Télévision : 11 août à 06:40-06:58 sur Canal +
série humoristique
Dérapage. Saison:2 - Episode:8 - Après s'être fait recaler à l'entrée d'une boîte de nuit, Sophie et Justine parviennent à s'incruster dans une soirée privée. Mais l'ambiance est mauvaise et les filles décident de partir. Bien qu'ayant trop bu pour prendre le volant, Sophie veut absolument rentrer chez elle en voiture. - Critique : Installés dans leur salon, sur un canapé planté dans une cours d’immeuble ou sur un banc public, ils tchatchent de tout et de rien, de laisses de chien comme de masturbation, se vannent, se checkent… et finalement se lancent dans le récit d’histoires « inspirées de galères réelles ». Les « narvalos » (personnes ridicules, en argot) de cette série courte enchaînent les anecdotes foireuses. Dans les épisodes de ce soir, un contrôle de police qui tourne mal, une soirée trop arrosée qui se transforme en sketch dans le RER et un délire sous anesthésiants après un accident de scooter… Cette deuxième saison de Narvalo, tournée de la banlieue parisienne aux bords de la Méditerranée, conserve la fraîcheur, le côté foutraque de ces récits oraux qu’on se raconte entre potes, si possible en buvant une mauvaise bière et en faisant tourner un joint. Ses histoires sont inégales, tantôt surprenantes et drôles, tantôt un rien complaisantes — les flics, les contrôleurs et les voisins qui se plaignent du bruit en prennent un peu facilement pour leur grade. Ses épisodes courts ont quoi qu’il en soit le mérite de faire entendre une langue sans filtre, et de donner leur chance à une foule de jeunes acteurs, certains déjà repérés (Sandor Funtek, Bellamine Abdelmalek), d’autres débutants à l’énergie contagieuse.
Année : 2021
Avec : Ali D, Ali Damiche, Anis Mansour, Arthur Ooms, Clémentine Billy, Lena Bokobza-Brunet, Mounir Belhidaoui, Nans Dissoubray, Romane Raffin-Delys, Vini Vivarelli
Télévision : 8 août à 19:24-19:42 sur Canal +
série humoristique
Dérapage. Saison:2 - Episode:8 - Après s'être fait recaler à l'entrée d'une boîte de nuit, Sophie et Justine parviennent à s'incruster dans une soirée privée. Mais l'ambiance est mauvaise et les filles décident de partir. Bien qu'ayant trop bu pour prendre le volant, Sophie veut absolument rentrer chez elle en voiture. - Critique : Installés dans leur salon, sur un canapé planté dans une cours d’immeuble ou sur un banc public, ils tchatchent de tout et de rien, de laisses de chien comme de masturbation, se vannent, se checkent… et finalement se lancent dans le récit d’histoires « inspirées de galères réelles ». Les « narvalos » (personnes ridicules, en argot) de cette série courte enchaînent les anecdotes foireuses. Dans les épisodes de ce soir, un contrôle de police qui tourne mal, une soirée trop arrosée qui se transforme en sketch dans le RER et un délire sous anesthésiants après un accident de scooter… Cette deuxième saison de Narvalo, tournée de la banlieue parisienne aux bords de la Méditerranée, conserve la fraîcheur, le côté foutraque de ces récits oraux qu’on se raconte entre potes, si possible en buvant une mauvaise bière et en faisant tourner un joint. Ses histoires sont inégales, tantôt surprenantes et drôles, tantôt un rien complaisantes — les flics, les contrôleurs et les voisins qui se plaignent du bruit en prennent un peu facilement pour leur grade. Ses épisodes courts ont quoi qu’il en soit le mérite de faire entendre une langue sans filtre, et de donner leur chance à une foule de jeunes acteurs, certains déjà repérés (Sandor Funtek, Bellamine Abdelmalek), d’autres débutants à l’énergie contagieuse.
Année : 2021
Avec : Ali D, Ali Damiche, Anis Mansour, Arthur Ooms, Clémentine Billy, Lena Bokobza-Brunet, Mounir Belhidaoui, Nans Dissoubray, Romane Raffin-Delys, Vini Vivarelli
Télévision : 5 août à 19:18-19:38 sur Canal +
série humoristique
Expat. Saison:2 - Episode:2 - Thomas, un banlieusard installé à Marseille, raconte comment une série de bagarres l'a convaincu de retourner en banlieue parisienne. Mais l'un de ses amis pense que Marseille n'y est pour rien et pense qu'un autre de leurs copains est un porte-poisse responsable des déboires de Thomas... - Critique : Installés dans leur salon, sur un canapé planté dans une cours d’immeuble ou sur un banc public, ils tchatchent de tout et de rien, de laisses de chien comme de masturbation, se vannent, se checkent… et finalement se lancent dans le récit d’histoires « inspirées de galères réelles ». Les « narvalos » (personnes ridicules, en argot) de cette série courte enchaînent les anecdotes foireuses. Dans les épisodes de ce soir, un contrôle de police qui tourne mal, une soirée trop arrosée qui se transforme en sketch dans le RER et un délire sous anesthésiants après un accident de scooter… Cette deuxième saison de Narvalo, tournée de la banlieue parisienne aux bords de la Méditerranée, conserve la fraîcheur, le côté foutraque de ces récits oraux qu’on se raconte entre potes, si possible en buvant une mauvaise bière et en faisant tourner un joint. Ses histoires sont inégales, tantôt surprenantes et drôles, tantôt un rien complaisantes — les flics, les contrôleurs et les voisins qui se plaignent du bruit en prennent un peu facilement pour leur grade. Ses épisodes courts ont quoi qu’il en soit le mérite de faire entendre une langue sans filtre, et de donner leur chance à une foule de jeunes acteurs, certains déjà repérés (Sandor Funtek, Bellamine Abdelmalek), d’autres débutants à l’énergie contagieuse.
Année : 2022
Avec : Alexandre Desane, Ali D, Ali Damiche, Guillaume Jacquet, Luca Planchenault, Meledeen Yacoubi, Nabil Behsis
Télévision : 3 août à 06:47-07:07 sur Canal +
série humoristique
Expat. Saison:2 - Episode:2 - Thomas, un banlieusard installé à Marseille, raconte comment une série de bagarres l'a convaincu de retourner en banlieue parisienne. Mais l'un de ses amis pense que Marseille n'y est pour rien et pense qu'un autre de leurs copains est un porte-poisse responsable des déboires de Thomas... - Critique : Installés dans leur salon, sur un canapé planté dans une cours d’immeuble ou sur un banc public, ils tchatchent de tout et de rien, de laisses de chien comme de masturbation, se vannent, se checkent… et finalement se lancent dans le récit d’histoires « inspirées de galères réelles ». Les « narvalos » (personnes ridicules, en argot) de cette série courte enchaînent les anecdotes foireuses. Dans les épisodes de ce soir, un contrôle de police qui tourne mal, une soirée trop arrosée qui se transforme en sketch dans le RER et un délire sous anesthésiants après un accident de scooter… Cette deuxième saison de Narvalo, tournée de la banlieue parisienne aux bords de la Méditerranée, conserve la fraîcheur, le côté foutraque de ces récits oraux qu’on se raconte entre potes, si possible en buvant une mauvaise bière et en faisant tourner un joint. Ses histoires sont inégales, tantôt surprenantes et drôles, tantôt un rien complaisantes — les flics, les contrôleurs et les voisins qui se plaignent du bruit en prennent un peu facilement pour leur grade. Ses épisodes courts ont quoi qu’il en soit le mérite de faire entendre une langue sans filtre, et de donner leur chance à une foule de jeunes acteurs, certains déjà repérés (Sandor Funtek, Bellamine Abdelmalek), d’autres débutants à l’énergie contagieuse.
Année : 2021
Avec : Alexandre Desane, Ali D, Ali Damiche, Guillaume Jacquet, Luca Planchenault, Meledeen Yacoubi, Nabil Behsis
Télévision : 3 février à 03:08-04:43 sur Canal +
film : drame
Tout en s'entraînant beaucoup pour réaliser son rêve de devenir ballerine, Houria gagne sa vie en travaillant comme femme de ménage à Alger. Pour arrondir ses fins de mois, la jeune femme s'adonne également aux paris clandestins sur des combats de béliers qui se déroulent de nuit, à l'abri des regards indiscrets. Cette habitude illégale finit par porter ses fruits : Houria remporte un véritable pactole. Mais ce gain attise les convoitises d'un individu malintentionné et déçu d'avoir perdu gros. L'homme décide de suivre Houria avant de l'agresser violemment pour tenter de récupérer l'argent que cette dernière a empoché... - Critique : Papicha, le premier film de fiction en partie autobiographique de Mounia Meddour, en 2019, avait été un vent de fraîcheur dans le paysage du cinéma franco-maghrébin par son éloge de la sororité face à la montée de l’intégrisme religieux dans l’Algérie de la décennie noire, sa réalisation électrique et son élan vital. Il est à nouveau question de la difficile émancipation des femmes en terre d’Islam dans Houria, la mise au scène au plus près des visages et des corps procure la même sensation d’urgence, et Lyna Khoudri, à nouveau en tête d’affiche, impressionne toujours par son énergie folle et son émotion à fleur de peau. Mais le charme n’opère plus… La réalisatrice, qui a dû reconstituer Alger à Marseille faute de pouvoir tourner toutes les scènes voulues sur place, a largement perdu l’authenticité quasi documentaire qui participait de la puissance de son coup d’essai. Mais le principal écueil de Houria est, sans doute, d’arriver en salles un an pile après En corps, alors qu’il raconte peu ou prou la même histoire que le film à succès de Cédric Klapisch : une jeune espoir du ballet classique, le corps brisé par un accident — ou, ici, par une agression —, se reconstruit au contact des autres et par la découverte de la danse contemporaine. Dans En corps, le parcours de résilience d’Élise (Marion Barbeau) se suffisait à lui-même. Celui de Houria s’inscrit dans un contexte politique et social si marqué (la tentation de l’émigration pour les jeunes Algériens d’une part, les stigmates de la guerre civile d’autre part) qu’il devient envahissant. Au risque d’un scénario par trop démonstratif.
Année : 2022
Avec : Ali Damiche, Francis Nijim, Hilda Amira, Lyna Khoudri, Meriem Medjkrane, Nadia Kaci, Rachida Brakni, Salim Kissari, Sarah Guendouz, Zahra Manel Doumandji, Zeghbib Marwan
Télévision : 3 février à 03:07-04:42 sur Canal +
film : drame
Tout en s'entraînant beaucoup pour réaliser son rêve de devenir ballerine, Houria gagne sa vie en travaillant comme femme de ménage à Alger. Pour arrondir ses fins de mois, la jeune femme s'adonne également aux paris clandestins sur des combats de béliers qui se déroulent de nuit, à l'abri des regards indiscrets. Cette habitude illégale finit par porter ses fruits : Houria remporte un véritable pactole. Mais ce gain attise les convoitises d'un individu malintentionné et déçu d'avoir perdu gros. L'homme décide de suivre Houria avant de l'agresser violemment pour tenter de récupérer l'argent que cette dernière a empoché... - Critique : Papicha, le premier film de fiction en partie autobiographique de Mounia Meddour, en 2019, avait été un vent de fraîcheur dans le paysage du cinéma franco-maghrébin par son éloge de la sororité face à la montée de l’intégrisme religieux dans l’Algérie de la décennie noire, sa réalisation électrique et son élan vital. Il est à nouveau question de la difficile émancipation des femmes en terre d’Islam dans Houria, la mise au scène au plus près des visages et des corps procure la même sensation d’urgence, et Lyna Khoudri, à nouveau en tête d’affiche, impressionne toujours par son énergie folle et son émotion à fleur de peau. Mais le charme n’opère plus… La réalisatrice, qui a dû reconstituer Alger à Marseille faute de pouvoir tourner toutes les scènes voulues sur place, a largement perdu l’authenticité quasi documentaire qui participait de la puissance de son coup d’essai. Mais le principal écueil de Houria est, sans doute, d’arriver en salles un an pile après En corps, alors qu’il raconte peu ou prou la même histoire que le film à succès de Cédric Klapisch : une jeune espoir du ballet classique, le corps brisé par un accident — ou, ici, par une agression —, se reconstruit au contact des autres et par la découverte de la danse contemporaine. Dans En corps, le parcours de résilience d’Élise (Marion Barbeau) se suffisait à lui-même. Celui de Houria s’inscrit dans un contexte politique et social si marqué (la tentation de l’émigration pour les jeunes Algériens d’une part, les stigmates de la guerre civile d’autre part) qu’il devient envahissant. Au risque d’un scénario par trop démonstratif.
Année : 2022
Avec : Ali Damiche, Francis Nijim, Hilda Amira, Lyna Khoudri, Meriem Medjkrane, Nadia Kaci, Rachida Brakni, Salim Kissari, Sarah Guendouz, Zahra Manel Doumandji, Zeghbib Marwan
Télévision : 21 septembre 2023 à 07:44-08:02 sur Canal +
série humoristique
Dérapage. Saison:2 - Episode:8 - Après s'être fait recaler à l'entrée d'une boîte de nuit, Sophie et Justine parviennent à s'incruster dans une soirée privée. Mais l'ambiance est mauvaise et les filles décident de partir. Bien qu'ayant trop bu pour prendre le volant, Sophie veut absolument rentrer chez elle en voiture. - Critique : Installés dans leur salon, sur un canapé planté dans une cours d’immeuble ou sur un banc public, ils tchatchent de tout et de rien, de laisses de chien comme de masturbation, se vannent, se checkent… et finalement se lancent dans le récit d’histoires « inspirées de galères réelles ». Les « narvalos » (personnes ridicules, en argot) de cette série courte enchaînent les anecdotes foireuses. Dans les épisodes de ce soir, un contrôle de police qui tourne mal, une soirée trop arrosée qui se transforme en sketch dans le RER et un délire sous anesthésiants après un accident de scooter… Cette deuxième saison de Narvalo, tournée de la banlieue parisienne aux bords de la Méditerranée, conserve la fraîcheur, le côté foutraque de ces récits oraux qu’on se raconte entre potes, si possible en buvant une mauvaise bière et en faisant tourner un joint. Ses histoires sont inégales, tantôt surprenantes et drôles, tantôt un rien complaisantes — les flics, les contrôleurs et les voisins qui se plaignent du bruit en prennent un peu facilement pour leur grade. Ses épisodes courts ont quoi qu’il en soit le mérite de faire entendre une langue sans filtre, et de donner leur chance à une foule de jeunes acteurs, certains déjà repérés (Sandor Funtek, Bellamine Abdelmalek), d’autres débutants à l’énergie contagieuse.
Année : 2021
Avec : Ali D, Ali Damiche, Lena Bokobza-Brunet, Mounir Belhidaoui, Romane Raffin-Delys