à 21:05-00:00 sur France 3

film : western

Alors que la guerre de Sécession fait rage aux Etats-Unis, trois bandits n'ont qu'une préoccupation : l'argent. Joe livre régulièrement à la justice son copain Tuco, dont la tête est mise à prix, puis empoche la prime et délivre son complice. Sentenza abat, avec un égal sang-froid, l'homme qu'il devait tuer moyennant récompense, et celui qui l'avait mandaté pour cette exécution. Après s'être séparés, Tuco et Joe reforment leur association pour s'emparer d'un fabuleux butin. Mais Sentenza est lui aussi sur le coup. Une course contre la montre s'engage alors pour dénicher l'emplacement du magot. Joe, dit "Blondin", finit par être trahi par son "vieil ami" Tuco... - Critique : En pleine guerre de Sécession, trois hommes se disputent une cargaison d’or : Sentenza, la Brute, qui tue sans états d’âme ; Tuco, le Truand, truculent ; et Blondin, alias l’homme sans nom, le Bon… Avec ce film, Sergio Leone clôt sa trilogie spaghetti. L’Ouest, terre sans morale. Tous pourris, y compris l’ami Eastwood, qui a mis au point avec le Truand, dont la tête est mise à prix, un numéro très lucratif : il l’arrête, touche la prime et le libère aussitôt, partageant l’argent de la justice… Leone dit aussi sa haine de la guerre. Mais c’est dans la mise en forme qu’il est décidément le plus novateur. Son style n’a pas pris une ride : utilisation brillante de l’écran large, dilution du temps par un montage savant. Le règlement de comptes final, un duel à trois dans un cimetière, est un modèle du genre.

Année : 1966

Avec : Antonio Casas, Bartho John, Clint Eastwood, Eli Wallach, Giuffrè Aldo, Lee Van, Livio Lorenzon, Mario Brega, Petito Enzo, Pistilli Luigi, Rassimov Rada

Le bon, la brute et le truand

Télévision : 21 août 2023 à 22:50-01:40 sur France 3

film : western

Alors que la guerre de Sécession fait rage aux Etats-Unis, trois bandits n'ont qu'une préoccupation : l'argent. Joe livre régulièrement à la justice son copain Tuco, dont la tête est mise à prix, puis empoche la prime et délivre son complice. Sentenza abat, avec un égal sang-froid, l'homme qu'il devait tuer moyennant récompense, et celui qui l'avait mandaté pour cette exécution. Après s'être séparés, Tuco et Joe reforment leur association pour s'emparer d'un fabuleux butin. Mais Sentenza est lui aussi sur le coup. Une course contre la montre s'engage alors pour dénicher l'emplacement du magot. Joe, dit "Blondin", finit par être trahi par son "vieil ami" Tuco... - Critique : En pleine guerre de Sécession, trois hommes se disputent une cargaison d’or : Sentenza, la Brute, qui tue sans états d’âme ; Tuco, le Truand, truculent ; et Blondin, alias l’homme sans nom, le Bon… Avec ce film, Sergio Leone clôt sa trilogie spaghetti. L’Ouest, terre sans morale. Tous pourris, y compris l’ami Eastwood, qui a mis au point avec le Truand, dont la tête est mise à prix, un numéro très lucratif : il l’arrête, touche la prime et le libère aussitôt, partageant l’argent de la justice… Leone dit aussi sa haine de la guerre. Mais c’est dans la mise en forme qu’il est décidément le plus novateur. Son style n’a pas pris une ride : utilisation brillante de l’écran large, dilution du temps par un montage savant. Le règlement de comptes final, un duel à trois dans un cimetière, est un modèle du genre.

Année : 1966

Avec : Antonio Casale, Antonio Casas, Bartho John, Clint Eastwood, Eli Wallach, Giuffrè Aldo, Lee Van, Livio Lorenzon, Mario Brega, Petito Enzo, Pistilli Luigi, Rassimov Rada

Le bon, la brute et le truand

Télévision : 22 août 2022 à 22:40-01:20 sur France 3

film : western

Alors que la guerre de Sécession fait rage aux Etats-Unis, trois bandits n'ont qu'une préoccupation : l'argent. Joe livre régulièrement à la justice son copain Tuco, dont la tête est mise à prix, puis empoche la prime et délivre son complice. Sentenza abat, avec un égal sang-froid, l'homme qu'il devait tuer moyennant récompense, et celui qui l'avait mandaté pour cette exécution. Après s'être séparés, Tuco et Joe reforment leur association pour s'emparer d'un fabuleux butin. Mais Sentenza est lui aussi sur le coup. Une course contre la montre s'engage alors pour dénicher l'emplacement du magot. Joe, dit "Blondin", finit par être trahi par son "vieil ami" Tuco... - Critique : En pleine guerre de Sécession, trois hommes se disputent une cargaison d’or : Sentenza, la Brute, qui tue sans états d’âme ; Tuco, le Truand, truculent ; et Blondin, alias l’homme sans nom, le Bon… Avec ce film, Sergio Leone clôt sa trilogie spaghetti. L’Ouest, terre sans morale. Tous pourris, y compris l’ami Eastwood, qui a mis au point avec le Truand, dont la tête est mise à prix, un numéro très lucratif : il l’arrête, touche la prime et le libère aussitôt, partageant l’argent de la justice… Leone dit aussi sa haine de la guerre. Mais c’est dans la mise en forme qu’il est décidément le plus novateur. Son style n’a pas pris une ride : utilisation brillante de l’écran large, dilution du temps par un montage savant. Le règlement de comptes final, un duel à trois dans un cimetière, est un modèle du genre.

Année : 1966

De : Sergio Leone

Avec : Antonio Casale, Antonio Casas, Bartho John, Clint Eastwood, Eli Wallach, Giuffrè Aldo, Lee Van, Livio Lorenzon, Mario Brega, Petito Enzo, Pistilli Luigi, Rassimov Rada

Le bon, la brute et le truand

Télévision : 1er août 2022 à 21:10-23:45 sur France 3

film : western

Alors que la guerre de Sécession fait rage aux Etats-Unis, trois bandits n'ont qu'une préoccupation : l'argent. Joe livre régulièrement à la justice son copain Tuco, dont la tête est mise à prix, puis empoche la prime et délivre son complice. Sentenza abat, avec un égal sang-froid, l'homme qu'il devait tuer moyennant récompense, et celui qui l'avait mandaté pour cette exécution. Après s'être séparés, Tuco et Joe reforment leur association pour s'emparer d'un fabuleux butin. Mais Sentenza est lui aussi sur le coup. Une course contre la montre s'engage alors pour dénicher l'emplacement du magot. Joe, dit "Blondin", finit par être trahi par son "vieil ami" Tuco... - Critique : En pleine guerre de Sécession, trois hommes se disputent une cargaison d’or : Sentenza, la Brute, qui tue sans états d’âme ; Tuco, le Truand, truculent ; et Blondin, alias l’homme sans nom, le Bon… Avec ce film, Sergio Leone clôt sa trilogie spaghetti. L’Ouest, terre sans morale. Tous pourris, y compris l’ami Eastwood, qui a mis au point avec le Truand, dont la tête est mise à prix, un numéro très lucratif : il l’arrête, touche la prime et le libère aussitôt, partageant l’argent de la justice… Leone dit aussi sa haine de la guerre. Mais c’est dans la mise en forme qu’il est décidément le plus novateur. Son style n’a pas pris une ride : utilisation brillante de l’écran large, dilution du temps par un montage savant. Le règlement de comptes final, un duel à trois dans un cimetière, est un modèle du genre.

Année : 1966

Avec : Antonio Casale, Antonio Casas, Bartho John, Clint Eastwood, Eli Wallach, Giuffrè Aldo, Lee Van, Livio Lorenzon, Mario Brega, Petito Enzo, Pistilli Luigi, Rassimov Rada